C'est toujours un régal de lire une nouvelle pièce de Shakespeare tant l'écriture du dramaturge se révèle à chaque fois d'une richesse et d'une profusion de vocabulaire inégalable. Chaque tournure de phrase, chaque réplique délecte le lecteur par la fluidité de son rythme et de sa constitution.
C'est encore le cas avec Othello, drame en cinq actes, dont le thème principal est la jalousie, "monstre aux yeux verts" dompté et manipulé par le perfide Iago, l'enseigne d'Othello.
C'est écrit divinement, c'est fluide et ce n'est nullement dépassé en terme de thématiques et de sujets
abordés. Aucune raison d'hésiter à se plonger à nouveau dans l'univers Shakespearien, un monde où beaucoup de gens meurent, manipulent et déblatèrent magnifiquement dans un tourbillon de quiproquo et de fatalité funeste.
Toujours aussi bon.
C'est toujours un régal de lire une nouvelle pièce de Shakespeare tant l'écriture du dramaturge se révèle à chaque fois d'une richesse et d'une profusion de vocabulaire inégalable. Chaque tournure de phrase, chaque réplique délecte le lecteur par la fluidité de son rythme et de sa constitution.
C'est encore le cas avec Othello, drame en cinq actes, dont le thème principal est la jalousie, "monstre aux yeux verts" dompté et manipulé par le perfide Iago, l'enseigne d'Othello.
C'est écrit divinement, c'est fluide et ce n'est nullement dépassé en terme de thématiques et de sujets abordés. Aucune raison d'hésiter à se plonger à nouveau dans l'univers Shakespearien, un monde où beaucoup de gens meurent, manipulent et déblatèrent magnifiquement dans un tourbillon de quiproquo et de fatalité funeste.