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L'affectivité humaine est liée à nos croyances, nos idées et nos valeurs. Ne mobilise-t-on pas l'affect lorsqu'il y a discussion politique, une décision qui conjugue une pensée rationnelle et un penchant pour une valeur ? Lorsqu'on utilise des notions de confort, d'intérêt public, lorsqu'on s'interroge sur le bien-être des habitants, le plaisir ou le déplaisir par rapport à un lieu quelconque ou un édifice, lorsqu'on insiste sur un malaise plus ou moins généralisé ou quand on mise sur la valeur identitaire des lieux, n'est-on pas entrain de se référer à nos affects ?