Connaissance des Pères de l'Eglise N° 97, Mars 2005
Maxime le Confesseur

Par : Marie-Anne Vannier, Marie-Lucie Charpin-Ploix, Philipp-Gabriel Renczes, André Gozier

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  • Nombre de pages64
  • PrésentationBroché
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 0,6 cm
  • ISBN3260050386241
  • EAN3260050386241
  • Date de parution02/05/2005
  • ÉditeurNouvelle Cité

Résumé

" Rien dans le créé n'est capable de déifier, dès lors qu'il ne saisit pas Dieu non plus. C'est en effet le propre de la seule grâce divine d'accorder aux êtres, analogiquement, la déification en illuminant la nature par la lumière surnaturelle en la hissant, au-dessus de ses propres limites, à la splendeur de la gloire [...]. Devenir par grâce ce que Dieu est par nature [...]. Celui qui l'accorde à ses élus, étant par essence infini, a une puissance infinie pour le faire au-delà même de toute infinité, qui ne s'arrête jamais avec ceux qui naissent d'elle. Toujours plutôt retient-elle à elle ceux qui d'elle reçoivent l'être et ne peuvent être sans elle. De là aussi qu'il parle de la richesse de sa bonté en tant qu'elle n'arrête jamais sa disposition divine et radieuse de bonté pour notre transformation déifiante. " S. MAXIME LE CONFESSEUR, Question XXII à Thalassios, trad. E. Ponsoye, Paris, Ed. de l'Ancre, 1992, pp. 112-113.
" Rien dans le créé n'est capable de déifier, dès lors qu'il ne saisit pas Dieu non plus. C'est en effet le propre de la seule grâce divine d'accorder aux êtres, analogiquement, la déification en illuminant la nature par la lumière surnaturelle en la hissant, au-dessus de ses propres limites, à la splendeur de la gloire [...]. Devenir par grâce ce que Dieu est par nature [...]. Celui qui l'accorde à ses élus, étant par essence infini, a une puissance infinie pour le faire au-delà même de toute infinité, qui ne s'arrête jamais avec ceux qui naissent d'elle. Toujours plutôt retient-elle à elle ceux qui d'elle reçoivent l'être et ne peuvent être sans elle. De là aussi qu'il parle de la richesse de sa bonté en tant qu'elle n'arrête jamais sa disposition divine et radieuse de bonté pour notre transformation déifiante. " S. MAXIME LE CONFESSEUR, Question XXII à Thalassios, trad. E. Ponsoye, Paris, Ed. de l'Ancre, 1992, pp. 112-113.
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