Thierry S.

Des enquêtes légèrement teintées de fantastique, toujours humoristiques et tout public malgré les sujets graves abordés (trafic de migrants ou de drogue). Intrigues captivantes proches du style d’Agatha Christie. Dès les premières pages, c’est l’addiction. On ne peut, on ne doit pas lâcher l’affaire... A lire dans un train ou dans un avion, histoire d’oublier le temps qui passe. (Plouc magazine)

"Le roman est arrivé hier et je l'ai lu d'une traite. C'est très beau, peut-être un peu trop court mais à la fois tout le texte est bien calibré ! J'ai apprécié la façon dont tu arrives à rendre palpable les paysages de Cassis ou des Monts d'Or. Félicitations !" (Sophie di Ricci)

"La plume acérée de l'auteur, tour à tour "funny", fantastique voire inquiétante, mêlée à une touche British de rigueur, permet de se délecter de cet ouvrage dans le métro, le bus, sur la plage ou dans son lit. La plupart du temps écrit sur le mode de dialogues savoureux, le tout se lit très facilement et donne souvent à rire ou à sourire" (Renaud Oualid - Koid9)

"Thierry Sportouche est de ces hommes qui aiment écrire, n'ayons pas peur des mots, c'est un poète quoi... Thierry tente de mêmer l'écriture à d'autres formes artistiques par des textes le plus souvent courts et denses" (l'Est républicain) "Ses petits livres sont autant de bijoux à conserver près de soi, car ils connaissent plus que quiconque les tours de magies qui réchauffent les cœurs..." Serge Navarra

"Une petite merveille de littérature... 58 pages de bonheur intégral... Admirablement illustré... Indispensable." (Ch. Décamps - Ange (Plouc magazine))

"The adventures are the kind that make children's eyes sparkle." (The Connexion)

Thierry Sportouche nous régale d'un nouveau recueil de Nouvelles policières marquées au sceau de cet humour à la Agatha Christie assaisonné d'une pincée de fantastique à la Conan Doyle qui est sa marque de fabrique. (Claude Rivière – La Provence). Dévorer les Nouvelles policières du maitre Thierry Sportouche est un délice en soi, une gourmandise mille et une fois pardonnée. (Ch. Décamps - Plouc magazine) .