Wang Yan Cheng

Par : Lydia Harambourg, Qiang Dong

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  • Nombre de pages143
  • PrésentationRelié
  • Poids1.195 kg
  • Dimensions25,5 cm × 29,5 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-7022-0861-8
  • EAN9782702208618
  • Date de parution04/03/2008
  • CollectionMise en lumière
  • ÉditeurCercle d'Art

Résumé

Chinois de Pékin, Wang Yan Cheng occupe une place insigne parmi ses célèbres aînés, Chu Teh-chun et Zao Wou-ki. L'héritage calligraphique et la tradition plastique occidentale s'interpénètrent dans une œuvre exprimant la nature cosmique et universelle. Si l'abstraction n'a aucun sens pour un peintre chinois, Wang Yan Cheng retrouve les grands rythmes de la nature, décelés chez Cézanne. De même, a-t-il assimilé les leçons de la peinture occidentale des grands maîtres étudiés dans les musées européens. Ses peintures s'embrasent sous l'assaut de gestes fougueux, mais dominés pour dire les brumes, les cimes des pins enveloppés dans les vapeurs, l'humus de la terre, le frémissement de l'eau, la lune et l'immensité du ciel et de l'océan. Wang Yan Cheng tend à l'osmose avec l'espace réel. Réels ou imaginaires, ses paysages naissent d'expériences existentielles, d'émotions vécues, de souvenirs, d'une mémoire ancestrale, dans laquelle, le taoïsme s'accorde aux énergies originelles, aux forces élémentaires qui régissent le monde. Ses équivalences formelles et colorées participent physiquement au mystère de l'univers. La lumière s'arrache des ténèbres, des éclaircies submergent la surface pour transposer les épousailles de la terre et du ciel. La peinture de Wang Yan Cheng en traduit la respiration secrète. L'artiste vit et travaille à Paris et à Pékin.
Chinois de Pékin, Wang Yan Cheng occupe une place insigne parmi ses célèbres aînés, Chu Teh-chun et Zao Wou-ki. L'héritage calligraphique et la tradition plastique occidentale s'interpénètrent dans une œuvre exprimant la nature cosmique et universelle. Si l'abstraction n'a aucun sens pour un peintre chinois, Wang Yan Cheng retrouve les grands rythmes de la nature, décelés chez Cézanne. De même, a-t-il assimilé les leçons de la peinture occidentale des grands maîtres étudiés dans les musées européens. Ses peintures s'embrasent sous l'assaut de gestes fougueux, mais dominés pour dire les brumes, les cimes des pins enveloppés dans les vapeurs, l'humus de la terre, le frémissement de l'eau, la lune et l'immensité du ciel et de l'océan. Wang Yan Cheng tend à l'osmose avec l'espace réel. Réels ou imaginaires, ses paysages naissent d'expériences existentielles, d'émotions vécues, de souvenirs, d'une mémoire ancestrale, dans laquelle, le taoïsme s'accorde aux énergies originelles, aux forces élémentaires qui régissent le monde. Ses équivalences formelles et colorées participent physiquement au mystère de l'univers. La lumière s'arrache des ténèbres, des éclaircies submergent la surface pour transposer les épousailles de la terre et du ciel. La peinture de Wang Yan Cheng en traduit la respiration secrète. L'artiste vit et travaille à Paris et à Pékin.
Oscar Gauthier
Collectif, Lydia Harambourg
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