Georges Folmer (1895-1977), l'un des maîtres de l'abstraction géométrique, avait toujours dans le fond de sa poche un petit carnet pour dessiner sur le vif, mais aussi pour noter ses pensées, parfois inspirées des philosophes, écrivains, poètes et musiciens qu'il affectionnait. Et lorsque le carnet ne suffisait plus, il écrivait au dos des enveloppes postales qu'il recevait. Ainsi est Réflexions, un manuscrit unique, publié ici pour la première fois et présenté par Lydia Harambourg, historienne de l'art, membre de l'Institut, et auteure d'une magistrale monographie de l'artiste (Folmer, la Conquête de l'abstraction, Editions El Viso, 2022).
Au fil d'une écriture buissonnière, Folmer a fixé sur le papier ses réflexions comme autant d'aphorismes d'une pensée en constant éveil, tournée vers une quête permanente de l'absolu et de l'universel. "Etre artiste est un état d'esprit", disait-il, et ce recueil inédit est le précieux témoin de cette "méditation heureuse" qui guida sa vie et inspira sa main.
Georges Folmer (1895-1977), l'un des maîtres de l'abstraction géométrique, avait toujours dans le fond de sa poche un petit carnet pour dessiner sur le vif, mais aussi pour noter ses pensées, parfois inspirées des philosophes, écrivains, poètes et musiciens qu'il affectionnait. Et lorsque le carnet ne suffisait plus, il écrivait au dos des enveloppes postales qu'il recevait. Ainsi est Réflexions, un manuscrit unique, publié ici pour la première fois et présenté par Lydia Harambourg, historienne de l'art, membre de l'Institut, et auteure d'une magistrale monographie de l'artiste (Folmer, la Conquête de l'abstraction, Editions El Viso, 2022).
Au fil d'une écriture buissonnière, Folmer a fixé sur le papier ses réflexions comme autant d'aphorismes d'une pensée en constant éveil, tournée vers une quête permanente de l'absolu et de l'universel. "Etre artiste est un état d'esprit", disait-il, et ce recueil inédit est le précieux témoin de cette "méditation heureuse" qui guida sa vie et inspira sa main.