Ayant débutée l'écriture à seulement 12 ans, Marie NDiaye (née en 1967 à Pithiviers) s'est vite fait repérée par un éditeur. A 17 ans, elle publie ainsi son premier roman, accueilli favorablement par les critiques. Malgré son jeune âge, elle réussit l'exploit de trouver un style qui n'appartient qu'à elle. Après des études de langue à la Sorbonne et un an à la Villa Medicis, elle continue sa carrière en sortant de nombreux ouvrages alternant réalisme et surnaturel mais avec toujours la même pointe de mystère et son style singulier et original. Partez à la découverte de la cruauté humaine à travers son roman Ladivine ainsi que le prix Goncourt de 2009 : Trois femmes puissantes. Avec toujours le même style élégant et fluide, elle nous absorbe dans ses histoires captivantes aux messages puissants. De ces nouveaux auteurs francophones au style unique à découvrir absolument, notre communauté de lecteurs vous conseille La nostalgie heureuse d'Amélie Nothomb, Ensemble, c'est tout d'Anna Gavalda ou encore l'œuvre originale de Yasmina Reza, Heureux les heureux. Fiez-vous aux avis de notre communauté et dénichez le roman qui vous emportera quelques heures vers un nouveau monde. Livraison à seulement 0,01€ et garantie satisfait ou remboursé pour votre plus grand plaisir.
Un pas de chat sauvage
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- Nombre de pages48
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.115 kg
- Dimensions15,5 cm × 22,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-08-148512-9
- EAN9782081485129
- Date de parution03/04/2019
- ÉditeurCoédition Flammarion/Musée D'Orsay
Résumé
Maria "l'Antillaise" pose, le regard lointain, pour le photographe Nadar dans les années 186o. Maria Martinez, "la Malibran noire", artiste originaire de La Havane, confiait le succès sur la scène parisienne dans les années 1850 avec le soutien inconditionnel de Théophile Gautier. Malgré les nombreux points communs qui les rapprochent, on ne peut affirmer qu'il s'agit d'une seule et même "Maria". La narratrice en est néanmoins persuadée.
Que sait-on de ces modèles dont on ne connaît que l'image ?
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Maria "l'Antillaise" pose, le regard lointain, pour le photographe Nadar dans les années 186o. Maria Martinez, "la Malibran noire", artiste originaire de La Havane, confiait le succès sur la scène parisienne dans les années 1850 avec le soutien inconditionnel de Théophile Gautier. Malgré les nombreux points communs qui les rapprochent, on ne peut affirmer qu'il s'agit d'une seule et même "Maria". La narratrice en est néanmoins persuadée.
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