Coup de coeur
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  • Nombre de pages133
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.13 kg
  • Dimensions13,0 cm × 18,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-210-76558-0
  • EAN9782210765580
  • Date de parution23/06/2020
  • CollectionClassiques & contemporains
  • ÉditeurMagnard
  • Commentateur (texte)Josiane Grinfas

Résumé

Après seize années sans Japon, Amélie Nothomb reçoit la proposition d'une chaîne de télévision : revenir sur les traces de son enfance japonaise, époque fondatrice évoquée dans Métaphysique des tubes. Crainte et désir de ces retrouvailles traversent les premières pages de La Nostalgie heureuse. Puis, une fois de retour sur le sol sacré, le récit prend la forme d'une chronique douce-amère, qui s'écrit au gré des lieux et des personnes retrouvées.
Dans la lignée de Stupeur et Tremblements, Amélie Nothomb nous raconte son pays natal qu'elle n'a cessé de réinventer. Roman autobiographique, ce récit d'un retour au Japon permet d'aborder les thèmes de la représentation de soi et du rapport à l'autre à travers une forme d'écriture de soi parfois proche de la confession, dans laquelle la narratrice met son coeur à nu. Il est aussi l'occasion d'étudier l'expression de la subjectivité et la fonction que l'auteure attribue à son écriture.
L'appareil pédagogique est suivi d'une interview exclusive d'Amélie Nothomb.
Après seize années sans Japon, Amélie Nothomb reçoit la proposition d'une chaîne de télévision : revenir sur les traces de son enfance japonaise, époque fondatrice évoquée dans Métaphysique des tubes. Crainte et désir de ces retrouvailles traversent les premières pages de La Nostalgie heureuse. Puis, une fois de retour sur le sol sacré, le récit prend la forme d'une chronique douce-amère, qui s'écrit au gré des lieux et des personnes retrouvées.
Dans la lignée de Stupeur et Tremblements, Amélie Nothomb nous raconte son pays natal qu'elle n'a cessé de réinventer. Roman autobiographique, ce récit d'un retour au Japon permet d'aborder les thèmes de la représentation de soi et du rapport à l'autre à travers une forme d'écriture de soi parfois proche de la confession, dans laquelle la narratrice met son coeur à nu. Il est aussi l'occasion d'étudier l'expression de la subjectivité et la fonction que l'auteure attribue à son écriture.
L'appareil pédagogique est suivi d'une interview exclusive d'Amélie Nothomb.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

3 Coups de cœur
de nos libraires
Sylvie ThomassonDecitre Part-Dieu
3/5
retour au japon
ce récit est à lire en regardant le documentaire de France 5 "Amélie Nothomb entre deux eaux" Il s'agit du retour de l'écrivain sur les lieux de son enfance, avec une scène trés émouvante avec sa nourrice, sa "mère" japonaise et ses retrouvailles avec Rinri l'amoureux de ses vingt ans. Quelle belle personne cette Amélie! à la fois originale, humble et nostalgique. J'ai encore plein de livres d'elle à lire.
ce récit est à lire en regardant le documentaire de France 5 "Amélie Nothomb entre deux eaux" Il s'agit du retour de l'écrivain sur les lieux de son enfance, avec une scène trés émouvante avec sa nourrice, sa "mère" japonaise et ses retrouvailles avec Rinri l'amoureux de ses vingt ans. Quelle belle personne cette Amélie! à la fois originale, humble et nostalgique. J'ai encore plein de livres d'elle à lire.
  • Emouvant
  • XXIe siècle
  • Japon
  • nostalgie
  • Amélie
  • Rinri
  • ninshio san
"La mémoire est une aventure bizarre"
Certains critiques sont trop sévères et certains aficionados jubilent. D'autres n'y verront qu'un bref épisode narcissique, qu'un caprice de notoriété. Retour au Japon donc, retour en grâce aussi, retour émotif et à reculons sur ses premiers pas, enfance et premier amour. "Seize ans sans Japon". Pas évident de retourner dans le pays de ses premiers amours, non pas facile. "L"Apocalypse, c'est quand on ne reconnait plus rien". Mais heureusement l'humour, l'ironie sage et lumineuse prend le relais "- les caniveaux et les égouts n'ont pas changé". Pratiquer après "un japonais de cuisine" comme elle décrit le sien aujourd'hui permet des bourdes assez cocasses et de revenir sur des glissements de sens et ses impressions réelles. Le Japon a encore beaucoup à nous apprendre et par une altérité incomplète nous renvoie des merveilles de sens et ouvre à une autre façon de ressentir. Les retrouvailles génèrent vénération et pleure, gêne et interrogation, détournement et dépassement des codes. Elle reste excessive pour des japonais mais l'incident de Fukushima lui en a ré-ouvert les portes. Trop sensible donc mais sans doute aussi pour le meilleur : laisser rentrer l'autre et le monde... Ne vous dispensez pas en ayant cru voir le documentaire de cette lecture, dans le livre, il y a tous ce qui de plus profond ne se voit pas, ne se filme pas même si cela en est à l'origine l'opportunité. C'est un livre bref mais concis et parfois d'une beauté extraordinaire même quand il décrit l'après Fukushima. Chaque mot est choisi, pesé, écrit et elle n'a de tout façon de compte à rendre à personne face à l'infini. ll vous amènera sans doute à l'Ima ou non selon votre disposition. Le passé et le présent s'entrechoquent dans un invraisemblable choc poétique franco-japonais. Un beau voyage, une véritable initiation à la nostalgie heureuse -notion japonaise- et un regard sur le monde.... Une ambassadrice non protocolaire et à rebours. J'aimerais ajouter à cet avis une phrase d'un autre livre de cette rentrée : "La vie n'est pas ce qu'on a vécu, mais ce dont on se souvient"...
Certains critiques sont trop sévères et certains aficionados jubilent. D'autres n'y verront qu'un bref épisode narcissique, qu'un caprice de notoriété. Retour au Japon donc, retour en grâce aussi, retour émotif et à reculons sur ses premiers pas, enfance et premier amour. "Seize ans sans Japon". Pas évident de retourner dans le pays de ses premiers amours, non pas facile. "L"Apocalypse, c'est quand on ne reconnait plus rien". Mais heureusement l'humour, l'ironie sage et lumineuse prend le relais "- les caniveaux et les égouts n'ont pas changé". Pratiquer après "un japonais de cuisine" comme elle décrit le sien aujourd'hui permet des bourdes assez cocasses et de revenir sur des glissements de sens et ses impressions réelles. Le Japon a encore beaucoup à nous apprendre et par une altérité incomplète nous renvoie des merveilles de sens et ouvre à une autre façon de ressentir. Les retrouvailles génèrent vénération et pleure, gêne et interrogation, détournement et dépassement des codes. Elle reste excessive pour des japonais mais l'incident de Fukushima lui en a ré-ouvert les portes. Trop sensible donc mais sans doute aussi pour le meilleur : laisser rentrer l'autre et le monde... Ne vous dispensez pas en ayant cru voir le documentaire de cette lecture, dans le livre, il y a tous ce qui de plus profond ne se voit pas, ne se filme pas même si cela en est à l'origine l'opportunité. C'est un livre bref mais concis et parfois d'une beauté extraordinaire même quand il décrit l'après Fukushima. Chaque mot est choisi, pesé, écrit et elle n'a de tout façon de compte à rendre à personne face à l'infini. ll vous amènera sans doute à l'Ima ou non selon votre disposition. Le passé et le présent s'entrechoquent dans un invraisemblable choc poétique franco-japonais. Un beau voyage, une véritable initiation à la nostalgie heureuse -notion japonaise- et un regard sur le monde.... Une ambassadrice non protocolaire et à rebours. J'aimerais ajouter à cet avis une phrase d'un autre livre de cette rentrée : "La vie n'est pas ce qu'on a vécu, mais ce dont on se souvient"...
  • Drôle
  • Inattendu
  • XXIe siècle
  • Paris
  • Japon
  • Amélie Nothomb
  • littérature française
  • nostalgie
  • Tokyo
  • Vibrant
  • Kyoto
  • Himalaya
  • rentrée 2013
  • Ayoma
  • natsukashi
  • ima
FabienDecitre Part-Dieu
5/5
« Il peut arriver que le plus profond de nos besoins soit aussi la plus atroce des ordalies ».
« Tout ce que l’on aime devient une fiction », c’est pourquoi Amélie Nothomb parle de roman concernant ce texte. Ce n’est pas une obligation mais il est intéressant de lire Métaphysique des tubes – avant ou après, peu importe – car cela apporte un éclairage différent, une émotion bien plus forte à la lecture de son dernier ouvrage. De même qu’il me paraît indispensable de voir le documentaire sur son retour au Japon (le magazine Empreintes sur France 5) en complément de cette lecture. L’émotion est grande dans les deux cas. Le film apporte des clefs à la compréhension de l’œuvre de l’auteur dans son ensemble. En la voyant, ou en l’écoutant parler, surtout lors des grandes représentations de rentrée littéraire, on peut se faire une fausse impression, se dire qu’elle s’invente des manies, que Nothomb joue un rôle, mais c’est aussi faux, elle est tout le contraire, elle se met à nue avec une honnêteté, une franchise désarmante. Dans ce documentaire et dans le récit qui en est, en quelque sorte, le palimpseste, elle se montre à ses lecteurs comme elle ne l’avait jamais fait, même dans ses romans dits « autobiographiques », et en dépit du fait qu’elle montre toujours une partie d’elle-même dans chacun de ses romans. « Au fil du temps, je m’étais laissé envahir d’un si profond sentiment d’irréalité que j’en étais arrivée à croire avoir inventé mon passé nippon ». Et donc, malgré les larmes versées après avoir retrouvé Nishio-san, elle doute, jusqu’au moment où, lors d’une visite de son ancienne école qui, contrairement à sa maison natale, n’a pas été détruite lors du terrible tremblement de terre de Kyoto, elle s’exclame « Watashi desu ! » (C’est moi !), la vérité éclate à ses propres yeux. « Si on tend l’oreille, on entend la splendeur des temples, mais elle est insérée comme les bulles d’un temps autre dans la résine d’un tissu urbain délirant ». « Aujourd’hui est indicible » : C’est ce qu’on ne voit pas dans le documentaire, son rendez-vous avec Rinri-san, ancien amour qu’elle a quitté autrefois sans jamais pouvoir l’oublier, dans ces moments de retrouvailles « tout me transforme en personnage de Tchekhov ». Ils font ensemble une promenade du souvenir puis une rencontre avec l’équipe de tournage où il fait un retour sur son expérience de Fukushima. Cette révélation du désastre, les maisons éventrées, et la vision de ces petites choses ou objets qui rappellent qu’il y a eu des gens bien vivants au moment de la catastrophe, « les restes du festin – ce que la mort n’a pas eu l’appétit de finir », nous l’avions dans un passage du film, mais le témoignage de Rinri est bouleversant d’intelligence : « Nous sommes hantés. Nous avons perdu l’insouciance. Nos existences nous pèsent ». Et Nothomb le quittant revient sur sa vie : « une succession d’adieux dont je ne sais jamais s’ils sont définitifs » et de la «solitude de l’émerveillement » lors de son voyage de retour vers Paris. Elle y fait l’expérience philosophique du Kensho : une « perception de l’imminence », elle évoque la fulgurance de cette sensation : un « commencement gigantesque qui n’en finit pas de débuter (…) ce qui est perpétuellement  en train de s’ouvrir est immense (…) ». Le passage près de l’Himalaya m’a fait frémir à sa lecture, elle parle de « colosses enneigées » (…) « de nuit, j’ai l’impression de rencontrer, lors d’une expédition de plongée sous-marine, une famille de baleines bleues, nobles et immobiles, dans ces ténèbres imparfaits des fonds pénultièmes qui permettent d’y voir tellement mieux que les horribles éclairages des hommes ». Pourquoi j’aime autant lire Amélie Nothomb ? Pour tous ces petits traits de caractère, défauts, manies, angoisses, dont elle parle, en toute franchise ou sous le masque d’un personnage, même si il est parfois monstrueux. Elle y fait référence en parlant des changements de masques dans le théâtre Nô. Parce peut-être, comme nombre de ses lecteurs, je m’y reconnais un peu moi-même : Boire du thé tôt le matin, l’anorexie, le mutisme dans sa petite enfance, le retard, dont elle parle comme d’un « crime inexpiable », un souvenir d’enfance en retrouvant un simple caniveau : « Moi qui ai tant joué au poisson ou au bateau le long de son parcours, je me rappelle ce sentiment mythologique d’atteindre la frontière du monde qui coïncide avec la vaste bouche des égouts, la gueule ouverte du néant ». Et elle cite aussi Flaubert : «  La bêtise, c’est de conclure », et concernant ce livre ma critique restera sans fin, et mon plaisir à lire Nothomb toujours sans faim.
« Tout ce que l’on aime devient une fiction », c’est pourquoi Amélie Nothomb parle de roman concernant ce texte. Ce n’est pas une obligation mais il est intéressant de lire Métaphysique des tubes – avant ou après, peu importe – car cela apporte un éclairage différent, une émotion bien plus forte à la lecture de son dernier ouvrage. De même qu’il me paraît indispensable de voir le documentaire sur son retour au Japon (le magazine Empreintes sur France 5) en complément de cette lecture. L’émotion est grande dans les deux cas. Le film apporte des clefs à la compréhension de l’œuvre de l’auteur dans son ensemble. En la voyant, ou en l’écoutant parler, surtout lors des grandes représentations de rentrée littéraire, on peut se faire une fausse impression, se dire qu’elle s’invente des manies, que Nothomb joue un rôle, mais c’est aussi faux, elle est tout le contraire, elle se met à nue avec une honnêteté, une franchise désarmante. Dans ce documentaire et dans le récit qui en est, en quelque sorte, le palimpseste, elle se montre à ses lecteurs comme elle ne l’avait jamais fait, même dans ses romans dits « autobiographiques », et en dépit du fait qu’elle montre toujours une partie d’elle-même dans chacun de ses romans. « Au fil du temps, je m’étais laissé envahir d’un si profond sentiment d’irréalité que j’en étais arrivée à croire avoir inventé mon passé nippon ». Et donc, malgré les larmes versées après avoir retrouvé Nishio-san, elle doute, jusqu’au moment où, lors d’une visite de son ancienne école qui, contrairement à sa maison natale, n’a pas été détruite lors du terrible tremblement de terre de Kyoto, elle s’exclame « Watashi desu ! » (C’est moi !), la vérité éclate à ses propres yeux. « Si on tend l’oreille, on entend la splendeur des temples, mais elle est insérée comme les bulles d’un temps autre dans la résine d’un tissu urbain délirant ». « Aujourd’hui est indicible » : C’est ce qu’on ne voit pas dans le documentaire, son rendez-vous avec Rinri-san, ancien amour qu’elle a quitté autrefois sans jamais pouvoir l’oublier, dans ces moments de retrouvailles « tout me transforme en personnage de Tchekhov ». Ils font ensemble une promenade du souvenir puis une rencontre avec l’équipe de tournage où il fait un retour sur son expérience de Fukushima. Cette révélation du désastre, les maisons éventrées, et la vision de ces petites choses ou objets qui rappellent qu’il y a eu des gens bien vivants au moment de la catastrophe, « les restes du festin – ce que la mort n’a pas eu l’appétit de finir », nous l’avions dans un passage du film, mais le témoignage de Rinri est bouleversant d’intelligence : « Nous sommes hantés. Nous avons perdu l’insouciance. Nos existences nous pèsent ». Et Nothomb le quittant revient sur sa vie : « une succession d’adieux dont je ne sais jamais s’ils sont définitifs » et de la «solitude de l’émerveillement » lors de son voyage de retour vers Paris. Elle y fait l’expérience philosophique du Kensho : une « perception de l’imminence », elle évoque la fulgurance de cette sensation : un « commencement gigantesque qui n’en finit pas de débuter (…) ce qui est perpétuellement  en train de s’ouvrir est immense (…) ». Le passage près de l’Himalaya m’a fait frémir à sa lecture, elle parle de « colosses enneigées » (…) « de nuit, j’ai l’impression de rencontrer, lors d’une expédition de plongée sous-marine, une famille de baleines bleues, nobles et immobiles, dans ces ténèbres imparfaits des fonds pénultièmes qui permettent d’y voir tellement mieux que les horribles éclairages des hommes ». Pourquoi j’aime autant lire Amélie Nothomb ? Pour tous ces petits traits de caractère, défauts, manies, angoisses, dont elle parle, en toute franchise ou sous le masque d’un personnage, même si il est parfois monstrueux. Elle y fait référence en parlant des changements de masques dans le théâtre Nô. Parce peut-être, comme nombre de ses lecteurs, je m’y reconnais un peu moi-même : Boire du thé tôt le matin, l’anorexie, le mutisme dans sa petite enfance, le retard, dont elle parle comme d’un « crime inexpiable », un souvenir d’enfance en retrouvant un simple caniveau : « Moi qui ai tant joué au poisson ou au bateau le long de son parcours, je me rappelle ce sentiment mythologique d’atteindre la frontière du monde qui coïncide avec la vaste bouche des égouts, la gueule ouverte du néant ». Et elle cite aussi Flaubert : «  La bêtise, c’est de conclure », et concernant ce livre ma critique restera sans fin, et mon plaisir à lire Nothomb toujours sans faim.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.9/5
sur 41 notes dont 14 avis lecteurs
La nostalgie heureuse
Mon avis: Je me suis procuré ce roman à la bibliothèque. J'avoue que c'était vraiment par curiosité, car je me faisais tout un monde des romans d'Amélie Nothomb. Son personnage est tellement atypique, que ses écrits me faisaient un peu peur et puis, j'ai tenté et j'ai aimé ! Informations: "La nostalgie heureuse" est un roman contemporain de 162 pages. Le personnage principal et la narratrice est Amélie Nothomb Les personnages secondaires sont Rinri Mizuno (l'ex fiancé d'Amélie Nothomb), Nishio-san (sa gouvernante), Corinne Quentin, entre autres ... Un mot sur l'histoire: Une émission de télévision sur France 5 souhaite faire un reportage sur les traces de l'enfance d'Amélie Nothomb au Japon. Cette dernière accepte assez rapidement, pensant que l'idée sera abandonnée dans les prochaines semaines. À sa grande surprise, trois mois après, elle reçoit une réponse positive. Le 27 mars 2012, elle s'envole accompagnée de toute une équipe de tournage pour le pays du Soleil levant. C'est pour elle une grande émotion, car elle n'y avait pas mis les pieds depuis 16 longues années. Dès son arrivée, elle va retrouver des personnes chères à son cœur, sa gouvernante, Nishio-san, son ex-fiancé, Rinri Mizuno, mais aussi des lieux qui ont marqué son enfance comme son école maternelle, où elle aura la joie de revoir des photos de classe, entre autres choses... Amélie Nothomb revient sur son enfance lorsqu'elle a quitté le Japon à l'âge de cinq ans, sur sa vie amoureuse, sur ses déceptions, mais surtout sur toutes les choses et les personnes qui ont fait d'elle la femme qu'elle est aujourd'hui. Mes ressentis: Comme je le dis plus haut, j'ai commencé cette lecture avec quelques a priori. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Je pensais juste que le contenu aurait été décalé. Or, dès les premières lignes, je me suis aperçue que l'histoire était toute simple. Déjà, j'ai été surprise de voir qu'Amélie Nothomb se dévoile autant dans son livre. Ma chronique: http://leslecturesdelily.blogspot.fr/2014/04/la-nostalgie-heureuse-ecrit-par-amelie.html
Mon avis: Je me suis procuré ce roman à la bibliothèque. J'avoue que c'était vraiment par curiosité, car je me faisais tout un monde des romans d'Amélie Nothomb. Son personnage est tellement atypique, que ses écrits me faisaient un peu peur et puis, j'ai tenté et j'ai aimé ! Informations: "La nostalgie heureuse" est un roman contemporain de 162 pages. Le personnage principal et la narratrice est Amélie Nothomb Les personnages secondaires sont Rinri Mizuno (l'ex fiancé d'Amélie Nothomb), Nishio-san (sa gouvernante), Corinne Quentin, entre autres ... Un mot sur l'histoire: Une émission de télévision sur France 5 souhaite faire un reportage sur les traces de l'enfance d'Amélie Nothomb au Japon. Cette dernière accepte assez rapidement, pensant que l'idée sera abandonnée dans les prochaines semaines. À sa grande surprise, trois mois après, elle reçoit une réponse positive. Le 27 mars 2012, elle s'envole accompagnée de toute une équipe de tournage pour le pays du Soleil levant. C'est pour elle une grande émotion, car elle n'y avait pas mis les pieds depuis 16 longues années. Dès son arrivée, elle va retrouver des personnes chères à son cœur, sa gouvernante, Nishio-san, son ex-fiancé, Rinri Mizuno, mais aussi des lieux qui ont marqué son enfance comme son école maternelle, où elle aura la joie de revoir des photos de classe, entre autres choses... Amélie Nothomb revient sur son enfance lorsqu'elle a quitté le Japon à l'âge de cinq ans, sur sa vie amoureuse, sur ses déceptions, mais surtout sur toutes les choses et les personnes qui ont fait d'elle la femme qu'elle est aujourd'hui. Mes ressentis: Comme je le dis plus haut, j'ai commencé cette lecture avec quelques a priori. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre. Je pensais juste que le contenu aurait été décalé. Or, dès les premières lignes, je me suis aperçue que l'histoire était toute simple. Déjà, j'ai été surprise de voir qu'Amélie Nothomb se dévoile autant dans son livre. Ma chronique: http://leslecturesdelily.blogspot.fr/2014/04/la-nostalgie-heureuse-ecrit-par-amelie.html
la nostalgie heureuse
Un livre qui se lit très rapidement comme ces œuvres précédentes mais qui se lit avec plaisir. Ce roman est rempli d'émotions avec une pointe d'ironie quand à l'intervention des journalistes. Toujours un sentiment de livre un peu léger un peu court mais non bâclé donc je recommande.
Un livre qui se lit très rapidement comme ces œuvres précédentes mais qui se lit avec plaisir. Ce roman est rempli d'émotions avec une pointe d'ironie quand à l'intervention des journalistes. Toujours un sentiment de livre un peu léger un peu court mais non bâclé donc je recommande.
NATSUKASHII ou LA NOSTALGIE HEUREUSE
Encore une fois Amélie Nothomb nous emmène au Japon ; mais cette fois c'est un vrai voyage. Nostalgie heureuse - a nothombDes souvenirs qu'elle n'a eu de cesse (dans tous ces livres ou presque) de nous raconter, elle part ici les retrouver. J'aime bien ce mot Natsukashii "la Nostalgie Heureuse" parce qu'en français la nostalgie évoque plutôt la douleur d'un souvenir, qu'il soit gai ou triste d'ailleurs, parce qu'il rappelle un moment perdu. Et pourtant, ce n'est pas la douleur qui va l'épargner dans ce voyage dans le passé, revenir dans cette ville qu'elle a quitté il y a 20 ans, et c'est bien la nostaglie douloureuse qu'elle va vivre. Natsukashii... c'est bien beau mais... On pourrait se lasser des livres d'Amélie.N, toujours les mêmes souvenirs.. le Japon, la Belgique puis la la France, et re et re... eh bien non, moi pas. J'ai savouré son écriture, qui si elle est parfois pompeuse et narcissique à l'image de son auteure, il faut dire ce qui est, reste très agréable à lire. Non dénuée d'humour Amélie.N a le don il vrai de trouver le mot juste, celui qui nous épate, et des expressions qui font mouche. Je me suis régalée -comme toujours- dans ce petit tour au Japon où elle nous fait rencontrer les gens de sa vie passée, et où on découvre des facettes étonnantes de la vie nippone et des mentalités. Un bon moment, trop vite lu... j'ai essayé de ralentir mais elle nous entraîne avec sa fraîcheur et sa spontanéïté. Si certains disent que Nothomb c'est toujours pareil, ça lasse ? Je réponds Qui se lasse d'un bon pain ? Amélie j'en redemande
Encore une fois Amélie Nothomb nous emmène au Japon ; mais cette fois c'est un vrai voyage. Nostalgie heureuse - a nothombDes souvenirs qu'elle n'a eu de cesse (dans tous ces livres ou presque) de nous raconter, elle part ici les retrouver. J'aime bien ce mot Natsukashii "la Nostalgie Heureuse" parce qu'en français la nostalgie évoque plutôt la douleur d'un souvenir, qu'il soit gai ou triste d'ailleurs, parce qu'il rappelle un moment perdu. Et pourtant, ce n'est pas la douleur qui va l'épargner dans ce voyage dans le passé, revenir dans cette ville qu'elle a quitté il y a 20 ans, et c'est bien la nostaglie douloureuse qu'elle va vivre. Natsukashii... c'est bien beau mais... On pourrait se lasser des livres d'Amélie.N, toujours les mêmes souvenirs.. le Japon, la Belgique puis la la France, et re et re... eh bien non, moi pas. J'ai savouré son écriture, qui si elle est parfois pompeuse et narcissique à l'image de son auteure, il faut dire ce qui est, reste très agréable à lire. Non dénuée d'humour Amélie.N a le don il vrai de trouver le mot juste, celui qui nous épate, et des expressions qui font mouche. Je me suis régalée -comme toujours- dans ce petit tour au Japon où elle nous fait rencontrer les gens de sa vie passée, et où on découvre des facettes étonnantes de la vie nippone et des mentalités. Un bon moment, trop vite lu... j'ai essayé de ralentir mais elle nous entraîne avec sa fraîcheur et sa spontanéïté. Si certains disent que Nothomb c'est toujours pareil, ça lasse ? Je réponds Qui se lasse d'un bon pain ? Amélie j'en redemande
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  • Amélie Nothomb
  • souvenirs d'enfance
  • retrouvailles
  • Bouleversant
Amélie Nothomb
Amélie Nothomb est une écrivaine belge possédant un univers singulier aux personnages attachants. Si vous cherchez un livre de poche à la fois divertissant et profond, nous vous conseillons Barbe bleue . Découvrez sa révision du célèbre conte avec son lot de personnages et de situations insolites. Faites-vous plaisir et achetez-le dès maintenant ! Votre libraire en ligne a aussi sélectionné pour vous : Une forme de vie , Stupeur et tremblements ou encore Hygiène de l'assassin . Nos romans sont disponibles en format e-books , poche, audio, livres électroniques...
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