"Et Winston, Winston Churchill, c'est Noël. Noël à lui tout seul".
La vie est une fête et le monde un grand banquet, de cynisme.
Avec une plume d’une fluidité remarquable, délicieusement malicieuse, une rigueur journalistique chaloupée de romanesque, Corinne Desarzens s’immisce dans les plis d’un homme et de l’histoire : Winston Churchill.
Ici, La littérature s’empare brillamment des contours et des travers d'un mythe.
Une grande cuisine saturée des fragments d’une vie, de bouffe comme de désirs, d’humeurs et d’incertitudes. Le monde à la lunette d’une grande marmite qui fume, en pantoufles et gargantuesque, le cigare au bec, bien sûr, sensible et grave, éminemment.
Passionnant, savoureux, joyeusement enlevé, autant de couleurs qui débordent à l’excès d’une toile qui ne cesse de vibrer.
Une vraie réussite, foisonnante de dédales, de remous, un petit bijou de littérature introspective.
"Et Winston, Winston Churchill, c'est Noël. Noël à lui tout seul".
La vie est une fête et le monde un grand banquet, de cynisme.
Avec une plume d’une fluidité remarquable, délicieusement malicieuse, une rigueur journalistique chaloupée de romanesque, Corinne Desarzens s’immisce dans les plis d’un homme et de l’histoire : Winston Churchill.
Ici, La littérature s’empare brillamment des contours et des travers d'un mythe.
Une grande cuisine saturée des fragments d’une vie, de bouffe comme de désirs, d’humeurs et d’incertitudes. Le monde à la lunette d’une grande marmite qui fume, en pantoufles et gargantuesque, le cigare au bec, bien sûr, sensible et grave, éminemment.
Passionnant, savoureux, joyeusement enlevé, autant de couleurs qui débordent à l’excès d’une toile qui ne cesse de vibrer.
Une vraie réussite, foisonnante de dédales, de remous, un petit bijou de littérature introspective.