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Mathieu Lartaud

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Les derniers avis

    Saint-Nazaire.
    Saint-Nazaire, carrefour des rêves et des possibles, des imaginaires que seule permet la littérature. Patrick Deville fait de ce port d’attache et d’envol un refuge peuplé de figures, de détours et de littérature où se croisent l’histoire, les territoire de l’enfance et ses vertiges, des ailleurs qui se dessinent comme des portes ouvertes vers des voyages au long cours. Une Déambulation savoureuse dans la mémoire ouvrière d’une ville arpentée comme un millefeuille d’histoires qui s'entremêlent. Patrick Deville reste à quai, mais le plaisir demeure intact.
    Saint-Nazaire, carrefour des rêves et des possibles, des imaginaires que seule permet la littérature. Patrick Deville fait de ce port d’attache et d’envol un refuge peuplé de figures, de détours et de littérature où se croisent l’histoire, les territoire de l’enfance et ses vertiges, des ailleurs qui se dessinent comme des portes ouvertes vers des voyages au long cours. Une Déambulation savoureuse dans la mémoire ouvrière d’une ville arpentée comme un millefeuille d’histoires qui s'entremêlent. Patrick Deville reste à quai, mais le plaisir demeure intact.
    Crétin des Alpes !
    Avis posté le 2024-11-16
      Crétin des alpes
      La mémoire et ses fragments, l’enfance comme un trésor cadenassé en soi, entre souvenirs, mythologies personnelles et blessures que l’on cache avec la pudeur des enchantements les plus simples. Crétin des Alpes est de ces textes merveilleux de tendresse, le regard d’un môme exilé qui dit le monde qui l’entoure, le sien, celui des grands, les paysages comme les gens qui le peuple avec l’innocence et la curiosité que seule les mondes de l’enfance autorisent, ceux qui que l'on aimerait préserver dans nos chemins d'adultes Un petit texte merveilleux, fragile et frémissant de Dominique Fabre comme un voile de pudeur qui vous enveloppe..
      La mémoire et ses fragments, l’enfance comme un trésor cadenassé en soi, entre souvenirs, mythologies personnelles et blessures que l’on cache avec la pudeur des enchantements les plus simples. Crétin des Alpes est de ces textes merveilleux de tendresse, le regard d’un môme exilé qui dit le monde qui l’entoure, le sien, celui des grands, les paysages comme les gens qui le peuple avec l’innocence et la curiosité que seule les mondes de l’enfance autorisent, ceux qui que l'on aimerait préserver dans nos chemins d'adultes Un petit texte merveilleux, fragile et frémissant de Dominique Fabre comme un voile de pudeur qui vous enveloppe..
      La Barque de Masao
      Avis posté le 2024-09-17
        La barque de Masao.
        Sur la petite île japonaise de Naoshima, Antoine Choplin tisse un récit peuplé de mers intérieures, d’architectures intimes qui se dévoilent et se resserrent le long d'un fil imaginaire et des îlots qui se font lien. Une géographie fragile et sensorielle, infiniment belle et délicate d’où se dégage une mélodie mêlée de pudeur et de mélancolie ouvrière, où l’on parle d’art et de poésie, de paysages habités de souvenirs et de possibles, des sillons sinueux d'une vie comme de troués qui se comblent à nouveau. La barque de Masao est une histoire ouatée de douceur et de silences, sur les rivages flottants d'une existence, d’un amour et d’une absence. Une histoire en pointillés comme un tableau impressionniste qui s’épaissit devant nous. Quelques pages précieuses, d’une rare sensibilité, polies discrètement à l’épure d’une langue qui elle, se déplie, cotonneuse, envoûtante, infiniment sensuelle, où ce qui se laisse entendre entre les mots est parfois bien plus fort. Un texte à la lisière de mondes, une caresse traversée de lueurs, qui tranche avec la brutalité des temps...
        Sur la petite île japonaise de Naoshima, Antoine Choplin tisse un récit peuplé de mers intérieures, d’architectures intimes qui se dévoilent et se resserrent le long d'un fil imaginaire et des îlots qui se font lien. Une géographie fragile et sensorielle, infiniment belle et délicate d’où se dégage une mélodie mêlée de pudeur et de mélancolie ouvrière, où l’on parle d’art et de poésie, de paysages habités de souvenirs et de possibles, des sillons sinueux d'une vie comme de troués qui se comblent à nouveau. La barque de Masao est une histoire ouatée de douceur et de silences, sur les rivages flottants d'une existence, d’un amour et d’une absence. Une histoire en pointillés comme un tableau impressionniste qui s’épaissit devant nous. Quelques pages précieuses, d’une rare sensibilité, polies discrètement à l’épure d’une langue qui elle, se déplie, cotonneuse, envoûtante, infiniment sensuelle, où ce qui se laisse entendre entre les mots est parfois bien plus fort. Un texte à la lisière de mondes, une caresse traversée de lueurs, qui tranche avec la brutalité des temps...
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