Atteindre les objets eux-mêmes, en ce qu'ils sont, par-delà les représentations qui en sont couramment diffusées. Après s'être confronté à la photographie au milieu des années quatre-vingt-dix, Gérard Traquandi retourne aux tableaux et s'engage dès lors frontalement dans cette voie de la peinture, gravissant les sommets les uns après les autres. A la recherche de rencontres toujours plus intenses avec la nature, le végétal et le minéral, il s'adonne à de longues marches dans les massifs alpins, du Queyras, de la Grave... d'où il prélève, dans un face-à-face avec le réel, des situations et des sensations qui, de retour à l'atelier, sont le point de départ, le référent sensible lui permettant d'accéder à une autre réalité. à un autre rapport de force, celui du tableau.
Atteindre les objets eux-mêmes, en ce qu'ils sont, par-delà les représentations qui en sont couramment diffusées. Après s'être confronté à la photographie au milieu des années quatre-vingt-dix, Gérard Traquandi retourne aux tableaux et s'engage dès lors frontalement dans cette voie de la peinture, gravissant les sommets les uns après les autres. A la recherche de rencontres toujours plus intenses avec la nature, le végétal et le minéral, il s'adonne à de longues marches dans les massifs alpins, du Queyras, de la Grave... d'où il prélève, dans un face-à-face avec le réel, des situations et des sensations qui, de retour à l'atelier, sont le point de départ, le référent sensible lui permettant d'accéder à une autre réalité. à un autre rapport de force, celui du tableau.