Sea Power ?. De Grasse et Vaudreuil : durer en opérations

Par : Olivier Chaline, Jean-Marie Kowalski, Pierre Le Bot
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  • Nombre de pages528
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.894 kg
  • Dimensions16,4 cm × 24,1 cm × 2,6 cm
  • ISBN979-10-231-0789-0
  • EAN9791023107890
  • Date de parution10/04/2025
  • CollectionHistoire maritime
  • ÉditeurSorbonne Université Presses

Résumé

Sea Power : deux mots magiques dans la bouche des historiens et stratèges navals. Mais quelle réalité au temps de la marine à voile ? Revenons au réel fait de vagues et de vents, de jours et de nuits qui usent les vaisseaux et les hommes. On ne déploie pas impunément à la mer une force navale, surtout si celle-ci est importante et que la campagne dure longtemps. Point n'est besoin des combats pour infliger des avaries aux navires et éprouver les hommes.
Les flots et le vent suffisent... Au temps de la voile, l'armée navale française commandée en 1781-1783 par le comte de Grasse puis le marquis de Vaudreuil offre un cas d'école. Louis XVI et ses ministres ont envoyé un gros tiers des vaisseaux français de l'autre côté de l'Atlantique pour arracher la victoire sur l'Angleterre, ce qui fut le cas à la Chesapeake et à Yorktown, mais ils ont aussi porté l'outil naval presque jusqu'à son point de rupture.
Trop loin, trop fort, trop longtemps ? Sorbonne Université et l'Ecole Navale ont travaillé ensemble pour répondre à cette question toujours d'actualité : comment durer en opérations loin de ses bases sans perdre tout ou partie de son potentiel opérationnel ? L'océan ne se moque-t-il pas de nos prétentions ?
Sea Power : deux mots magiques dans la bouche des historiens et stratèges navals. Mais quelle réalité au temps de la marine à voile ? Revenons au réel fait de vagues et de vents, de jours et de nuits qui usent les vaisseaux et les hommes. On ne déploie pas impunément à la mer une force navale, surtout si celle-ci est importante et que la campagne dure longtemps. Point n'est besoin des combats pour infliger des avaries aux navires et éprouver les hommes.
Les flots et le vent suffisent... Au temps de la voile, l'armée navale française commandée en 1781-1783 par le comte de Grasse puis le marquis de Vaudreuil offre un cas d'école. Louis XVI et ses ministres ont envoyé un gros tiers des vaisseaux français de l'autre côté de l'Atlantique pour arracher la victoire sur l'Angleterre, ce qui fut le cas à la Chesapeake et à Yorktown, mais ils ont aussi porté l'outil naval presque jusqu'à son point de rupture.
Trop loin, trop fort, trop longtemps ? Sorbonne Université et l'Ecole Navale ont travaillé ensemble pour répondre à cette question toujours d'actualité : comment durer en opérations loin de ses bases sans perdre tout ou partie de son potentiel opérationnel ? L'océan ne se moque-t-il pas de nos prétentions ?
La Bataille
Jean Baechler, Olivier Chaline
E-book
25,99 €