Sachant toute solitude
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- Nombre de pages124
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.109 kg
- Dimensions11,5 cm × 16,5 cm × 1,1 cm
- ISBN2-7291-1102-6
- EAN9782729111021
- Date de parution01/06/1995
- CollectionOrphée
- ÉditeurLa Différence
- TraducteurRené Agostini
Résumé
John Millington Synge (1871-1909). Esprit ouvert et non conformiste, passionné par l'ornithologie, et la musique, qui baigne littéralement sa vie et son écriture, ce solitaire nous est un dramaturge familier. Mais ses poèmes, moins connus, accompagnent sa vie, dans une démarche assez parente de celle de Saba ou de Séféris. Ainsi, dans Vita Vecchia (la référence à Dante n'est pas fortuite), Synge mêle rencontres, récits et songes, jusqu'à "douter" les avoir consciemment traduits de son vécu.
Ce "réalisme onirique" captant les "instants de grâce" en quatrains, sonnets ou ballades, rejoint son théâtre dans la culture irlandaise. Une grande part de ces poèmes, choisis, traduits et présentés par René Agostini, sont inédits.
Ce "réalisme onirique" captant les "instants de grâce" en quatrains, sonnets ou ballades, rejoint son théâtre dans la culture irlandaise. Une grande part de ces poèmes, choisis, traduits et présentés par René Agostini, sont inédits.
John Millington Synge (1871-1909). Esprit ouvert et non conformiste, passionné par l'ornithologie, et la musique, qui baigne littéralement sa vie et son écriture, ce solitaire nous est un dramaturge familier. Mais ses poèmes, moins connus, accompagnent sa vie, dans une démarche assez parente de celle de Saba ou de Séféris. Ainsi, dans Vita Vecchia (la référence à Dante n'est pas fortuite), Synge mêle rencontres, récits et songes, jusqu'à "douter" les avoir consciemment traduits de son vécu.
Ce "réalisme onirique" captant les "instants de grâce" en quatrains, sonnets ou ballades, rejoint son théâtre dans la culture irlandaise. Une grande part de ces poèmes, choisis, traduits et présentés par René Agostini, sont inédits.
Ce "réalisme onirique" captant les "instants de grâce" en quatrains, sonnets ou ballades, rejoint son théâtre dans la culture irlandaise. Une grande part de ces poèmes, choisis, traduits et présentés par René Agostini, sont inédits.