Roger Joly, dit Ma Beauté. La mine, l'annexe, les souvenirs
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- Nombre de pages76
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.104 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,0 cm
- ISBN978-2-343-22248-6
- EAN9782343222486
- Date de parution15/01/2021
- CollectionTerrains en miroir
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Jean-Yves Boursier a rencontré voici 30 ans Roger Joly, dans le cadre de ses recherches sur le maquis FTP de la Côte chalonnaise, dit Camp Jean Pierson, auquel Roger appartenait. Roger, alors surnommé Ma Beauté par de vieux mineurs aujourd'hui disparus. Jean-Yves Boursier a ainsi connu le Café Joly, Juliette et nombre de personnes évoquées dans ce livre. Il n'est nullement question ici d'une recherche académique sur les mineurs de Montceau-les-Mines et du bassin minier.
On peut se promener sur des ruines, celles d'un passé florissant, on peut embaumer ce qui est mort, créer des musées, mais on peut également penser les ruines. C'est plutôt le propos de l'auteur, au travers du personnage de ce mineur, de trouver des pistes sur "ce qui nous reste", non pas comme héritage garanti, mais comme questions dans les temps incertains qui sont les nôtres.
On peut se promener sur des ruines, celles d'un passé florissant, on peut embaumer ce qui est mort, créer des musées, mais on peut également penser les ruines. C'est plutôt le propos de l'auteur, au travers du personnage de ce mineur, de trouver des pistes sur "ce qui nous reste", non pas comme héritage garanti, mais comme questions dans les temps incertains qui sont les nôtres.
Jean-Yves Boursier a rencontré voici 30 ans Roger Joly, dans le cadre de ses recherches sur le maquis FTP de la Côte chalonnaise, dit Camp Jean Pierson, auquel Roger appartenait. Roger, alors surnommé Ma Beauté par de vieux mineurs aujourd'hui disparus. Jean-Yves Boursier a ainsi connu le Café Joly, Juliette et nombre de personnes évoquées dans ce livre. Il n'est nullement question ici d'une recherche académique sur les mineurs de Montceau-les-Mines et du bassin minier.
On peut se promener sur des ruines, celles d'un passé florissant, on peut embaumer ce qui est mort, créer des musées, mais on peut également penser les ruines. C'est plutôt le propos de l'auteur, au travers du personnage de ce mineur, de trouver des pistes sur "ce qui nous reste", non pas comme héritage garanti, mais comme questions dans les temps incertains qui sont les nôtres.
On peut se promener sur des ruines, celles d'un passé florissant, on peut embaumer ce qui est mort, créer des musées, mais on peut également penser les ruines. C'est plutôt le propos de l'auteur, au travers du personnage de ce mineur, de trouver des pistes sur "ce qui nous reste", non pas comme héritage garanti, mais comme questions dans les temps incertains qui sont les nôtres.