Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La présente étude se propose d'analyser, de mettre en cause, puis en perspective le thème reçu de la fin de la philosophie. Analyser le motif, en...
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Livré chez vous entre le 28 septembre et le 1 octobre
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Résumé
La présente étude se propose d'analyser, de mettre en cause, puis en perspective le thème reçu de la fin de la philosophie. Analyser le motif, en développant diverses variantes (post-analytique, phénoménologique, etc.). Le mettre en cause, à la lumière d'une conception de la signification philosophique qui aille au-delà des paradoxes dont la racine est commune : une " cours à la référence " au détriment d'une théorie minimale de l'auto-référence. Au total, fournir un modèle qui mène vers la fin de la fin de la philosophie, c'est-à-dire vers la vie toujours recommencée.
Sommaire
LE THEME DE LA FIN DE LA PHILOSOPHIE OU LES PARADOXES DE L'ENONCIATION
La " post-philosophie ", sceptiques et scientistes
" Le dire et le dit ", deux paradigmes pour un même thème
Les positions antispéculatives : l'exemple de Habermas
L'ombre de Kant dans le paysage philosophique actuel
LA REMISE EN CAUSE DU THEME DE LA MORT DE LA PHILOSOPHIE : L'A PRIORI REFLEXIF
Définition du modèle : connaissance scientifique et savoir philosophique
Consistance du modèle de l'autoréférence
Fécondité du modèle
Au-delà de la mort de la philosophie
MISE EN PERSPECTIVE DU THEME DE LA MORT DE LA PHILOSOPHIE, LA SOURCE DU DEFICIT REFLEXIF
La " course à la référence "
La tension entre référence et autoréférence au sein du système kantien
Le choix de Helmholtz comme choix de référence : la naturalisation du criticisme
Le criticisme : théorie positiviste de la connaissance ou ontologie existentiale ?