Quand Versailles était conté. La cour de Louis XIV par les écrivains de son temps
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- Nombre de pages400
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.392 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,1 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-251-45383-5
- EAN9782251453835
- Date de parution05/10/2022
- ÉditeurBelles Lettres
Résumé
Voici une promenade littéraire qui prend pour sujet la cour de Louis XIV. On voudrait y montrer comment en parlaient, s'en étonnaient, s'en moquaient, l'admiraient ou la fouaillaient les écrivains qui eurent le loisir de la fréquenter et de l'observer : les grands, les Molière, La Fontaine ou La Bruyère, Bossuet et Saint-Simon, Mmes de La Fayette ou de Sévigné ; et puis quelques secondes plumes aussi, mémorialistes attentifs ou princes bien informés, et jusqu'au Roi Soleil lui-même.
Rien d'exhaustif dans ces choix. Plus que le souci d'analyse historique, le plaisir littéraire les a gouvernés, qui voudrait se transmettre au lecteur : lui faire savourer le coup d'oeil et le coup (le patte, la musique de la langue incisive et pleine, l'économie du tour et du trait, signatures de ces auteurs qu'on a peut-être tort de dire classiques, de ne dire que classiques. Un hommage à la plume et à l'esprit, qui suggère sur la cour d'alors et de toujours quelques vérités d'analyse et de satire propres à éclairer aussi notre temps.
Rien d'exhaustif dans ces choix. Plus que le souci d'analyse historique, le plaisir littéraire les a gouvernés, qui voudrait se transmettre au lecteur : lui faire savourer le coup d'oeil et le coup (le patte, la musique de la langue incisive et pleine, l'économie du tour et du trait, signatures de ces auteurs qu'on a peut-être tort de dire classiques, de ne dire que classiques. Un hommage à la plume et à l'esprit, qui suggère sur la cour d'alors et de toujours quelques vérités d'analyse et de satire propres à éclairer aussi notre temps.
Voici une promenade littéraire qui prend pour sujet la cour de Louis XIV. On voudrait y montrer comment en parlaient, s'en étonnaient, s'en moquaient, l'admiraient ou la fouaillaient les écrivains qui eurent le loisir de la fréquenter et de l'observer : les grands, les Molière, La Fontaine ou La Bruyère, Bossuet et Saint-Simon, Mmes de La Fayette ou de Sévigné ; et puis quelques secondes plumes aussi, mémorialistes attentifs ou princes bien informés, et jusqu'au Roi Soleil lui-même.
Rien d'exhaustif dans ces choix. Plus que le souci d'analyse historique, le plaisir littéraire les a gouvernés, qui voudrait se transmettre au lecteur : lui faire savourer le coup d'oeil et le coup (le patte, la musique de la langue incisive et pleine, l'économie du tour et du trait, signatures de ces auteurs qu'on a peut-être tort de dire classiques, de ne dire que classiques. Un hommage à la plume et à l'esprit, qui suggère sur la cour d'alors et de toujours quelques vérités d'analyse et de satire propres à éclairer aussi notre temps.
Rien d'exhaustif dans ces choix. Plus que le souci d'analyse historique, le plaisir littéraire les a gouvernés, qui voudrait se transmettre au lecteur : lui faire savourer le coup d'oeil et le coup (le patte, la musique de la langue incisive et pleine, l'économie du tour et du trait, signatures de ces auteurs qu'on a peut-être tort de dire classiques, de ne dire que classiques. Un hommage à la plume et à l'esprit, qui suggère sur la cour d'alors et de toujours quelques vérités d'analyse et de satire propres à éclairer aussi notre temps.