Quand la vie prend le corps. Essai à deux voix
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- Nombre de pages140
- PrésentationBroché
- Poids0.18 kg
- Dimensions13,8 cm × 21,8 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-204-09698-0
- EAN9782204096980
- Date de parution13/04/2012
- CollectionThéologies
- ÉditeurCerf
- PréfacierMarie Keyrouz
Résumé
Qu'est-ce qui peut justifier la rencontre entre un philosophe et
une danseuse de renommée internationale ? Autrement dit, en
quoi le questionnement sur la destinée de l'homme et de sa
vocation peut-il s'éclairer de manière inédite à la lumière d'un
tel échange ? L'ouverture à cet art "incarné" qu'est la danse
permet d'aborder le sens de l'existence humaine de façon
vivante. Par les perspectives étonnantes qu'il offre au lecteur,
cet "essai à deux voix" s'efforce d'approcher l'homme "en
mouvement", en évitant de le figer dans l'abstraction.
Ainsi la tentative d'une réconciliation de la pensée et de la vie entre en profonde résonance avec la réflexion que la danseuse propose sur un parcours dédié à l'Absolu. Par le croisement de leurs démarches et dans le respect de leurs différences, les voix de Mireille Nègre et d'Eric de Rus s'articulent de l'intérieur à un centre de gravité qui fait l'unité de cet essai. Ce centre, ils le nomment "geste".
Qu'il soit celui de la danseuse ou du penseur, l'enjeu anthropologique de fond est le même. En effet, il s'agit, par toute son existence, de donner corps à la vie qui habite au plus intime du coeur humain. En envisageant l'existence comme une création, le propos qui nous est offert atteint une dimension universelle. Créer : telle est l'essence même de la vie, l'expérience totale par laquelle chaque existence humaine peut s'accomplir.
Ainsi la tentative d'une réconciliation de la pensée et de la vie entre en profonde résonance avec la réflexion que la danseuse propose sur un parcours dédié à l'Absolu. Par le croisement de leurs démarches et dans le respect de leurs différences, les voix de Mireille Nègre et d'Eric de Rus s'articulent de l'intérieur à un centre de gravité qui fait l'unité de cet essai. Ce centre, ils le nomment "geste".
Qu'il soit celui de la danseuse ou du penseur, l'enjeu anthropologique de fond est le même. En effet, il s'agit, par toute son existence, de donner corps à la vie qui habite au plus intime du coeur humain. En envisageant l'existence comme une création, le propos qui nous est offert atteint une dimension universelle. Créer : telle est l'essence même de la vie, l'expérience totale par laquelle chaque existence humaine peut s'accomplir.
Qu'est-ce qui peut justifier la rencontre entre un philosophe et
une danseuse de renommée internationale ? Autrement dit, en
quoi le questionnement sur la destinée de l'homme et de sa
vocation peut-il s'éclairer de manière inédite à la lumière d'un
tel échange ? L'ouverture à cet art "incarné" qu'est la danse
permet d'aborder le sens de l'existence humaine de façon
vivante. Par les perspectives étonnantes qu'il offre au lecteur,
cet "essai à deux voix" s'efforce d'approcher l'homme "en
mouvement", en évitant de le figer dans l'abstraction.
Ainsi la tentative d'une réconciliation de la pensée et de la vie entre en profonde résonance avec la réflexion que la danseuse propose sur un parcours dédié à l'Absolu. Par le croisement de leurs démarches et dans le respect de leurs différences, les voix de Mireille Nègre et d'Eric de Rus s'articulent de l'intérieur à un centre de gravité qui fait l'unité de cet essai. Ce centre, ils le nomment "geste".
Qu'il soit celui de la danseuse ou du penseur, l'enjeu anthropologique de fond est le même. En effet, il s'agit, par toute son existence, de donner corps à la vie qui habite au plus intime du coeur humain. En envisageant l'existence comme une création, le propos qui nous est offert atteint une dimension universelle. Créer : telle est l'essence même de la vie, l'expérience totale par laquelle chaque existence humaine peut s'accomplir.
Ainsi la tentative d'une réconciliation de la pensée et de la vie entre en profonde résonance avec la réflexion que la danseuse propose sur un parcours dédié à l'Absolu. Par le croisement de leurs démarches et dans le respect de leurs différences, les voix de Mireille Nègre et d'Eric de Rus s'articulent de l'intérieur à un centre de gravité qui fait l'unité de cet essai. Ce centre, ils le nomment "geste".
Qu'il soit celui de la danseuse ou du penseur, l'enjeu anthropologique de fond est le même. En effet, il s'agit, par toute son existence, de donner corps à la vie qui habite au plus intime du coeur humain. En envisageant l'existence comme une création, le propos qui nous est offert atteint une dimension universelle. Créer : telle est l'essence même de la vie, l'expérience totale par laquelle chaque existence humaine peut s'accomplir.