Il est de ces petits rituels de lecture immuables : se préparer une tasse de son thé préféré, caler les coussins les plus confortables dans son dos, attendre que le chat s'installe en ronronnant doucement collé aux jambes...
Et puis, il y a ce petit rituel infaillible de la rentrée littéraire depuis maintenant de nombreuses années : se plonger dans le nouveau roman d'Amélie Nothomb.
Parce qu'il faut l'avouer, c'est incontournable, Amélie Nothomb lance la rentrée littéraire française... et c'était encore le cas cl'an passé avec "Premier sang", son trentième roman.
En mars 2020,
le père de l'auteur décède. Malheureusement, la pandémie de Covid-19 ne lui permettra pas de lui dire au revoir.
Et puisqu'il n'y pas eu de dernier adieu, ce père reste vivant... du moins sous la plume de sa fille qui décide de lui dédier son nouveau roman.
Et parce qu'Amélie Nothomb décide d'écrire ce récit à la première personne, la voix de Patrick Nothomb, de son enfance très particulière tiraillée, entre deux couples de grands-parents aux vies totalement différentes, à sa vie d'adulte, conte avec tendresse, humour et quelquefois sarcasme un parcours incroyable...
L'écriture d'Amélie Nothomb n'est jamais aussi sensible, drôle, mordante et belle que lorsqu'elle traite de l'intime.
Un roman intense et beau qui, par l'Histoire du Père, dévoile peut-être un peu du pourquoi la Fille a développé une personnalité si originale.
Un roman qui aurait pu être mélancolique et triste mais qui se révèle solaire.
"Premier sang" ramène le lecteur à l'essentiel : le lien d'Amour, indéfectible, comblé d'une pointe d'admiration et de beaucoup de respect pour un Homme à la vie incroyable et dont il aurait été dommage de rien savoir.
Un roman d'une grande force... à la fois intime et pudique... une belle preuve d'Amour !
Un roman tendre et solaire....
Il est de ces petits rituels de lecture immuables : se préparer une tasse de son thé préféré, caler les coussins les plus confortables dans son dos, attendre que le chat s'installe en ronronnant doucement collé aux jambes...
Et puis, il y a ce petit rituel infaillible de la rentrée littéraire depuis maintenant de nombreuses années : se plonger dans le nouveau roman d'Amélie Nothomb.
Parce qu'il faut l'avouer, c'est incontournable, Amélie Nothomb lance la rentrée littéraire française... et c'était encore le cas cl'an passé avec "Premier sang", son trentième roman.
En mars 2020, le père de l'auteur décède. Malheureusement, la pandémie de Covid-19 ne lui permettra pas de lui dire au revoir.
Et puisqu'il n'y pas eu de dernier adieu, ce père reste vivant... du moins sous la plume de sa fille qui décide de lui dédier son nouveau roman.
Et parce qu'Amélie Nothomb décide d'écrire ce récit à la première personne, la voix de Patrick Nothomb, de son enfance très particulière tiraillée, entre deux couples de grands-parents aux vies totalement différentes, à sa vie d'adulte, conte avec tendresse, humour et quelquefois sarcasme un parcours incroyable...
L'écriture d'Amélie Nothomb n'est jamais aussi sensible, drôle, mordante et belle que lorsqu'elle traite de l'intime.
Un roman intense et beau qui, par l'Histoire du Père, dévoile peut-être un peu du pourquoi la Fille a développé une personnalité si originale.
Un roman qui aurait pu être mélancolique et triste mais qui se révèle solaire.
"Premier sang" ramène le lecteur à l'essentiel : le lien d'Amour, indéfectible, comblé d'une pointe d'admiration et de beaucoup de respect pour un Homme à la vie incroyable et dont il aurait été dommage de rien savoir.
Un roman d'une grande force... à la fois intime et pudique... une belle preuve d'Amour !