Portugal, le printemps des capitaines. Réflexions d'un témoin sur une révolution oubliée
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- Nombre de pages172
- PrésentationBroché
- Poids0.246 kg
- Dimensions1,4 cm × 2,2 cm × 0,1 cm
- ISBN2-7384-2614-X
- EAN9782738426147
- Date de parution01/12/1994
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le 25 avril 1974, quelques dizaines d'officiers révoltés mettent fin à un demi-siècle de fascisme tranquille. Ce seront ensuite quelques mois de délire, où l'espérance de chaque instant sera tempérée de crainte : crainte de retour des réflexes totalitaires, crainte de voir la révolution confisquée par Spinola, l'homme au monocle, ou par Otelo de Carvalho, l'autodidacte des barricades. Mais très vite, le peuple a fait l'apprentissage de la liberté et de nouveaux cadres ; celui des responsabilités, face à une économie obsolète, épuisée par douze ans de guerre coloniale, dans une société dont les structures s'étaient écroulées en quelques heures.
Les militaires ont remis le pouvoir à des institutions issues du suffrage universel, le Portugal est aujourd'hui une démocratie pluraliste intégrée à l'Europe, et cette révolution n'a pas fait dix morts. L'auteur, alors jeune officier français, attaché de l'armée de terre à l'Ambassade de France, s'est senti accueilli comme un des leurs par ses camarades portugais, qui faisaient face avec détermination et modestie à des situations difficiles et inattendues.
Vingt ans après, à partir de leurs témoignages, éclairés par ses propres observations, il peint à grands traits, sans dissimuler ce qu'elle a pu avoir de naïf ou d'équivoque, l'histoire de leur révolution, la dernière révolution romantique d'Europe occidentale.
Les militaires ont remis le pouvoir à des institutions issues du suffrage universel, le Portugal est aujourd'hui une démocratie pluraliste intégrée à l'Europe, et cette révolution n'a pas fait dix morts. L'auteur, alors jeune officier français, attaché de l'armée de terre à l'Ambassade de France, s'est senti accueilli comme un des leurs par ses camarades portugais, qui faisaient face avec détermination et modestie à des situations difficiles et inattendues.
Vingt ans après, à partir de leurs témoignages, éclairés par ses propres observations, il peint à grands traits, sans dissimuler ce qu'elle a pu avoir de naïf ou d'équivoque, l'histoire de leur révolution, la dernière révolution romantique d'Europe occidentale.
Le 25 avril 1974, quelques dizaines d'officiers révoltés mettent fin à un demi-siècle de fascisme tranquille. Ce seront ensuite quelques mois de délire, où l'espérance de chaque instant sera tempérée de crainte : crainte de retour des réflexes totalitaires, crainte de voir la révolution confisquée par Spinola, l'homme au monocle, ou par Otelo de Carvalho, l'autodidacte des barricades. Mais très vite, le peuple a fait l'apprentissage de la liberté et de nouveaux cadres ; celui des responsabilités, face à une économie obsolète, épuisée par douze ans de guerre coloniale, dans une société dont les structures s'étaient écroulées en quelques heures.
Les militaires ont remis le pouvoir à des institutions issues du suffrage universel, le Portugal est aujourd'hui une démocratie pluraliste intégrée à l'Europe, et cette révolution n'a pas fait dix morts. L'auteur, alors jeune officier français, attaché de l'armée de terre à l'Ambassade de France, s'est senti accueilli comme un des leurs par ses camarades portugais, qui faisaient face avec détermination et modestie à des situations difficiles et inattendues.
Vingt ans après, à partir de leurs témoignages, éclairés par ses propres observations, il peint à grands traits, sans dissimuler ce qu'elle a pu avoir de naïf ou d'équivoque, l'histoire de leur révolution, la dernière révolution romantique d'Europe occidentale.
Les militaires ont remis le pouvoir à des institutions issues du suffrage universel, le Portugal est aujourd'hui une démocratie pluraliste intégrée à l'Europe, et cette révolution n'a pas fait dix morts. L'auteur, alors jeune officier français, attaché de l'armée de terre à l'Ambassade de France, s'est senti accueilli comme un des leurs par ses camarades portugais, qui faisaient face avec détermination et modestie à des situations difficiles et inattendues.
Vingt ans après, à partir de leurs témoignages, éclairés par ses propres observations, il peint à grands traits, sans dissimuler ce qu'elle a pu avoir de naïf ou d'équivoque, l'histoire de leur révolution, la dernière révolution romantique d'Europe occidentale.