Philosophie de gauche ? Philosophie de droite ?. Critique de la faculté de voter
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- Nombre de pages253
- PrésentationBroché
- Poids0.329 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 1,6 cm
- ISBN978-2-7298-7242-7
- EAN9782729872427
- Date de parution24/01/2012
- ÉditeurEllipses
Résumé
A quoi peut donc servir une Critique de la faculté de voter ? Il
n'est pas dans notre propos d'offrir une recette philosophique
qui permettrait de fonder l'option que chacun fera en glissant
dans quelques mois un nom propre dans une enveloppe. II
n'est pas non plus dans notre intention de formaliser une
philosophie qu'on pourrait dire de gauche à quoi on opposerait
terme à terme une philosophie de droite.
De telles entités n'existent pas, aucune pensée, même fortement teintée politiquement, ne débouchant mécaniquement sur un vote déterminé. Notre objectif est tout autre, plus modeste mais nous l'espérons plus utile. Résumons-le : le choix d'un candidat, et plus largement le choix de la gauche ou de la droite reposent sur des options plus ou moins explicites, voire inconscientes, qu'on peut s'attacher à clarifier.
S'il n'y a pas de philosophie de gauche ou droite, il y a au principe de l'une et de l'autre quelque chose comme un corpus d'intuitions et de convictions : celles-ci portant sur la nature même de l'homme, sur le rôle de l'Etat ou ce qu'on peut attendre de la vie sociale, elles peuvent être qualifiées de philosophiques.
De telles entités n'existent pas, aucune pensée, même fortement teintée politiquement, ne débouchant mécaniquement sur un vote déterminé. Notre objectif est tout autre, plus modeste mais nous l'espérons plus utile. Résumons-le : le choix d'un candidat, et plus largement le choix de la gauche ou de la droite reposent sur des options plus ou moins explicites, voire inconscientes, qu'on peut s'attacher à clarifier.
S'il n'y a pas de philosophie de gauche ou droite, il y a au principe de l'une et de l'autre quelque chose comme un corpus d'intuitions et de convictions : celles-ci portant sur la nature même de l'homme, sur le rôle de l'Etat ou ce qu'on peut attendre de la vie sociale, elles peuvent être qualifiées de philosophiques.
A quoi peut donc servir une Critique de la faculté de voter ? Il
n'est pas dans notre propos d'offrir une recette philosophique
qui permettrait de fonder l'option que chacun fera en glissant
dans quelques mois un nom propre dans une enveloppe. II
n'est pas non plus dans notre intention de formaliser une
philosophie qu'on pourrait dire de gauche à quoi on opposerait
terme à terme une philosophie de droite.
De telles entités n'existent pas, aucune pensée, même fortement teintée politiquement, ne débouchant mécaniquement sur un vote déterminé. Notre objectif est tout autre, plus modeste mais nous l'espérons plus utile. Résumons-le : le choix d'un candidat, et plus largement le choix de la gauche ou de la droite reposent sur des options plus ou moins explicites, voire inconscientes, qu'on peut s'attacher à clarifier.
S'il n'y a pas de philosophie de gauche ou droite, il y a au principe de l'une et de l'autre quelque chose comme un corpus d'intuitions et de convictions : celles-ci portant sur la nature même de l'homme, sur le rôle de l'Etat ou ce qu'on peut attendre de la vie sociale, elles peuvent être qualifiées de philosophiques.
De telles entités n'existent pas, aucune pensée, même fortement teintée politiquement, ne débouchant mécaniquement sur un vote déterminé. Notre objectif est tout autre, plus modeste mais nous l'espérons plus utile. Résumons-le : le choix d'un candidat, et plus largement le choix de la gauche ou de la droite reposent sur des options plus ou moins explicites, voire inconscientes, qu'on peut s'attacher à clarifier.
S'il n'y a pas de philosophie de gauche ou droite, il y a au principe de l'une et de l'autre quelque chose comme un corpus d'intuitions et de convictions : celles-ci portant sur la nature même de l'homme, sur le rôle de l'Etat ou ce qu'on peut attendre de la vie sociale, elles peuvent être qualifiées de philosophiques.