Pestalozzi : entre école populaire et éducation domestique. Le prince des pédagogues, son fils et Mulhouse
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages304
- PrésentationBroché
- Poids0.37 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-296-96798-4
- EAN9782296967984
- Date de parution01/02/2012
- CollectionPédagogie : crises, mémoires
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La relation étroite entre un pédagogue, dont le nom et la
renommée dépassent le cadre temporel du siècle des Lumières,
et la capitale industrielle de la Haute Alsace, a de quoi
surprendre à première vue. Pourtant, Mulhouse apparaît
comme un microcosme, révélateur du double échec apparent
d'une tentative de métamorphose de l'éducation populaire à
partir de l'éducation domestique. De l'alliance d'une cité
nouvellement réformée avec ses voisins suisses, à son
inclusion dans la République Française, les liens organiques
unissant Mulhouse à l'helvetica matrix, se tissent patiemment.
La part prise par ses citoyens au rayonnement de la Société helvétique, la fréquentation de l'Ecole préparatoire au commerce par le fils unique du couple Pestalozzi, le soutien d'une industrie en plein essor à l'institut d'Yverdon, doublé de la tentative d'une implantation durable de la Méthode dans le tissu éducatif local, constituent autant de pièces à verser au dossier d'une helvétitude mulhousienne.
L'espace-temps dans lequel s'inscrivent ces échanges dialectiques et mutuels, est révélateur du malentendu entretenu autour du concept de méthode. Que dire au final de l'influence d'une cité considérée par le maître d'Yverdon comme le tremplin idéal pour une conversion pédagogique des esprits francophones ?
La part prise par ses citoyens au rayonnement de la Société helvétique, la fréquentation de l'Ecole préparatoire au commerce par le fils unique du couple Pestalozzi, le soutien d'une industrie en plein essor à l'institut d'Yverdon, doublé de la tentative d'une implantation durable de la Méthode dans le tissu éducatif local, constituent autant de pièces à verser au dossier d'une helvétitude mulhousienne.
L'espace-temps dans lequel s'inscrivent ces échanges dialectiques et mutuels, est révélateur du malentendu entretenu autour du concept de méthode. Que dire au final de l'influence d'une cité considérée par le maître d'Yverdon comme le tremplin idéal pour une conversion pédagogique des esprits francophones ?
La relation étroite entre un pédagogue, dont le nom et la
renommée dépassent le cadre temporel du siècle des Lumières,
et la capitale industrielle de la Haute Alsace, a de quoi
surprendre à première vue. Pourtant, Mulhouse apparaît
comme un microcosme, révélateur du double échec apparent
d'une tentative de métamorphose de l'éducation populaire à
partir de l'éducation domestique. De l'alliance d'une cité
nouvellement réformée avec ses voisins suisses, à son
inclusion dans la République Française, les liens organiques
unissant Mulhouse à l'helvetica matrix, se tissent patiemment.
La part prise par ses citoyens au rayonnement de la Société helvétique, la fréquentation de l'Ecole préparatoire au commerce par le fils unique du couple Pestalozzi, le soutien d'une industrie en plein essor à l'institut d'Yverdon, doublé de la tentative d'une implantation durable de la Méthode dans le tissu éducatif local, constituent autant de pièces à verser au dossier d'une helvétitude mulhousienne.
L'espace-temps dans lequel s'inscrivent ces échanges dialectiques et mutuels, est révélateur du malentendu entretenu autour du concept de méthode. Que dire au final de l'influence d'une cité considérée par le maître d'Yverdon comme le tremplin idéal pour une conversion pédagogique des esprits francophones ?
La part prise par ses citoyens au rayonnement de la Société helvétique, la fréquentation de l'Ecole préparatoire au commerce par le fils unique du couple Pestalozzi, le soutien d'une industrie en plein essor à l'institut d'Yverdon, doublé de la tentative d'une implantation durable de la Méthode dans le tissu éducatif local, constituent autant de pièces à verser au dossier d'une helvétitude mulhousienne.
L'espace-temps dans lequel s'inscrivent ces échanges dialectiques et mutuels, est révélateur du malentendu entretenu autour du concept de méthode. Que dire au final de l'influence d'une cité considérée par le maître d'Yverdon comme le tremplin idéal pour une conversion pédagogique des esprits francophones ?