Peindre à Lyon au XVIe siècle

Par : Frédéric Elsig

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  • Nombre de pages191
  • PrésentationBroché
  • Poids0.7 kg
  • Dimensions17,0 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-88-366-2768-4
  • EAN9788836627684
  • Date de parution07/04/2014
  • CollectionBiblioteca d'arte
  • ÉditeurSilvana Editoriale

Résumé

La peinture produite à Lyon au XVIe siècle a presque entièrement disparu suite à l'iconoclasme et aux changements successifs de goût. Ce livre se propose d'en reconstituer certains aspects, en expérimentant de nouvelles pistes de recherche. Il s'organise en deux parties. La première, focalisée sur les règnes de Louis XII et de François Ier, met en évidence la permanence d'un courant septentrional qui importe un italianisme flamand (le Maître JG) avant que ne s'imposent, au début des années 1540, des présences italiennes (Giovanni Capassini), exerçant un impact sur des artistes tels que Georges Reverdy.
La seconde, concentrée sur les règnes de Henri II et de ses fils, analyse le renouveau culturel qui, importé de Paris et véhiculé par le réseau des éditeurs-imprimeurs, s'exprime d'abord par une vague de "cousinisme" (Pierre Eskrich, Bernard Salomon), puis par un langage plus sec (Jean Perrissin). Un épilogue enfin reparcourt l'ensemble de la période à travers le genre du portrait, représenté par Jean Perréal, Corneille de Lyon et Etienne Martellange.
La peinture produite à Lyon au XVIe siècle a presque entièrement disparu suite à l'iconoclasme et aux changements successifs de goût. Ce livre se propose d'en reconstituer certains aspects, en expérimentant de nouvelles pistes de recherche. Il s'organise en deux parties. La première, focalisée sur les règnes de Louis XII et de François Ier, met en évidence la permanence d'un courant septentrional qui importe un italianisme flamand (le Maître JG) avant que ne s'imposent, au début des années 1540, des présences italiennes (Giovanni Capassini), exerçant un impact sur des artistes tels que Georges Reverdy.
La seconde, concentrée sur les règnes de Henri II et de ses fils, analyse le renouveau culturel qui, importé de Paris et véhiculé par le réseau des éditeurs-imprimeurs, s'exprime d'abord par une vague de "cousinisme" (Pierre Eskrich, Bernard Salomon), puis par un langage plus sec (Jean Perrissin). Un épilogue enfin reparcourt l'ensemble de la période à travers le genre du portrait, représenté par Jean Perréal, Corneille de Lyon et Etienne Martellange.