Où va la civilisation ?. Ethique pour un monde humain réconcilié avec ce dont il est issu
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- Nombre de pages240
- PrésentationBroché
- Poids0.295 kg
- Dimensions13,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-343-06682-0
- EAN9782343066820
- Date de parution01/07/2015
- CollectionSciences et Société
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Vers la fin de sa vie, Claude Lévi-Strauss pensait que l'espèce humaine s'était condamnée elle-même par sa propre voracité ; il nous comparait à des vers à farine dans un bocal. Oui ! Nous sommes bien aujourd'hui à un tournant non pas seulement de notre civilisation, niais de l'histoire humaine. Globalement, pour la grande majorité d'entre nous notre monde est devenu insupportable par une minorité prête à tout pour accroître ses gains et son pouvoir.
Il est clair que si nous persistons dans cette voie nous ne pourrons plus sortir de ce processus d'autodestruction ou de suicide collectif. Il nous est peut-être encore temps d'envisager une autre manière d'être humain, de faire homme, comme disait Montaigne. Mais pour cela, tout doit être réexaminé, réévalué, rien ne doit rester tabou. C'est l'ensemble des fondements sur lesquels nous avons construit notre monde que nous devons réinterroger et réévaluer.
Nous devons pour cela apprendre à trouver une totale liberté de penser, sans préjugés, et en nous appuyant sur ce que nous avons inventé et acquis progressivement de phis précieux : le respect universel des droits humains. En n'oubliant jamais le vieux mot de Terence : "Rien d'humain ne m'est étranger". Nous devrions alors être capables d'apprendre à dépasser les notions de nation, de culture, de religion, de moeurs, de coutumes.
Non pour les nier mais pour qu'elles soient, avant tout, le bagage que chacun apporte dans la fondation d'un vivre ensemble humain. C'est ce qu'il nous faudrait dès maintenant envisager et construire. Renonçons à tout espoir et commençons par agir, si nous en sommes capables...
Il est clair que si nous persistons dans cette voie nous ne pourrons plus sortir de ce processus d'autodestruction ou de suicide collectif. Il nous est peut-être encore temps d'envisager une autre manière d'être humain, de faire homme, comme disait Montaigne. Mais pour cela, tout doit être réexaminé, réévalué, rien ne doit rester tabou. C'est l'ensemble des fondements sur lesquels nous avons construit notre monde que nous devons réinterroger et réévaluer.
Nous devons pour cela apprendre à trouver une totale liberté de penser, sans préjugés, et en nous appuyant sur ce que nous avons inventé et acquis progressivement de phis précieux : le respect universel des droits humains. En n'oubliant jamais le vieux mot de Terence : "Rien d'humain ne m'est étranger". Nous devrions alors être capables d'apprendre à dépasser les notions de nation, de culture, de religion, de moeurs, de coutumes.
Non pour les nier mais pour qu'elles soient, avant tout, le bagage que chacun apporte dans la fondation d'un vivre ensemble humain. C'est ce qu'il nous faudrait dès maintenant envisager et construire. Renonçons à tout espoir et commençons par agir, si nous en sommes capables...
Vers la fin de sa vie, Claude Lévi-Strauss pensait que l'espèce humaine s'était condamnée elle-même par sa propre voracité ; il nous comparait à des vers à farine dans un bocal. Oui ! Nous sommes bien aujourd'hui à un tournant non pas seulement de notre civilisation, niais de l'histoire humaine. Globalement, pour la grande majorité d'entre nous notre monde est devenu insupportable par une minorité prête à tout pour accroître ses gains et son pouvoir.
Il est clair que si nous persistons dans cette voie nous ne pourrons plus sortir de ce processus d'autodestruction ou de suicide collectif. Il nous est peut-être encore temps d'envisager une autre manière d'être humain, de faire homme, comme disait Montaigne. Mais pour cela, tout doit être réexaminé, réévalué, rien ne doit rester tabou. C'est l'ensemble des fondements sur lesquels nous avons construit notre monde que nous devons réinterroger et réévaluer.
Nous devons pour cela apprendre à trouver une totale liberté de penser, sans préjugés, et en nous appuyant sur ce que nous avons inventé et acquis progressivement de phis précieux : le respect universel des droits humains. En n'oubliant jamais le vieux mot de Terence : "Rien d'humain ne m'est étranger". Nous devrions alors être capables d'apprendre à dépasser les notions de nation, de culture, de religion, de moeurs, de coutumes.
Non pour les nier mais pour qu'elles soient, avant tout, le bagage que chacun apporte dans la fondation d'un vivre ensemble humain. C'est ce qu'il nous faudrait dès maintenant envisager et construire. Renonçons à tout espoir et commençons par agir, si nous en sommes capables...
Il est clair que si nous persistons dans cette voie nous ne pourrons plus sortir de ce processus d'autodestruction ou de suicide collectif. Il nous est peut-être encore temps d'envisager une autre manière d'être humain, de faire homme, comme disait Montaigne. Mais pour cela, tout doit être réexaminé, réévalué, rien ne doit rester tabou. C'est l'ensemble des fondements sur lesquels nous avons construit notre monde que nous devons réinterroger et réévaluer.
Nous devons pour cela apprendre à trouver une totale liberté de penser, sans préjugés, et en nous appuyant sur ce que nous avons inventé et acquis progressivement de phis précieux : le respect universel des droits humains. En n'oubliant jamais le vieux mot de Terence : "Rien d'humain ne m'est étranger". Nous devrions alors être capables d'apprendre à dépasser les notions de nation, de culture, de religion, de moeurs, de coutumes.
Non pour les nier mais pour qu'elles soient, avant tout, le bagage que chacun apporte dans la fondation d'un vivre ensemble humain. C'est ce qu'il nous faudrait dès maintenant envisager et construire. Renonçons à tout espoir et commençons par agir, si nous en sommes capables...