Meurtriers sans visage
Edition en gros caractères - Occasion

Par : Henning Mankell
    • Nombre de pages460
    • PrésentationBroché
    • FormatEdition en gros caractères
    • Poids0.502 kg
    • Dimensions15,2 cm × 22,1 cm × 3,5 cm
    • ISBN978-2-36559-217-8
    • EAN9782365592178
    • Date de parution21/03/2019
    • CollectionLire en grand
    • ÉditeurLes Editions Retrouvées
    • TraducteurPhilippe Bouquet

    Résumé

    La première enquête du célèbre inspecteur Kurt Wallander. Mankell combine ici les ingrédients du roman noir américain avec la mélancolie scandinave pour créer un polar de premier ordre. Un matin de janvier, en pleine campagne suédoise, un double meurtre est commis dans une ferme isolée. Un couple de paysans retraités est torturé et sauvagement assassiné. Avant de mourir, la vieille femme a juste le temps de murmurer un mot : "étranger" .
    Il n'en faut pas plus pour qu'une vague de violence et d'attentats se déchaîne contre les demandeurs d'asile d'un camp de réfugiés voisin. La pression pèse sur les épaules de Kurt Wallander, la quarantaine, déchiré par son divorce, touché par l'éloignement de sa fille, préoccupé par la maladie de son mentor Rydberg. Il va devoir agir vite, avec sang-froid et détermination, sans tomber dans le piège de la xénophobie ambiante qui brouille les pistes.
    La première enquête du célèbre inspecteur Kurt Wallander. Mankell combine ici les ingrédients du roman noir américain avec la mélancolie scandinave pour créer un polar de premier ordre. Un matin de janvier, en pleine campagne suédoise, un double meurtre est commis dans une ferme isolée. Un couple de paysans retraités est torturé et sauvagement assassiné. Avant de mourir, la vieille femme a juste le temps de murmurer un mot : "étranger" .
    Il n'en faut pas plus pour qu'une vague de violence et d'attentats se déchaîne contre les demandeurs d'asile d'un camp de réfugiés voisin. La pression pèse sur les épaules de Kurt Wallander, la quarantaine, déchiré par son divorce, touché par l'éloignement de sa fille, préoccupé par la maladie de son mentor Rydberg. Il va devoir agir vite, avec sang-froid et détermination, sans tomber dans le piège de la xénophobie ambiante qui brouille les pistes.

    Avis des lecteurs
    Commentaires laissés par nos lecteurs

    3.8/5
    sur 21 notes dont 5 avis lecteurs
    Le commencement
    Ce n'est pas le premier livre de cette série que je lis, pourtant chronologiquement c'est le premier. Mankell a un réel talent pour mettre le doigt sur les sujets problèmes de société. Ici, il s'attaque à la xénophobie. Sur le plan de l'écriture, j'ai été saisie par son habileté à jouer avec le temps et à le rendre élastique : le rythme de l'histoire colle finalement étrangement bien avec le rythme de l'enquête, même si 20 pages avant la fin on s'étonne de n'avoir toujours aucune idée de comment l'affaire va être résolue... Et pourtant, elle sera résolue, et sans que je me sois sentie déçue ni frustrée que ça se fasse si rapidement.
    Ce n'est pas le premier livre de cette série que je lis, pourtant chronologiquement c'est le premier. Mankell a un réel talent pour mettre le doigt sur les sujets problèmes de société. Ici, il s'attaque à la xénophobie. Sur le plan de l'écriture, j'ai été saisie par son habileté à jouer avec le temps et à le rendre élastique : le rythme de l'histoire colle finalement étrangement bien avec le rythme de l'enquête, même si 20 pages avant la fin on s'étonne de n'avoir toujours aucune idée de comment l'affaire va être résolue... Et pourtant, elle sera résolue, et sans que je me sois sentie déçue ni frustrée que ça se fasse si rapidement.
    • Passionnant
    • Suède
    • Kurt Wallander
    • Surprenant
    • Rygdberg
    Meutriers sans visage
    Un crime horrible, apparemment sans mobile, commis dans une ferme : deux personnes âgées décèdent, mais avant cela, la femme a le temps de prononcer le mot « étranger ». C’est une bien maigre piste pour le commissaire Wallander et son équipe, mais ils doivent faire de leur mieux pour découvrir le coupable au plus vite, avant que la xénophobie ne pousse certains habitants de la région à des actes terribles. La trame de l’histoire est simple, banale, même. Et pourtant, immédiatement, on sent que c’est un roman qui vaut le détour. Est-ce à cause de la violence du crime ? Est-ce à cause du peu d’indices à disposition des enquêteurs ? Ou encore en raison du caractère des personnages, qui ne lâcheront pas l’affaire avant d’avoir découvert la vérité ? Peu importe… Meurtriers sans visage est le premier livre de la série « Kurt Wallander ». Il met donc en place des personnages que l’on retrouvera plus tard, ainsi que le paysage suédois. Rapidement, on a un aperçu de la vie de Wallander, qui n’est de loin pas un super-héros – malgré le sang-froid et l’esprit d’initiative dont il fera preuve. Entre sa femme qui l’a quitté, sa fille qui ne lui fait pas confiance et son père qui l’inquiète de plus en plus, sa vie n’est pas vraiment rose. Au cours de l’enquête, il s’interroge également sur la police et sur la criminalité en général, ce qui nous fait réfléchir. Henning Mankell pose également les bases des relations entre les autres personnages, en particulier celles de l’équipe d’enquêteurs. Ils ne sont pas encore trop développés, ce qui est compréhensible au vu du nombre de romans qui suivront. De cette manière, l’auteur limite les répétitions inutiles. Le personnage de Rydberg est très attachant – peut-être aussi parce que je connais la suite, n’ayant pas lu les romans dans l’ordre où ils ont été écrits – et j’ai beaucoup aimé la manière dont lui et Wallander collaborent. Du point de vue de l’enquête elle-même, on est immédiatement plongé dans l’atmosphère du crime. L’action s’essouffle toutefois rapidement en raison du manque de pistes. C’est alors que d’autres événements surviennent, remettant un peu de vie à l’hôtel de police. Bien qu’intéressants, j’ai trouvé que ces épisodes étaient quelque peu lents, en particuliers si on les compare avec la fin, qui est elle très rapide. En effet, on passe sur plusieurs mois de recherches infructueuses en quelques pages, puis on a la résolution, en quelques pages également. J’ai trouvé dommage que la répartition soit si inégale. Les passages où il n’y a pas beaucoup d’action sont tout de même très intéressants. Ils nous permettent de découvrir un pays que, personnellement, je ne connais pas, par de petites scènes d’apparence innocente. C’est seulement à la fin du livre qu’on se rend compte que, finalement, on en sait bien plus sur la Suède qu’auparavant. En raison de la nature du crime qui est commis au début du livre et du dernier mot prononcé par la femme avant sa mort, Henning Mankell se penche sur les étrangers. Bien que le livre ait été écrit dans les années 1990, c’est un thème qui est aujourd’hui encore d’actualité. Au fil des pages, on remarque à quel point les personnages ont des réactions différentes par rapport aux réfugiés, et j’ai trouvé que c’était un bon échantillon de la société. Le style d’écriture nous plonge rapidement dans le roman car il est plutôt facile à lire et entraînant. J’ai toutefois été gênée par quelques répétitions (surtout le nom complet de Kurt Wallander, qui revient un nombre incalculable de fois, alors que ses collègues, par exemple, sont généralement désignés par leur nom de famille seulement). En comparaison avec les autres romans d’Henning Mankell que j’ai lus, j’ai tout de même trouvé que le style était un peu moins soigné. J’ai deux hypothèses qui pourraient expliquer cela : soit c’est parce qu’il s’agit de la première enquête de Wallander et que l’auteur en était encore à ses débuts, soit c’est parce que le traducteur n’est pas le même que pour la plupart des autres romans de Mankell. Quoi qu’il en soit, c’est un très bon roman que je recommande à tous ceux qui aiment les bons romans policiers, sachant qu’il y a quand-même quelques chapitres où l’action n’est pas au rendez-vous. Certaines scènes sont relativement violentes (en particulier la description de la scène du crime) et certains jeunes lecteurs pourraient donc être choqué. Si vous aimez les enquêtes de Wallander, il est très intéressant d’en lire les débuts pour voir ensuite son développement dans les prochains romans.
    Un crime horrible, apparemment sans mobile, commis dans une ferme : deux personnes âgées décèdent, mais avant cela, la femme a le temps de prononcer le mot « étranger ». C’est une bien maigre piste pour le commissaire Wallander et son équipe, mais ils doivent faire de leur mieux pour découvrir le coupable au plus vite, avant que la xénophobie ne pousse certains habitants de la région à des actes terribles. La trame de l’histoire est simple, banale, même. Et pourtant, immédiatement, on sent que c’est un roman qui vaut le détour. Est-ce à cause de la violence du crime ? Est-ce à cause du peu d’indices à disposition des enquêteurs ? Ou encore en raison du caractère des personnages, qui ne lâcheront pas l’affaire avant d’avoir découvert la vérité ? Peu importe… Meurtriers sans visage est le premier livre de la série « Kurt Wallander ». Il met donc en place des personnages que l’on retrouvera plus tard, ainsi que le paysage suédois. Rapidement, on a un aperçu de la vie de Wallander, qui n’est de loin pas un super-héros – malgré le sang-froid et l’esprit d’initiative dont il fera preuve. Entre sa femme qui l’a quitté, sa fille qui ne lui fait pas confiance et son père qui l’inquiète de plus en plus, sa vie n’est pas vraiment rose. Au cours de l’enquête, il s’interroge également sur la police et sur la criminalité en général, ce qui nous fait réfléchir. Henning Mankell pose également les bases des relations entre les autres personnages, en particulier celles de l’équipe d’enquêteurs. Ils ne sont pas encore trop développés, ce qui est compréhensible au vu du nombre de romans qui suivront. De cette manière, l’auteur limite les répétitions inutiles. Le personnage de Rydberg est très attachant – peut-être aussi parce que je connais la suite, n’ayant pas lu les romans dans l’ordre où ils ont été écrits – et j’ai beaucoup aimé la manière dont lui et Wallander collaborent. Du point de vue de l’enquête elle-même, on est immédiatement plongé dans l’atmosphère du crime. L’action s’essouffle toutefois rapidement en raison du manque de pistes. C’est alors que d’autres événements surviennent, remettant un peu de vie à l’hôtel de police. Bien qu’intéressants, j’ai trouvé que ces épisodes étaient quelque peu lents, en particuliers si on les compare avec la fin, qui est elle très rapide. En effet, on passe sur plusieurs mois de recherches infructueuses en quelques pages, puis on a la résolution, en quelques pages également. J’ai trouvé dommage que la répartition soit si inégale. Les passages où il n’y a pas beaucoup d’action sont tout de même très intéressants. Ils nous permettent de découvrir un pays que, personnellement, je ne connais pas, par de petites scènes d’apparence innocente. C’est seulement à la fin du livre qu’on se rend compte que, finalement, on en sait bien plus sur la Suède qu’auparavant. En raison de la nature du crime qui est commis au début du livre et du dernier mot prononcé par la femme avant sa mort, Henning Mankell se penche sur les étrangers. Bien que le livre ait été écrit dans les années 1990, c’est un thème qui est aujourd’hui encore d’actualité. Au fil des pages, on remarque à quel point les personnages ont des réactions différentes par rapport aux réfugiés, et j’ai trouvé que c’était un bon échantillon de la société. Le style d’écriture nous plonge rapidement dans le roman car il est plutôt facile à lire et entraînant. J’ai toutefois été gênée par quelques répétitions (surtout le nom complet de Kurt Wallander, qui revient un nombre incalculable de fois, alors que ses collègues, par exemple, sont généralement désignés par leur nom de famille seulement). En comparaison avec les autres romans d’Henning Mankell que j’ai lus, j’ai tout de même trouvé que le style était un peu moins soigné. J’ai deux hypothèses qui pourraient expliquer cela : soit c’est parce qu’il s’agit de la première enquête de Wallander et que l’auteur en était encore à ses débuts, soit c’est parce que le traducteur n’est pas le même que pour la plupart des autres romans de Mankell. Quoi qu’il en soit, c’est un très bon roman que je recommande à tous ceux qui aiment les bons romans policiers, sachant qu’il y a quand-même quelques chapitres où l’action n’est pas au rendez-vous. Certaines scènes sont relativement violentes (en particulier la description de la scène du crime) et certains jeunes lecteurs pourraient donc être choqué. Si vous aimez les enquêtes de Wallander, il est très intéressant d’en lire les débuts pour voir ensuite son développement dans les prochains romans.
    La Suède sous un autre visage
    J'ai commencé à lire ce livre parce que j'aime beaucoup la série britannique avec Kenneth Branagh, et je dois dire qu'à ce titre, ce livre est un peu décevant. Le personnage de Wallander, dont je trouve les défauts déjà agaçants dans la série télé, est ici encore plus énervant, notamment dans son rapport aux autres. La critique de la société suédoise est intéressante, même si elle commence à être franchement datée. La société suédoise du début des années 90 apparaît comme moins homogène que dans nos idées préconçues mais les préoccupations avec les problèmes d'immigration résonnent beaucoup avec notre société actuelle. L'intrigue manquait (pour moi) de suspense, vu que j'en connaissais déjà les grandes lignes, encore que j'ai trouvé intéressant de voir à quel point elle présentait plus de suspects et de fausses pistes que l'épisode, qui dure pourtant déjà 1h30. Ce n'est pas une lecture que je regrette, mais je ne lirai probablement pas les autres livres.
    J'ai commencé à lire ce livre parce que j'aime beaucoup la série britannique avec Kenneth Branagh, et je dois dire qu'à ce titre, ce livre est un peu décevant. Le personnage de Wallander, dont je trouve les défauts déjà agaçants dans la série télé, est ici encore plus énervant, notamment dans son rapport aux autres. La critique de la société suédoise est intéressante, même si elle commence à être franchement datée. La société suédoise du début des années 90 apparaît comme moins homogène que dans nos idées préconçues mais les préoccupations avec les problèmes d'immigration résonnent beaucoup avec notre société actuelle. L'intrigue manquait (pour moi) de suspense, vu que j'en connaissais déjà les grandes lignes, encore que j'ai trouvé intéressant de voir à quel point elle présentait plus de suspects et de fausses pistes que l'épisode, qui dure pourtant déjà 1h30. Ce n'est pas une lecture que je regrette, mais je ne lirai probablement pas les autres livres.
    • XXe siècle
    • Suède
    • Ystad
    Henning Mankell
    Suédois d'origine, la vie d'Henning Mankell est faite de découvertes et de voyages. A 16 ans, il quitte son pays natal pour s'installer à Paris. Puis, quelques années plus tard, il part pour l'Afrique et tombe amoureux de ce continent au charme mystérieux. C'est cet amour du voyage qui lui donne le recul nécessaire pour critiquer, à travers ses œuvres, les dérives du monde actuel. Miroir de notre société selon lui, il choisit le genre policier pour donner vie à son personnage fétiche, Kurt Wallander. Profondément humain, cet inspecteur désabusé et mélancolique se fait observateur de la violence contemporaine. Avec Le Chinois ou L'œil du léopard, découvrez un style d'écriture unique. En véritable amoureux du genre descriptif et régionaliste, situé à mille lieux de la frénésie des romans américains, prenez plaisir à suivre l'équipe de policiers aux personnalités distinctes dans des enquêtes tragiques et sinistres. Poursuivez votre découverte de la littérature scandinave avec Betty d'Arnaldur Indridason, Millenium tome 1 de Stieg Larsson ou Cyanure de Camilla Läckberg. Pour vous aider dans votre choix, fiez-vous aux avis de notre communauté d'utilisateurs. A travers la livraison à 1 centime et les meilleurs prix sur tous nos livres, nous faisons notre possible pour partager avec vous notre passion de la lecture.
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