Mémoires sur la cour de Louis XV. Tome 16, Les Surprises de La Celle (janvier-septembre 1748)

Par : Duc de Luynes
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  • Nombre de pages240
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.292 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,4 cm × 2,0 cm
  • ISBN979-10-333-0073-1
  • EAN9791033300731
  • Date de parution10/05/2021
  • CollectionSources de l'histoire France
  • ÉditeurPaléo

Résumé

A la fin du repas, le Roi étant encore à table, nous vines entrer un grand nombre de musiciens, tous vêtus d'habits différents, et chacun jouant de son instrument : violons, bassons, hautbois, musettes, violoncelles. Lorsqu'ils se furent rangés autour de la table, Mme de Pompadour se leva de table, et représentant le rôle de la Nuit, elle chanta quelques vers à la louange du Roi, étant accompagnée par toute la musique.
Le commencement et la fin de ces vers étaient : Venez, venez, suivez-moi tous. A ces paroles, le Roi se leva de table ; tous les musiciens jouant de leurs instruments marchèrent devant. Le Roi et toute la compagnie les suivit ; ils descendirent les deux terrasses et entrèrent dans le bosquet qui est à droite de la maison. Ce bosquet était couvert et fermé de toile, et on y avait élevé trois ou quatre marches au haut desquelles on trouvait une grande place pour les spectateurs, ensuite un orchestre, et plus loin un théâtre que l'on avait élevé autant qu'il convenait et orné d'une manière agréable...
A la fin du repas, le Roi étant encore à table, nous vines entrer un grand nombre de musiciens, tous vêtus d'habits différents, et chacun jouant de son instrument : violons, bassons, hautbois, musettes, violoncelles. Lorsqu'ils se furent rangés autour de la table, Mme de Pompadour se leva de table, et représentant le rôle de la Nuit, elle chanta quelques vers à la louange du Roi, étant accompagnée par toute la musique.
Le commencement et la fin de ces vers étaient : Venez, venez, suivez-moi tous. A ces paroles, le Roi se leva de table ; tous les musiciens jouant de leurs instruments marchèrent devant. Le Roi et toute la compagnie les suivit ; ils descendirent les deux terrasses et entrèrent dans le bosquet qui est à droite de la maison. Ce bosquet était couvert et fermé de toile, et on y avait élevé trois ou quatre marches au haut desquelles on trouvait une grande place pour les spectateurs, ensuite un orchestre, et plus loin un théâtre que l'on avait élevé autant qu'il convenait et orné d'une manière agréable...