Le titre fait un peu office de résumer.
Tu marches et si tu t'arrêtes tu te reçois une balle dans la tête, donc tu crèves.
Marche ou crève
Ce livre est vraiment horrible.
Mais pas dans le sens où on l'entend quand on entend le nom Stephen King.
J'ai trouvé qu'il était psychologiquement dur à encaisser.
Surtout vers la fin.
Il y a des moments quand même assez trash.
Mais, c'est vrai qu'ils mon toucher, mais pas autant que je l'attendais.
Sui-je une insensible ou maintenant la violence fait partie de notre quotidien.
Je pencherais plutôt pour la 2° hypothèse.
Et franchement,
ça me fait vraiment peur de penser ça.
J'ai bien ressenti toutes les émotions de tout c'est jeunes garçons.
Je me m'étais à leur place et je me demandais comment ils avaient fait pour se porter volontaire à la longue marche.
Et franchement, moi, j'aurais pas tenue aussi longtemps.
Vous allez trouver sa bizarre mais bon...
Pendant ma lecture, surtout vers la fin, j'ai pleurer.
Et oui, je pleure sur du Stephen King.
On commence à s'attacher aux personnages et tout à coup...
Stephen King nous les fait mourirent.
Je peux vous dire qu'à la fin j'avais les yeux rouges et les joues toute mouillés tellement j'avais pleurer.
Je me suis tout de suite attacher aux personnages.
J'ai bien aimés toutes ces personnalitées qui se rencontre.
S'insulte, s'entraide, se marave...
Et mon insulte péférers : Ta gueule, assassin ^^
Et la fin.
J'étais en train de me dire
C'est pas possible.
Ça peux pas se finir comme ça.
Arriver à la fin on en sais pas plus qu'au début.
On découvre le gagnant
Mais...
Le gagnant gagne vraiment ?
Il halucine ?
Il meurt ?
Et j'ai horreur des fin ouvertes.
En tout cas j'ai beaucoup aimé lire ce livre.
J'ai pas pu le lâcher.
Seriez vous prêt à miser votre vie pour un moment de gloire ?
Marche ou crève a beau avoir été écrit en 1979, il reste d'une justesse surprenante et décrit une communauté si proche de la notre que le sujet en devient troublant !
La « Longue Marche » d'une centaine de jeunes volontaires est prétexte à une satire virulente de la société américaine et des dérives de la télé-réalité.
L'atmosphère est étouffante, l'intrigue perverse et immorale. De la torture physique à la torture morale, Stephen King se fait véritable chirurgien de la folie. Pourtant point de vampires ou autres démons dans ce roman d'anticipation où seul l'Homme se révèle une menace pour lui-même.