Lire c'est comprendre. Ressource pédogique numérique en ligne (code à activer)
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- Poids0.025 kg
- Dimensions26,0 cm × 16,2 cm × 0,2 cm
- ISBN978-2-7581-5111-1
- EAN9782758151111
- Date de parution16/02/2021
- ÉditeurSEDRAP (Editions)
Résumé
Depuis longtemps des chercheurs, des pédagogues, ont contesté l'hypothèse d'une dissociation nécessaire entre "le code" et la compréhension, dans l'apprentissage de la lecture. Ce qui justifie en effet cette dissociation, c'est l'idée que la compréhension surgit naturellement de le connaissance : un mot reconnu est "compris" automatiquement. On peut alors en déduire qu'il suffit que les mots reconnus soient nombreux, pour que les textes qui les contiennent soient compris.
or, le sentiment s'est installé assez vite chez les chercheurs, qu'il y avait, dans cette hypothèse, tenue pour vérité, une confusion entre "reconnaître des mots" et "comprendre des textes", que la compréhension n'est peut-être pas la même sur des mots et sur des textes et qu'en tout état de cause, c'est la compréhension des textes qu'il faudrait viser. En fait, c'est un "anti-manuel de lecture", un guide pour enseigner celle-ci avec des livres, des vrais, et tous les "objets à lire" existants, et surtout sans manuel de lecture.
or, le sentiment s'est installé assez vite chez les chercheurs, qu'il y avait, dans cette hypothèse, tenue pour vérité, une confusion entre "reconnaître des mots" et "comprendre des textes", que la compréhension n'est peut-être pas la même sur des mots et sur des textes et qu'en tout état de cause, c'est la compréhension des textes qu'il faudrait viser. En fait, c'est un "anti-manuel de lecture", un guide pour enseigner celle-ci avec des livres, des vrais, et tous les "objets à lire" existants, et surtout sans manuel de lecture.
Depuis longtemps des chercheurs, des pédagogues, ont contesté l'hypothèse d'une dissociation nécessaire entre "le code" et la compréhension, dans l'apprentissage de la lecture. Ce qui justifie en effet cette dissociation, c'est l'idée que la compréhension surgit naturellement de le connaissance : un mot reconnu est "compris" automatiquement. On peut alors en déduire qu'il suffit que les mots reconnus soient nombreux, pour que les textes qui les contiennent soient compris.
or, le sentiment s'est installé assez vite chez les chercheurs, qu'il y avait, dans cette hypothèse, tenue pour vérité, une confusion entre "reconnaître des mots" et "comprendre des textes", que la compréhension n'est peut-être pas la même sur des mots et sur des textes et qu'en tout état de cause, c'est la compréhension des textes qu'il faudrait viser. En fait, c'est un "anti-manuel de lecture", un guide pour enseigner celle-ci avec des livres, des vrais, et tous les "objets à lire" existants, et surtout sans manuel de lecture.
or, le sentiment s'est installé assez vite chez les chercheurs, qu'il y avait, dans cette hypothèse, tenue pour vérité, une confusion entre "reconnaître des mots" et "comprendre des textes", que la compréhension n'est peut-être pas la même sur des mots et sur des textes et qu'en tout état de cause, c'est la compréhension des textes qu'il faudrait viser. En fait, c'est un "anti-manuel de lecture", un guide pour enseigner celle-ci avec des livres, des vrais, et tous les "objets à lire" existants, et surtout sans manuel de lecture.