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  • Nombre de pages500
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.264 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,1 cm
  • ISBN978-2-253-16742-6
  • EAN9782253167426
  • Date de parution10/04/2013
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Aux derniers jours du règne colonial, Albert Vandel n'a pas renoncé. Barricadé dans son bordj, il devient fou comme un roi qui se meurt, revivant le temps des pionniers, des conquêtes algériennes, alors qu'il versait le sang pour « civiliser les peuples », « pacifier les territoires ». Pourquoi renoncerait-il, puisque les ors de la République lui ont donné le pouvoir et que les Présidents et autres ministres de la France républicaine ont honoré sa table cent années durant ? Avec ce nouveau roman, Mathieu Belezi, dans une langue prophétique, remue les entrailles d'une mémoire obscène que certains préféreraient oublier. Et par-delà cette amnésie de l'histoire, ce crépuscule des vieux ramène le lecteur vers d'autres pachas avides et sanguinaires, qui ont pris le relais de la colonisation européenne pour saigner leur pays à blanc et asservir leur peuple avant qu'il se réveille, en un printemps arabe dépassant les saisons.
Aux derniers jours du règne colonial, Albert Vandel n'a pas renoncé. Barricadé dans son bordj, il devient fou comme un roi qui se meurt, revivant le temps des pionniers, des conquêtes algériennes, alors qu'il versait le sang pour « civiliser les peuples », « pacifier les territoires ». Pourquoi renoncerait-il, puisque les ors de la République lui ont donné le pouvoir et que les Présidents et autres ministres de la France républicaine ont honoré sa table cent années durant ? Avec ce nouveau roman, Mathieu Belezi, dans une langue prophétique, remue les entrailles d'une mémoire obscène que certains préféreraient oublier. Et par-delà cette amnésie de l'histoire, ce crépuscule des vieux ramène le lecteur vers d'autres pachas avides et sanguinaires, qui ont pris le relais de la colonisation européenne pour saigner leur pays à blanc et asservir leur peuple avant qu'il se réveille, en un printemps arabe dépassant les saisons.

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2 Coups de cœur
de nos libraires
La Folie Algérie
Qui sont donc ces vieux fous dont l'un de ses représentants le plus emblématique et le plus ogresque trouve incarnation dans les habits d'un monstre de 150 kilos au mieux de sa forme, le bien nommé Albert Vandel !? Empereur, roi, tyran, salop, ogre, pacha, violeur, tueur, baiseur, un porc, un roi, il en est l'une des incarnations des plus extravagantes et peut-être une allégorie poussée à son extrême des discours de l'Algérie française. En France, si l'on connait peu l'Algérie contemporaine, on sait pourtant particulièrement reconnaitre et sentir une rancœur diffuse et ancrée que notre départ d'Algérie a engendré et que la conquête a forgé et ordonné dans l'esprit de certain. Ce livre revient par le roman, le conte sur cette époque par l'un des ces moments cruciaux, le sommet et la chute au moment de l'indépendance de l'un de ses plus fiévreux thuriféraire. Rien n'arrête ce flot, cette logorrhée d'un impérialisme devenu fou, qui court à sa perte et s'échappe encore de l'un de ses derniers bastions assiégés. Par va et vient successifs, par soubresauts, tripes et boyaux de ces "conquérants" sont mises sur la table et pas un brin d'herbe algérien n'a échappé à leur folie et leur mégalomanie sous prétexte d'apporter modernité et autre joyeuseté. A cette voix plus forte que les autres et qui s'accroche à son règne répond l'Algérie dans toute sa fibre et ses trésors dont l'ogre s'est repu jusqu'à en boire le sang ou s'en faire un masque de conquérant. Ce tyran aussi autrefois capitaine et grand propriétaire ouvre son cœur et les portes sur ses "victoires", ses rapines, ses faits de guerres, d'horreurs, ses propriétés, pas une richesse ou une âme n'a échappé à l'emprise de son trône. Un récit, un conte, une fable dont on mesure à mesure qu'on avance l’efficacité et la maitrise où plantes, animaux, hommes et femmes répondent aux vibrations d'un ogre qui dans sa chute marque la fin d'un abus. Et dans son outrance plus d'un aspect d'une époque et d'un pays... Impressionnant !
Qui sont donc ces vieux fous dont l'un de ses représentants le plus emblématique et le plus ogresque trouve incarnation dans les habits d'un monstre de 150 kilos au mieux de sa forme, le bien nommé Albert Vandel !? Empereur, roi, tyran, salop, ogre, pacha, violeur, tueur, baiseur, un porc, un roi, il en est l'une des incarnations des plus extravagantes et peut-être une allégorie poussée à son extrême des discours de l'Algérie française. En France, si l'on connait peu l'Algérie contemporaine, on sait pourtant particulièrement reconnaitre et sentir une rancœur diffuse et ancrée que notre départ d'Algérie a engendré et que la conquête a forgé et ordonné dans l'esprit de certain. Ce livre revient par le roman, le conte sur cette époque par l'un des ces moments cruciaux, le sommet et la chute au moment de l'indépendance de l'un de ses plus fiévreux thuriféraire. Rien n'arrête ce flot, cette logorrhée d'un impérialisme devenu fou, qui court à sa perte et s'échappe encore de l'un de ses derniers bastions assiégés. Par va et vient successifs, par soubresauts, tripes et boyaux de ces "conquérants" sont mises sur la table et pas un brin d'herbe algérien n'a échappé à leur folie et leur mégalomanie sous prétexte d'apporter modernité et autre joyeuseté. A cette voix plus forte que les autres et qui s'accroche à son règne répond l'Algérie dans toute sa fibre et ses trésors dont l'ogre s'est repu jusqu'à en boire le sang ou s'en faire un masque de conquérant. Ce tyran aussi autrefois capitaine et grand propriétaire ouvre son cœur et les portes sur ses "victoires", ses rapines, ses faits de guerres, d'horreurs, ses propriétés, pas une richesse ou une âme n'a échappé à l'emprise de son trône. Un récit, un conte, une fable dont on mesure à mesure qu'on avance l’efficacité et la maitrise où plantes, animaux, hommes et femmes répondent aux vibrations d'un ogre qui dans sa chute marque la fin d'un abus. Et dans son outrance plus d'un aspect d'une époque et d'un pays... Impressionnant !
  • Inattendu
  • Passionnant
  • XXe siècle
  • conte
  • roman
  • guerre d'Algérie
  • littérature française
  • ogre
  • fable
  • pied noir
La Folie Algérie
Qui sont donc ces vieux fous dont l'un de ses représentants le plus emblématique et le plus ogresque trouve incarnation dans les habits d'un monstre de 150 kilos au mieux de sa forme, le bien nommé Albert Vandel !? Empereur, roi, tyran, salaup, ogre, pacha, violeur, tueur, baiseur, un porc, un roi, il en est l'une des incarnations des plus extravagante et peut-être une allégorie poussée à son extrême des discours de l'Algérie française. En France, si l'on connait peu l'Algérie contemporraine, on sait pourtant particulièrement reconnaitre et sentir une rancoeur diffuse et ancrée que notre départ d'Algérie a engendré et que la conquête a forgé et ordonné dans l'esprit de certain. Ce livre revient par le roman, le conte sur cette époque par l'un des ces moments cruciaux, le sommet et la chute au moment de l'indépendance de l'un de ses plus fiévreux thuriféraire. Rien n'arrête ce flot, cet logorrhée d'un impérialisme devenu fou qui court à sa perte et s'échappe encore de l'un de ses dernier bastion assiégé. Par va et vient successifs, par soubressauts, tripes et boyaux de ces "conquérants" sont mises sur la table et pas un brin d'herbe algérien n'a échappé à leur folie et leur mégalomanie sous prétexte d'apporter modernité et autre joyeuseté. A cette voix plus forte que les autres et qui s'accroche à son règne répond l'algérie dans toute sa fibre et ses trésors dont l'ogre s'est repu jusqu'à en boire le sang ou s'en faire un masque de conquérant. Ce tyran aussi autrefois capitaine et grand propriétaire ouvre son coeur et les portes sur ses "victoires" ses rapines, ses faits de guerres, d'horreurs, ses propriétés, pas une richesse ou une âme n'a échappé à l'emprise de son trône. Un récit, un conte, une fable dont on mesure à mesure qu'on avance l'éfficacité et la maitrise où plante, animaux, hommes et femmes répondent aux vibrations d'un ogre qui dans sa chute marque la fin d'un abus. Impressionant !
Qui sont donc ces vieux fous dont l'un de ses représentants le plus emblématique et le plus ogresque trouve incarnation dans les habits d'un monstre de 150 kilos au mieux de sa forme, le bien nommé Albert Vandel !? Empereur, roi, tyran, salaup, ogre, pacha, violeur, tueur, baiseur, un porc, un roi, il en est l'une des incarnations des plus extravagante et peut-être une allégorie poussée à son extrême des discours de l'Algérie française. En France, si l'on connait peu l'Algérie contemporraine, on sait pourtant particulièrement reconnaitre et sentir une rancoeur diffuse et ancrée que notre départ d'Algérie a engendré et que la conquête a forgé et ordonné dans l'esprit de certain. Ce livre revient par le roman, le conte sur cette époque par l'un des ces moments cruciaux, le sommet et la chute au moment de l'indépendance de l'un de ses plus fiévreux thuriféraire. Rien n'arrête ce flot, cet logorrhée d'un impérialisme devenu fou qui court à sa perte et s'échappe encore de l'un de ses dernier bastion assiégé. Par va et vient successifs, par soubressauts, tripes et boyaux de ces "conquérants" sont mises sur la table et pas un brin d'herbe algérien n'a échappé à leur folie et leur mégalomanie sous prétexte d'apporter modernité et autre joyeuseté. A cette voix plus forte que les autres et qui s'accroche à son règne répond l'algérie dans toute sa fibre et ses trésors dont l'ogre s'est repu jusqu'à en boire le sang ou s'en faire un masque de conquérant. Ce tyran aussi autrefois capitaine et grand propriétaire ouvre son coeur et les portes sur ses "victoires" ses rapines, ses faits de guerres, d'horreurs, ses propriétés, pas une richesse ou une âme n'a échappé à l'emprise de son trône. Un récit, un conte, une fable dont on mesure à mesure qu'on avance l'éfficacité et la maitrise où plante, animaux, hommes et femmes répondent aux vibrations d'un ogre qui dans sa chute marque la fin d'un abus. Impressionant !
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Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 2 notes dont 1 avis lecteur
Mathieu Belezi, qui, dans son précédent roman, avait exploré la société française en Algérie, parcourt à nouveau cette époque, ses discours et ses mythes fondateurs à l’aide d’un personnage hors du commun, un ogre nommé Albert Vandel. Il fait tonner la voix de Vandel, dans un monologue puissant à l’Algérie française que cet homme dément porte toute entière au moment de sa chute et de l’émancipation du pays. Par sa folie, on remonte à la source d’une mégalomanie et d’une rancœur sans limite. C’est un livre puissant, violent que nous propose Mathieu Belezi. En retour à la violence d’une république civilisatrice conquérante, c’est toute la beauté et la singularité d’un pays qui répond, hommes, zéphyrs et animaux…
Mathieu Belezi, qui, dans son précédent roman, avait exploré la société française en Algérie, parcourt à nouveau cette époque, ses discours et ses mythes fondateurs à l’aide d’un personnage hors du commun, un ogre nommé Albert Vandel. Il fait tonner la voix de Vandel, dans un monologue puissant à l’Algérie française que cet homme dément porte toute entière au moment de sa chute et de l’émancipation du pays. Par sa folie, on remonte à la source d’une mégalomanie et d’une rancœur sans limite. C’est un livre puissant, violent que nous propose Mathieu Belezi. En retour à la violence d’une république civilisatrice conquérante, c’est toute la beauté et la singularité d’un pays qui répond, hommes, zéphyrs et animaux…
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