Les Traces du spectateur. Italie, XVIIe et XVIIIe siècles

Par : Françoise Decroisette
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  • Nombre de pages187
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.285 kg
  • Dimensions13,5 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-84292-178-X
  • EAN9782842921781
  • Date de parution23/02/2006
  • Collectioncreations europeennes
  • ÉditeurPU Vincennes

Résumé

ante nécessaire de l’oeuvre et de sa représentation, le spectateur de l’oeuvre dramatique, parlée ou musicale, en est aussi la composante la plus secrète. Cette singularité silencieuse et éphémère de celui qui perçoit ne peut s’analyser qu’à travers les traces ou les restes, fragiles et subjectifs, laissés dans les oeuvres soit par les auteurs eux-mêmes, soit par ces témoins privilégiés que sont les critiques, chroniqueurs et commentateurs, plus rarement les spectateurs anonymes. Une pragmatique de la rencontre originelle entre une oeuvre et les spectateurs qui en ont construit l’existence est-elle envisageable ? Est-il possible de saisir, sinon de restituer, le présent enfui des représentations passées, de cerner la relation fondatrice et complexe du spectateur à l’oeuvre, d’en redessiner les contours ? Peut-on en écrire l’histoire ? Les sept études rassemblées dans ce volume tentent de répondre à ces questions en prenant comme objet d’analyse des oeuvres écrites et représentées en Italie au cours des deux siècles (XVIIe-XVIIIe) qui voient l’affirmation de la comédie impromptue, du drame en musique, et du théâtral professionnel dans le contexte particulier des salles publiques vénitiennes. Un terreau particulièrement fertile où, à travers son interpellation dans le paratexte, son questionnement scénique et sa prise de parole, s’invente le spectateur moderne.
ante nécessaire de l’oeuvre et de sa représentation, le spectateur de l’oeuvre dramatique, parlée ou musicale, en est aussi la composante la plus secrète. Cette singularité silencieuse et éphémère de celui qui perçoit ne peut s’analyser qu’à travers les traces ou les restes, fragiles et subjectifs, laissés dans les oeuvres soit par les auteurs eux-mêmes, soit par ces témoins privilégiés que sont les critiques, chroniqueurs et commentateurs, plus rarement les spectateurs anonymes. Une pragmatique de la rencontre originelle entre une oeuvre et les spectateurs qui en ont construit l’existence est-elle envisageable ? Est-il possible de saisir, sinon de restituer, le présent enfui des représentations passées, de cerner la relation fondatrice et complexe du spectateur à l’oeuvre, d’en redessiner les contours ? Peut-on en écrire l’histoire ? Les sept études rassemblées dans ce volume tentent de répondre à ces questions en prenant comme objet d’analyse des oeuvres écrites et représentées en Italie au cours des deux siècles (XVIIe-XVIIIe) qui voient l’affirmation de la comédie impromptue, du drame en musique, et du théâtral professionnel dans le contexte particulier des salles publiques vénitiennes. Un terreau particulièrement fertile où, à travers son interpellation dans le paratexte, son questionnement scénique et sa prise de parole, s’invente le spectateur moderne.
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