Les passions intellectuelles. Tome 3, Volonté de pouvoir (1762-1778)

Par : Elisabeth Badinter

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  • Nombre de pages507
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.275 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 2,5 cm
  • ISBN978-2-253-08469-3
  • EAN9782253084693
  • Date de parution19/01/2011
  • CollectionLe Livre de Poche
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Les savants et les philosophes qui constituaient auparavant la République des Lettres écrivaient pour convaincre leurs pairs et dépendaient du pouvoir et des grands. Avec l'émergence, au milieu du XVIIIe siècle, de l ''opinion publique', le pouvoir change de camp. On voit naître chez les intellectuels trois "passions" successives qui font l'objet de cette trilogie. Dans les précédents volumes, nous avons vu les intellectuels solliciter les applaudissements du public puis revendiquer leur indépendance à l'égard des grands et un statut d'autorité morale.
Dans ce dernier volume, on observe la naissance de la "volonté de pouvoir". Dans les années 1760, l'aura des philosophes est telle qu'ils sontcourtisés par les rois et les princes étrangers. On recherche leur onction pour se faire une réputation de souverain éclairé. Ils se rêvent conseillers du prince, voire souhaitent entrer en politique... Diderot, d'Alembert, Helvétius ou Voltaire vont mesurer, chacun à sa façon, les limites de leur pouvoir.
Les savants et les philosophes qui constituaient auparavant la République des Lettres écrivaient pour convaincre leurs pairs et dépendaient du pouvoir et des grands. Avec l'émergence, au milieu du XVIIIe siècle, de l ''opinion publique', le pouvoir change de camp. On voit naître chez les intellectuels trois "passions" successives qui font l'objet de cette trilogie. Dans les précédents volumes, nous avons vu les intellectuels solliciter les applaudissements du public puis revendiquer leur indépendance à l'égard des grands et un statut d'autorité morale.
Dans ce dernier volume, on observe la naissance de la "volonté de pouvoir". Dans les années 1760, l'aura des philosophes est telle qu'ils sontcourtisés par les rois et les princes étrangers. On recherche leur onction pour se faire une réputation de souverain éclairé. Ils se rêvent conseillers du prince, voire souhaitent entrer en politique... Diderot, d'Alembert, Helvétius ou Voltaire vont mesurer, chacun à sa façon, les limites de leur pouvoir.
Elisabeth Badinter
Née le 5 mars 1944, Elisabeth Badinter est une femme de lettres et philosophe féministe. Agrégée de philosophie, spécialiste du siècle des Lumières, elle est l’auteur d’une trentaine d’essais et biographies. On peut notamment citer « L’amour en plus : histoire de l’amour maternel, XVII au XXème siècle » paru en 1980, « Condorcet, un intellectuel politique » en 1988 et « Le conflit, la femme et la mère » en 2010. Elle développe depuis longtemps une théorie de la ressemblance des sexes et se montre critique à l'égard de récentes lois sur la parité politique ou le traitement des délits sexuels, de telle sorte que les partisans du mouvement féministe ne la reconnaissent plus nécessairement aujourd'hui comme une des leurs. De son côté, elle continue de s'en réclamer, tout en précisant que la vocation du féminisme n'est pas de conduire une guerre des sexes.
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