Cet ouvrage, en analysant les images du temps dans le film Sandra (1965), définit l'esthétique d'un metteur en scène, L. Visconti, qui appartient à ce qu'on appellera l'après-guerre, et qui s'efforce de penser les camps de la mort à travers les ruines de la civilisation étrusque et l'expérience des statues.
Cet ouvrage, en analysant les images du temps dans le film Sandra (1965), définit l'esthétique d'un metteur en scène, L. Visconti, qui appartient à ce qu'on appellera l'après-guerre, et qui s'efforce de penser les camps de la mort à travers les ruines de la civilisation étrusque et l'expérience des statues.