Les dettes illégitimes. Quand les banques font main basse sur les politiques publiques
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- Nombre de pages100
- PrésentationBroché
- Poids0.147 kg
- Dimensions11,0 cm × 17,5 cm × 1,0 cm
- ISBN978-2-912107-60-2
- EAN9782912107602
- Date de parution09/06/2011
- ÉditeurRaisons d'agir
Résumé
De nombreux pays européens, la Grèce, le Portugal, l’Irlande, l’Espagne, voire la France, auraient, nous dit-on, vécu « au-dessus de leurs moyens ». Parce qu’ils ne taxent pas la fortune et le capital et qu’ils ne luttent pas contre l’évasion fiscale vers les paradis fiscaux, les gouvernements se sont effectivement lourdement endettés auprès des fonds de placement étrangers, mais aussi des banques européennes.
Celles-ci ont des bilans fragiles. Elles ont créé trop de crédit par rapport à leurs dépôts et fonds propres. Elles ont été sauvées à l’automne 2008. Elles exigent de l’être une seconde fois. Les politiques de rigueur budgétaire et de réduction salariale exigées par l’Union européenne, la BCE et le FMI sont socialement injustes. Elles enfoncent l’Europe dans la récession. Se pose ainsi la question de l’annulation des dettes publiques et dans la foulée celle de la socialisation des banques, BCE incluse.
Certains plaident pour le rééchelonnement des dettes. Dans ce livre, c’est leur dénonciation qui est défendue.
Celles-ci ont des bilans fragiles. Elles ont créé trop de crédit par rapport à leurs dépôts et fonds propres. Elles ont été sauvées à l’automne 2008. Elles exigent de l’être une seconde fois. Les politiques de rigueur budgétaire et de réduction salariale exigées par l’Union européenne, la BCE et le FMI sont socialement injustes. Elles enfoncent l’Europe dans la récession. Se pose ainsi la question de l’annulation des dettes publiques et dans la foulée celle de la socialisation des banques, BCE incluse.
Certains plaident pour le rééchelonnement des dettes. Dans ce livre, c’est leur dénonciation qui est défendue.
De nombreux pays européens, la Grèce, le Portugal, l’Irlande, l’Espagne, voire la France, auraient, nous dit-on, vécu « au-dessus de leurs moyens ». Parce qu’ils ne taxent pas la fortune et le capital et qu’ils ne luttent pas contre l’évasion fiscale vers les paradis fiscaux, les gouvernements se sont effectivement lourdement endettés auprès des fonds de placement étrangers, mais aussi des banques européennes.
Celles-ci ont des bilans fragiles. Elles ont créé trop de crédit par rapport à leurs dépôts et fonds propres. Elles ont été sauvées à l’automne 2008. Elles exigent de l’être une seconde fois. Les politiques de rigueur budgétaire et de réduction salariale exigées par l’Union européenne, la BCE et le FMI sont socialement injustes. Elles enfoncent l’Europe dans la récession. Se pose ainsi la question de l’annulation des dettes publiques et dans la foulée celle de la socialisation des banques, BCE incluse.
Certains plaident pour le rééchelonnement des dettes. Dans ce livre, c’est leur dénonciation qui est défendue.
Celles-ci ont des bilans fragiles. Elles ont créé trop de crédit par rapport à leurs dépôts et fonds propres. Elles ont été sauvées à l’automne 2008. Elles exigent de l’être une seconde fois. Les politiques de rigueur budgétaire et de réduction salariale exigées par l’Union européenne, la BCE et le FMI sont socialement injustes. Elles enfoncent l’Europe dans la récession. Se pose ainsi la question de l’annulation des dettes publiques et dans la foulée celle de la socialisation des banques, BCE incluse.
Certains plaident pour le rééchelonnement des dettes. Dans ce livre, c’est leur dénonciation qui est défendue.