Prix Ouest (Terres de Montaigu)

Le testament d'Adrien

Par : Gilbert Bordes
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  • Nombre de pages237
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.126 kg
  • Dimensions10,8 cm × 17,8 cm × 1,2 cm
  • ISBN978-2-266-32227-0
  • EAN9782266322270
  • Date de parution24/02/2022
  • CollectionPocket
  • ÉditeurPocket

Résumé

Après un long exil forcé, Pablo retrouve le ciel bleu et les paysages de son enfance en Haute-Provence, entre garrigue et montagnes provençales. Rares sont ceux qui voient son retour d'un bon oeil. N'est-il pas le fils adoptif d'Adrien, cet homme à la vie pleine d'ombres et de drames, qui avait pour le village de trop ambitieux desseins ? Convoqué pour l'ouverture du testament d'Adrien, Pablo hérite d'une jolie fortune.
Et des dernières volontés du défunt, lequel a enterré avec lui un terrible secret. Pablo saura-t-il dissiper les rancoeurs et reconquérir celle qu'il n'a jamais cessé d'aimer ?
Après un long exil forcé, Pablo retrouve le ciel bleu et les paysages de son enfance en Haute-Provence, entre garrigue et montagnes provençales. Rares sont ceux qui voient son retour d'un bon oeil. N'est-il pas le fils adoptif d'Adrien, cet homme à la vie pleine d'ombres et de drames, qui avait pour le village de trop ambitieux desseins ? Convoqué pour l'ouverture du testament d'Adrien, Pablo hérite d'une jolie fortune.
Et des dernières volontés du défunt, lequel a enterré avec lui un terrible secret. Pablo saura-t-il dissiper les rancoeurs et reconquérir celle qu'il n'a jamais cessé d'aimer ?

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.5/5
sur 2 notes dont 2 avis lecteurs
Des personnages masculins attachants
A Lure, dans un village de Provence, le retour de Pablo dérange certaines personnes. Il est revenu pour l’ouverture du testament d’Adrien, surnommé « le Fada », cet homme qui l’a élevé comme son fils. Le défunt, qui avait fait fortune à l’étranger, avait de grands projets pour le village. Pablo a le désir de les réaliser, mais il se heurte à des oppositions. Le médecin espagnol renoue avec ses souvenirs d’enfance. Certains sont heureux, comme l’immersion avec la nature, d’autres plus difficiles, comme le rejet qu’il a subi. Et enfin, il y a cette blessure jamais refermée : Gaëlle, celle qu’il a tant aimée et jamais oubliée. Adrien ne lui a pas légué que sa richesse. Il lui a, également, livré le passé. Tel un petit Poucet, il a semé des révélations de secrets, pour que Pablo puisse reconstituer son histoire. Une aide inattendue lui vient en la personne de Jules, un petit garçon de dix ans. Cet enfant, sans repères, trouve une stabilité auprès de lui. Avec son innocence d’enfant, il partage sa connaissance de la nature. Pablo sera-t-il accepté par les villageois ? Guérira-t-il ses blessures ? La belle Gaëlle cessera-t-elle de le fuir ? Dans ce roman, c’est aux personnages masculins que je me suis attachée. J’ai été touchée par les valeurs de Pablo, sa douceur et ses regrets. Mais celui qui m’a le plus émue est Jules. Ce petit est courageux et respecte la vie. Il est très observateur et très malin. Sa mère, Agathe, est dépassée et n’est pas assez présente, depuis son divorce, aussi Pablo représente une figure parentale. J’ai souvent eu très mal pour les enfants du livre. Le comportement de Gaëlle, l’amour de jeunesse de Pablo, m’a attristée. Je n’ai pas aimé cette femme, en raison de son égoïsme. Je n’ai pas compris son attitude avec ses filles et j’ai été choquée par son manque de délicatesse, envers son mari, Tom. Sa mère, Pierrette, est elle aussi, un personnage détestable et j’ai ri à ses dépens. Malgré mon manque d’empathie envers les mères du roman, j’ai aimé Le testament d’Adrien, car les hommes ont emporté mon cœur. J’ai été transportée par les passages au sujet des animaux, l’écriture de Gilbert Bordes m’a enrobée de douceur et de nostalgie et j’ai été envoûtée par les mystères du village.
A Lure, dans un village de Provence, le retour de Pablo dérange certaines personnes. Il est revenu pour l’ouverture du testament d’Adrien, surnommé « le Fada », cet homme qui l’a élevé comme son fils. Le défunt, qui avait fait fortune à l’étranger, avait de grands projets pour le village. Pablo a le désir de les réaliser, mais il se heurte à des oppositions. Le médecin espagnol renoue avec ses souvenirs d’enfance. Certains sont heureux, comme l’immersion avec la nature, d’autres plus difficiles, comme le rejet qu’il a subi. Et enfin, il y a cette blessure jamais refermée : Gaëlle, celle qu’il a tant aimée et jamais oubliée. Adrien ne lui a pas légué que sa richesse. Il lui a, également, livré le passé. Tel un petit Poucet, il a semé des révélations de secrets, pour que Pablo puisse reconstituer son histoire. Une aide inattendue lui vient en la personne de Jules, un petit garçon de dix ans. Cet enfant, sans repères, trouve une stabilité auprès de lui. Avec son innocence d’enfant, il partage sa connaissance de la nature. Pablo sera-t-il accepté par les villageois ? Guérira-t-il ses blessures ? La belle Gaëlle cessera-t-elle de le fuir ? Dans ce roman, c’est aux personnages masculins que je me suis attachée. J’ai été touchée par les valeurs de Pablo, sa douceur et ses regrets. Mais celui qui m’a le plus émue est Jules. Ce petit est courageux et respecte la vie. Il est très observateur et très malin. Sa mère, Agathe, est dépassée et n’est pas assez présente, depuis son divorce, aussi Pablo représente une figure parentale. J’ai souvent eu très mal pour les enfants du livre. Le comportement de Gaëlle, l’amour de jeunesse de Pablo, m’a attristée. Je n’ai pas aimé cette femme, en raison de son égoïsme. Je n’ai pas compris son attitude avec ses filles et j’ai été choquée par son manque de délicatesse, envers son mari, Tom. Sa mère, Pierrette, est elle aussi, un personnage détestable et j’ai ri à ses dépens. Malgré mon manque d’empathie envers les mères du roman, j’ai aimé Le testament d’Adrien, car les hommes ont emporté mon cœur. J’ai été transportée par les passages au sujet des animaux, l’écriture de Gilbert Bordes m’a enrobée de douceur et de nostalgie et j’ai été envoûtée par les mystères du village.
  • terroir
  • Secrets
Lecture agréable sur fond de musique et de nature
Au décès d’Adrien, notable fortuné d’un village tranquille de Haute-Provence, le retour de son héritier au pays après vingt d’absence suscite méfiance et questions : restera-t-il ? Désormais riche à son tour, reprendra-t-il les projets de développement touristique du vieil homme, que l’opposition villageoise avait réussi à suspendre ? Et quelles sont ses intentions à l’égard de Gaëlle, son ancien amour qu’on l’avait empêché d’épouser ? Rumeurs et vieilles rancoeurs ne tardent pas à échauffer les esprits, surtout lorsque l’orgue d’une vieille chapelle abandonnée se met à jouer dans la nuit… Secrets et vieilles brouilles dans un coin de campagne contemporain… Nous voici plongés dans un nouveau roman de terroir de Gilbert Bordes, qui fait plus que jamais la part belle à ses deux passions : la nature et la musique. C’est d’ailleurs un peu lui que l’on retrouve dans ses personnages, en particulier ce jeune garçon solitaire qui rêve de musique et fabrique sa guitare avec des câbles de frein de vélo, et surtout, qui ne s’épanouit qu’en explorant sa montagne et en approchant la faune sauvage. Au travers de cet enfant sourd toute la nostalgie de l’écrivain pour une époque enfuie, où les ruisseaux étaient pleins de vie et la jeunesse pas encore prisonnière des écrans bleus. Aux plaisirs naturalistes répondent les joies musicales, avec en point d’orgue l’hydraule de la vieille chapelle, cet étonnant instrument que l’auteur nous ressuscite du fond des âges antiques. Tandis qu’à la main gauche résonnent en permanence les thèmes de la nature et de la musique, la main droite égrène peu à peu les surprises d’une histoire suffisamment riche en mystères et rebondissements pour piquer la curiosité du lecteur et lui faire tourner les pages sans en relever le nez. Le texte coule avec facilité et jamais l’ennui n’affleure. Dommage peut-être que le dénouement résolve tout d’une façon très idyllique, sans laisser perdurer quelques doutes au moins sur l’issue d’un ou deux points… Mais c’est aussi ce qui fait le charme des romans de Gilbert Bordes : la méchanceté ne l’y emporte jamais.
Au décès d’Adrien, notable fortuné d’un village tranquille de Haute-Provence, le retour de son héritier au pays après vingt d’absence suscite méfiance et questions : restera-t-il ? Désormais riche à son tour, reprendra-t-il les projets de développement touristique du vieil homme, que l’opposition villageoise avait réussi à suspendre ? Et quelles sont ses intentions à l’égard de Gaëlle, son ancien amour qu’on l’avait empêché d’épouser ? Rumeurs et vieilles rancoeurs ne tardent pas à échauffer les esprits, surtout lorsque l’orgue d’une vieille chapelle abandonnée se met à jouer dans la nuit… Secrets et vieilles brouilles dans un coin de campagne contemporain… Nous voici plongés dans un nouveau roman de terroir de Gilbert Bordes, qui fait plus que jamais la part belle à ses deux passions : la nature et la musique. C’est d’ailleurs un peu lui que l’on retrouve dans ses personnages, en particulier ce jeune garçon solitaire qui rêve de musique et fabrique sa guitare avec des câbles de frein de vélo, et surtout, qui ne s’épanouit qu’en explorant sa montagne et en approchant la faune sauvage. Au travers de cet enfant sourd toute la nostalgie de l’écrivain pour une époque enfuie, où les ruisseaux étaient pleins de vie et la jeunesse pas encore prisonnière des écrans bleus. Aux plaisirs naturalistes répondent les joies musicales, avec en point d’orgue l’hydraule de la vieille chapelle, cet étonnant instrument que l’auteur nous ressuscite du fond des âges antiques. Tandis qu’à la main gauche résonnent en permanence les thèmes de la nature et de la musique, la main droite égrène peu à peu les surprises d’une histoire suffisamment riche en mystères et rebondissements pour piquer la curiosité du lecteur et lui faire tourner les pages sans en relever le nez. Le texte coule avec facilité et jamais l’ennui n’affleure. Dommage peut-être que le dénouement résolve tout d’une façon très idyllique, sans laisser perdurer quelques doutes au moins sur l’issue d’un ou deux points… Mais c’est aussi ce qui fait le charme des romans de Gilbert Bordes : la méchanceté ne l’y emporte jamais.
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