A Lure, dans un village de Provence, le retour de Pablo dérange certaines personnes. Il est revenu pour l’ouverture du testament d’Adrien, surnommé « le Fada », cet homme qui l’a élevé comme son fils. Le défunt, qui avait fait fortune à l’étranger, avait de grands projets pour le village. Pablo a le désir de les réaliser, mais il se heurte à des oppositions.
Le médecin espagnol renoue avec ses souvenirs d’enfance. Certains sont heureux, comme l’immersion avec la nature, d’autres plus difficiles, comme le rejet qu’il a subi. Et enfin, il y a cette blessure jamais
refermée : Gaëlle, celle qu’il a tant aimée et jamais oubliée.
Adrien ne lui a pas légué que sa richesse. Il lui a, également, livré le passé. Tel un petit Poucet, il a semé des révélations de secrets, pour que Pablo puisse reconstituer son histoire. Une aide inattendue lui vient en la personne de Jules, un petit garçon de dix ans. Cet enfant, sans repères, trouve une stabilité auprès de lui. Avec son innocence d’enfant, il partage sa connaissance de la nature.
Pablo sera-t-il accepté par les villageois ? Guérira-t-il ses blessures ? La belle Gaëlle cessera-t-elle de le fuir ?
Dans ce roman, c’est aux personnages masculins que je me suis attachée. J’ai été touchée par les valeurs de Pablo, sa douceur et ses regrets. Mais celui qui m’a le plus émue est Jules. Ce petit est courageux et respecte la vie. Il est très observateur et très malin. Sa mère, Agathe, est dépassée et n’est pas assez présente, depuis son divorce, aussi Pablo représente une figure parentale. J’ai souvent eu très mal pour les enfants du livre. Le comportement de Gaëlle, l’amour de jeunesse de Pablo, m’a attristée. Je n’ai pas aimé cette femme, en raison de son égoïsme. Je n’ai pas compris son attitude avec ses filles et j’ai été choquée par son manque de délicatesse, envers son mari, Tom. Sa mère, Pierrette, est elle aussi, un personnage détestable et j’ai ri à ses dépens.
Malgré mon manque d’empathie envers les mères du roman, j’ai aimé Le testament d’Adrien, car les hommes ont emporté mon cœur. J’ai été transportée par les passages au sujet des animaux, l’écriture de Gilbert Bordes m’a enrobée de douceur et de nostalgie et j’ai été envoûtée par les mystères du village.
Des personnages masculins attachants
A Lure, dans un village de Provence, le retour de Pablo dérange certaines personnes. Il est revenu pour l’ouverture du testament d’Adrien, surnommé « le Fada », cet homme qui l’a élevé comme son fils. Le défunt, qui avait fait fortune à l’étranger, avait de grands projets pour le village. Pablo a le désir de les réaliser, mais il se heurte à des oppositions.
Le médecin espagnol renoue avec ses souvenirs d’enfance. Certains sont heureux, comme l’immersion avec la nature, d’autres plus difficiles, comme le rejet qu’il a subi. Et enfin, il y a cette blessure jamais refermée : Gaëlle, celle qu’il a tant aimée et jamais oubliée.
Adrien ne lui a pas légué que sa richesse. Il lui a, également, livré le passé. Tel un petit Poucet, il a semé des révélations de secrets, pour que Pablo puisse reconstituer son histoire. Une aide inattendue lui vient en la personne de Jules, un petit garçon de dix ans. Cet enfant, sans repères, trouve une stabilité auprès de lui. Avec son innocence d’enfant, il partage sa connaissance de la nature.
Pablo sera-t-il accepté par les villageois ? Guérira-t-il ses blessures ? La belle Gaëlle cessera-t-elle de le fuir ?
Dans ce roman, c’est aux personnages masculins que je me suis attachée. J’ai été touchée par les valeurs de Pablo, sa douceur et ses regrets. Mais celui qui m’a le plus émue est Jules. Ce petit est courageux et respecte la vie. Il est très observateur et très malin. Sa mère, Agathe, est dépassée et n’est pas assez présente, depuis son divorce, aussi Pablo représente une figure parentale. J’ai souvent eu très mal pour les enfants du livre. Le comportement de Gaëlle, l’amour de jeunesse de Pablo, m’a attristée. Je n’ai pas aimé cette femme, en raison de son égoïsme. Je n’ai pas compris son attitude avec ses filles et j’ai été choquée par son manque de délicatesse, envers son mari, Tom. Sa mère, Pierrette, est elle aussi, un personnage détestable et j’ai ri à ses dépens.
Malgré mon manque d’empathie envers les mères du roman, j’ai aimé Le testament d’Adrien, car les hommes ont emporté mon cœur. J’ai été transportée par les passages au sujet des animaux, l’écriture de Gilbert Bordes m’a enrobée de douceur et de nostalgie et j’ai été envoûtée par les mystères du village.