Le Plessis-Robinson. Art Nouveau, art déco, renaissance urbaine

Par : Maurice Culot, William Pesson, Charlotte Mus
  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages304
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.24 kg
  • Dimensions24,5 cm × 22,2 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-87143-376-7
  • EAN9782871433767
  • Date de parution14/01/2021
  • ÉditeurAam (editions)
  • ContributeurPierre Prévôst-Leygonie

Résumé

Situé à quelques kilomètres au sud-ouest de Paris, Le Plessis-Robinson connaît un essor inattendu dès 1848, lorsqu'un directeur de guinguette invite ses hôtes à jouer les Robinson Crusoé dans des cabanes perchées entre les branches de grands châtaigniers. L'arrivée du chemin de fer aidant, les guinguettes dans les arbres se développent tant et si bien que le village qui s'appelait jusqu'alors le Plessis-Piquet prend le nom du Plessis-Robinson.
L'éditeur parisien Louis Hachette s'y installe et des artistes, écrivains, peintres et photographes tels que Emile Zola, Eugène Atget et Maurice Utrillo immortalisent les lieux. Le Plessis-Robinson est aussi un lieu d'expérimentation pour le logement social accueillant l'une des premières cités-jardins de l'Office public d'Habitation à bon marché de la Seine. Dans les années 1910-1920, Jacques Henri Lartigue et Tamara de Lempicka sont des habitués du Moulin Fidel, aménagé par l'architecte Albert Laprade pour le docteur Boucard, inventeur du Lactéol.
Après la deuxième guerre, la ville se densifie, puis à partir de 1989, sous l'impulsion de son maire Philippe Pemezec, elle entame une profonde mutation urbaine qui illustre une nouvelle manière de penser la ville basée sur la mixité et la création de rues et de places dans la tradition européenne. Fondateur de cités lacustres dont Port-Grimaud et promoteur de l'architecture douce, François Spoerry donne l'esprit de cette entreprise de reconquête urbaine unique en France et qui se poursuit aujourd'hui dans une ville qui a toujours su se réinventer.
Situé à quelques kilomètres au sud-ouest de Paris, Le Plessis-Robinson connaît un essor inattendu dès 1848, lorsqu'un directeur de guinguette invite ses hôtes à jouer les Robinson Crusoé dans des cabanes perchées entre les branches de grands châtaigniers. L'arrivée du chemin de fer aidant, les guinguettes dans les arbres se développent tant et si bien que le village qui s'appelait jusqu'alors le Plessis-Piquet prend le nom du Plessis-Robinson.
L'éditeur parisien Louis Hachette s'y installe et des artistes, écrivains, peintres et photographes tels que Emile Zola, Eugène Atget et Maurice Utrillo immortalisent les lieux. Le Plessis-Robinson est aussi un lieu d'expérimentation pour le logement social accueillant l'une des premières cités-jardins de l'Office public d'Habitation à bon marché de la Seine. Dans les années 1910-1920, Jacques Henri Lartigue et Tamara de Lempicka sont des habitués du Moulin Fidel, aménagé par l'architecte Albert Laprade pour le docteur Boucard, inventeur du Lactéol.
Après la deuxième guerre, la ville se densifie, puis à partir de 1989, sous l'impulsion de son maire Philippe Pemezec, elle entame une profonde mutation urbaine qui illustre une nouvelle manière de penser la ville basée sur la mixité et la création de rues et de places dans la tradition européenne. Fondateur de cités lacustres dont Port-Grimaud et promoteur de l'architecture douce, François Spoerry donne l'esprit de cette entreprise de reconquête urbaine unique en France et qui se poursuit aujourd'hui dans une ville qui a toujours su se réinventer.