Le peuple enfant et l'école. Pourquoi pas Alain ?
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- Nombre de pages146
- PrésentationBroché
- Poids0.245 kg
- Dimensions15,5 cm × 23,9 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-296-96348-1
- EAN9782296963481
- Date de parution01/03/2012
- CollectionPédagogie : crises, mémoires
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Il semble bien que le souci du collectif ne soit plus guère à la
mode et, pour ce qui concerne les enfants et les adolescents,
soit l'on s'inquiète de les voir s'organiser en "bande", soit l'on
déplore que la "montée de l'individualisme" mette à mal tout
souci du commun. Mais surtout, semble-t-il encore, le souci
du collectif s'efface au sein même de l'école dans la mesure où
celle-ci trouve aujourd'hui de plus en plus sa légitimité dans
l'écoute et le suivi des difficultés, capacités et projets de
chacun.
Le collectif, pense-t-on, ferait forcément tort aux individus. Ce livre entend montrer tout d'abord qu'il y a bien une tendance native des enfants à se regrouper loin des adultes et, comme le disait Alain, à "faire peuple" et que ce serait leur faire tort que de l'ignorer. Il entend examiner ensuite la façon dont les adultes peuvent accueillir, reprendre et pour finir instituer cette tendance native, ou comment elle fonde leur responsabilité.
L'école, et un bon nombre de ses principes constitutifs (l'autorité, la différentiation, le travail scolaire, l'émulation) s'en trouvent ainsi redéfinis. C'est en suivant les thèses du philosophe-pédagogue Alain que cette analyse est menée. Il en ressort une image plus moderne de sa pensée touchant l'éducation, loin des habituels clichés dans lesquels on l'enferme le plus souvent.
Le collectif, pense-t-on, ferait forcément tort aux individus. Ce livre entend montrer tout d'abord qu'il y a bien une tendance native des enfants à se regrouper loin des adultes et, comme le disait Alain, à "faire peuple" et que ce serait leur faire tort que de l'ignorer. Il entend examiner ensuite la façon dont les adultes peuvent accueillir, reprendre et pour finir instituer cette tendance native, ou comment elle fonde leur responsabilité.
L'école, et un bon nombre de ses principes constitutifs (l'autorité, la différentiation, le travail scolaire, l'émulation) s'en trouvent ainsi redéfinis. C'est en suivant les thèses du philosophe-pédagogue Alain que cette analyse est menée. Il en ressort une image plus moderne de sa pensée touchant l'éducation, loin des habituels clichés dans lesquels on l'enferme le plus souvent.
Il semble bien que le souci du collectif ne soit plus guère à la
mode et, pour ce qui concerne les enfants et les adolescents,
soit l'on s'inquiète de les voir s'organiser en "bande", soit l'on
déplore que la "montée de l'individualisme" mette à mal tout
souci du commun. Mais surtout, semble-t-il encore, le souci
du collectif s'efface au sein même de l'école dans la mesure où
celle-ci trouve aujourd'hui de plus en plus sa légitimité dans
l'écoute et le suivi des difficultés, capacités et projets de
chacun.
Le collectif, pense-t-on, ferait forcément tort aux individus. Ce livre entend montrer tout d'abord qu'il y a bien une tendance native des enfants à se regrouper loin des adultes et, comme le disait Alain, à "faire peuple" et que ce serait leur faire tort que de l'ignorer. Il entend examiner ensuite la façon dont les adultes peuvent accueillir, reprendre et pour finir instituer cette tendance native, ou comment elle fonde leur responsabilité.
L'école, et un bon nombre de ses principes constitutifs (l'autorité, la différentiation, le travail scolaire, l'émulation) s'en trouvent ainsi redéfinis. C'est en suivant les thèses du philosophe-pédagogue Alain que cette analyse est menée. Il en ressort une image plus moderne de sa pensée touchant l'éducation, loin des habituels clichés dans lesquels on l'enferme le plus souvent.
Le collectif, pense-t-on, ferait forcément tort aux individus. Ce livre entend montrer tout d'abord qu'il y a bien une tendance native des enfants à se regrouper loin des adultes et, comme le disait Alain, à "faire peuple" et que ce serait leur faire tort que de l'ignorer. Il entend examiner ensuite la façon dont les adultes peuvent accueillir, reprendre et pour finir instituer cette tendance native, ou comment elle fonde leur responsabilité.
L'école, et un bon nombre de ses principes constitutifs (l'autorité, la différentiation, le travail scolaire, l'émulation) s'en trouvent ainsi redéfinis. C'est en suivant les thèses du philosophe-pédagogue Alain que cette analyse est menée. Il en ressort une image plus moderne de sa pensée touchant l'éducation, loin des habituels clichés dans lesquels on l'enferme le plus souvent.