Le Père Goriot
Texte abrégé

Par : Honoré de Balzac

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  • Nombre de pages237
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.245 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-211-08219-X
  • EAN9782211082198
  • Date de parution07/09/2006
  • CollectionLes Classiques abrégés
  • ÉditeurEcole des Loisirs (L')

Résumé

Paris, fin 1819. Dans une sordide pension près du Panthéon, la maison Vauquer, cohabitent les acteurs ou témoins de l'une des histoires les plus cruelles de la littérature : Vautrin, Rastignac et Goriot. L'inquiétant Vautrin, ancien bagnard qui se fait passer pour rentier, tente en vain d'entraîner dans un marché criminel Eugène de Rastignac, jeune étudiant ambitieux et sensible venu faire son droit à paris. Quant au père Goriot, doyen de la pension, c'est un vieillard pathétique qui dissimule un secret, un secret qui fait de lui un homme de plus en plus pauvre, que sa misère croissante oblige grimper d'étage en étage dans la pension pour y occuper des logements toujours plus misérables, jusqu'aux galetas des mansardes. Goriot se ruinerait-il en entretenant des femmes ? Oui. Mais ces femmes, ce sont ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, deux ingrates entrées dans la haute société parisienne et qui ont honte de leur père, enrichi dans la fabrication des pâtes alimentaires. Pour qu'elles lui vouent un peu de reconnaissance, ce papa poule va pousser l'abnégation jusqu'au sacrifice. Assis sur un banc sur les Champs-Elysées, il les voit passer en calèche, dans leur bel équipage, et dit : " J'aimerais être le petit chien sur leurs genoux ! " Il a bien mérité l'appellation de " Christ de la paternité " celui qui avoue : " J'ai bien expié le péché de les trop aimer. "
Paris, fin 1819. Dans une sordide pension près du Panthéon, la maison Vauquer, cohabitent les acteurs ou témoins de l'une des histoires les plus cruelles de la littérature : Vautrin, Rastignac et Goriot. L'inquiétant Vautrin, ancien bagnard qui se fait passer pour rentier, tente en vain d'entraîner dans un marché criminel Eugène de Rastignac, jeune étudiant ambitieux et sensible venu faire son droit à paris. Quant au père Goriot, doyen de la pension, c'est un vieillard pathétique qui dissimule un secret, un secret qui fait de lui un homme de plus en plus pauvre, que sa misère croissante oblige grimper d'étage en étage dans la pension pour y occuper des logements toujours plus misérables, jusqu'aux galetas des mansardes. Goriot se ruinerait-il en entretenant des femmes ? Oui. Mais ces femmes, ce sont ses filles, Anastasie de Restaud et Delphine de Nucingen, deux ingrates entrées dans la haute société parisienne et qui ont honte de leur père, enrichi dans la fabrication des pâtes alimentaires. Pour qu'elles lui vouent un peu de reconnaissance, ce papa poule va pousser l'abnégation jusqu'au sacrifice. Assis sur un banc sur les Champs-Elysées, il les voit passer en calèche, dans leur bel équipage, et dit : " J'aimerais être le petit chien sur leurs genoux ! " Il a bien mérité l'appellation de " Christ de la paternité " celui qui avoue : " J'ai bien expié le péché de les trop aimer. "

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4.1/5
sur 31 notes dont 1 avis lecteur
4/5
Quatrième de couverture assez étrange vu que Lucien de Rubempré ne figure pas dans cet épisode de la Comédie Humaine et que Marsay est à peine évoqué. Sinon grand moment de la littérature. La société décrite avec tant de finesse par Balzac est très actuelle malgré le langage un peu désuet. L’hypocrisie, le mensonge, l’intéressement dans ce milieu bourgeois et aisé parisien serait facilement transposable à notre époque. Il est agréable de relire un français impeccable et soigné, même du XIXème siècle. Le personnage du Père Goriot est énervant autant qu’il est touchant dans sa paternité bafouée. Que dire d’autre sur Balzac, si ce n’est qu’il fait parti des incontournables de la littérature ?
Quatrième de couverture assez étrange vu que Lucien de Rubempré ne figure pas dans cet épisode de la Comédie Humaine et que Marsay est à peine évoqué. Sinon grand moment de la littérature. La société décrite avec tant de finesse par Balzac est très actuelle malgré le langage un peu désuet. L’hypocrisie, le mensonge, l’intéressement dans ce milieu bourgeois et aisé parisien serait facilement transposable à notre époque. Il est agréable de relire un français impeccable et soigné, même du XIXème siècle. Le personnage du Père Goriot est énervant autant qu’il est touchant dans sa paternité bafouée. Que dire d’autre sur Balzac, si ce n’est qu’il fait parti des incontournables de la littérature ?
  • Passionnant
  • Bouleversant
Honoré de Balzac
Honoré de Balzac est né à tours en 1799. Après des études de droit, il décide d'abandonner son métier de clerc de notaire pour devenir romancier et journaliste. Malgré des débuts difficiles dus aux échecs de son premier ouvrage, il ne se désarme pas et persiste dans l'écriture. En 1830, il commence l'oeuvre de sa vie, "La Comédie Humaine", se revendiquant comme une peinture réaliste de la société de son époque. A travers ces 80 romans, dont Le colonel Chabert et Le Père Goriot, il dresse le portrait de plus de 2000 personnages et étudie toutes les classes sociales à la manière d'un scientifique. Inventeur du récit moderne, il aborde plusieurs genres dans le cours de sa carrière littéraire et influencera des auteurs réputés dont Emile Zola, le célèbre auteur de Au Bonheur des Dames ou Gustave Flaubert, connu pour L'éducation sentimentale. Après une vie de labeurs et d'abus, il meurt à Paris en 1850 et accède au statut d'écrivain mythique marquant l'histoire de la littérature pour toujours. De ces auteurs ayant apportés leur contribution littéraire, nous vous suggérons de découvrir l'univers mélancolique de Charles Baudelaire avec Les fleurs du mal. Petits prix, livraison à 0,01€ et garantie satisfait ou remboursé : tels sont nos atouts.
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