Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un corpus d'œuvres contemporain, complexe et reconnu comme celui de Bruce Nauman, qu'a t-il donc à nous apprendre, nous qui regardons ? La manière...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 1 octobre et le 2 octobre
En librairie
Résumé
Un corpus d'œuvres contemporain, complexe et reconnu comme celui de Bruce Nauman, qu'a t-il donc à nous apprendre, nous qui regardons ? La manière dont Bruce Nauman joue de tout médium, préfigurant ce que l'on nomme aujourd'hui de nouveaux, ou multimédia, comment s'inscrit-elle dans la structure paradoxale du visible ? De quelle manière, à partir de cet œuvre, penser la dissemblance que prend le visage de l'art depuis le début du XXème siècle, dissemblance en écho à la pensée philosophique moderne ? Et l'œuvre d'art, peut-elle faire l'économie d'un affrontement, fécond, avec la question d'autrui, ce visage de ce qui est irréductible à tout ? Ce livre s'écrit autour de ces problématiques, et transite des premières œuvres de Bruce Nauman aux Vierges à l'Enfant du quattrocento. Il travaille la scission qu'ouvre le voir, distingué du regarder, au sein même du visible. Il trace la plurimédialité du geste contemporain selon la donation de l'œuvre, qui masque autant qu'elle révèle. Il dessine les apories que la pensée, depuis Nietzsche, offre à la difficulté des œuvres qui lui sont contemporaines. Il tente de penser, enfin, comment la métaphore de l'œuvre d'art ouvre au questionnement d'autrui, et à ce qu'il représente, une faille, une béance dans ce qui est. C'est de cette béance dont ce livre essaie, modestement, d'esquisser l'ouverture.
Bruno EBLE est peintre, diplômé de l'Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts. Il enseigne à l'Ecole Supérieure d'Art et Céramique de Tarbes, où il anime un atelier plurimédia.