Le miroir sans reflet.. Considérations autour de l'oeuvre de Bruce Nauman

Par : Bruno Eble

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  • Nombre de pages214
  • FormatPDF
  • ISBN2-296-23362-7
  • EAN9782296233621
  • Date de parution01/07/2001
  • Copier Coller01 page(s) autorisée(s)
  • Protection num.Digital Watermarking
  • Taille6 Mo
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Un corpus d'œuvres contemporain, complexe et reconnu comme celui de Bruce Nauman, qu'a t-il donc à nous apprendre, nous qui regardons ? La manière dont Bruce Nauman joue de tout médium, préfigurant ce que l'on nomme aujourd'hui de nouveaux, ou multimédia, comment s'inscrit-elle dans la structure paradoxale du visible ? De quelle manière, à partir de cet œuvre, penser la dissemblance que prend le visage de l'art depuis le début du XXème siècle, dissemblance en écho à la pensée philosophique moderne ? Et l'œuvre d'art, peut-elle faire l'économie d'un affrontement, fécond, avec la question d'autrui, ce visage de ce qui est irréductible à tout ? Ce livre s'écrit autour de ces problématiques, et transite des premières œuvres de Bruce Nauman aux Vierges à l'Enfant du quattrocento.
Il travaille la scission qu'ouvre le voir, distingué du regarder, au sein même du visible. Il trace la plurimédialité du geste contemporain selon la donation de l'œuvre, qui masque autant qu'elle révèle. Il dessine les apories que la pensée, depuis Nietzsche, offre à la difficulté des œuvres qui lui sont contemporaines. Il tente de penser, enfin, comment la métaphore de l'œuvre d'art ouvre au questionnement d'autrui, et à ce qu'il représente, une faille, une béance dans ce qui est.
C'est de cette béance dont ce livre essaie, modestement, d'esquisser l'ouverture.
Un corpus d'œuvres contemporain, complexe et reconnu comme celui de Bruce Nauman, qu'a t-il donc à nous apprendre, nous qui regardons ? La manière dont Bruce Nauman joue de tout médium, préfigurant ce que l'on nomme aujourd'hui de nouveaux, ou multimédia, comment s'inscrit-elle dans la structure paradoxale du visible ? De quelle manière, à partir de cet œuvre, penser la dissemblance que prend le visage de l'art depuis le début du XXème siècle, dissemblance en écho à la pensée philosophique moderne ? Et l'œuvre d'art, peut-elle faire l'économie d'un affrontement, fécond, avec la question d'autrui, ce visage de ce qui est irréductible à tout ? Ce livre s'écrit autour de ces problématiques, et transite des premières œuvres de Bruce Nauman aux Vierges à l'Enfant du quattrocento.
Il travaille la scission qu'ouvre le voir, distingué du regarder, au sein même du visible. Il trace la plurimédialité du geste contemporain selon la donation de l'œuvre, qui masque autant qu'elle révèle. Il dessine les apories que la pensée, depuis Nietzsche, offre à la difficulté des œuvres qui lui sont contemporaines. Il tente de penser, enfin, comment la métaphore de l'œuvre d'art ouvre au questionnement d'autrui, et à ce qu'il représente, une faille, une béance dans ce qui est.
C'est de cette béance dont ce livre essaie, modestement, d'esquisser l'ouverture.