Des histoires belles.
Des histoires simples.
Des âmes fragiles et des cœurs effrités.
Des exilés qui se souviennent, de ce Laos toujours un peu là, à l’intérieur.
Des K qui ne se prononcent pas et des renaissances qu’on clame.
Des histoires de survie et d’adaptation, de solitude et d’aguerrissement.
C’est plein de tendresse et d’ombres, c’est d’une infinie justesse avec de l’empathie partout pour ces hommes et ces femmes qui ont quitté leur pays en guerre.
Un recueil de nouvelles comme une collection d’histoires tout à fait savoureuses et douloureuses d’une jeune autrice qui n’est pas sans rappeler les grands nouvellistes américains (un chouïa de Carver, un soupçon de Munro, un petit peu de cela, une bribe de ceci, mais surtout une vraie identité dans cette écriture faite de bleus et de soleils).
Bref, c’est très enthousiasmant !
Des histoires belles.
Des histoires simples.
Des âmes fragiles et des cœurs effrités.
Des exilés qui se souviennent, de ce Laos toujours un peu là, à l’intérieur.
Des K qui ne se prononcent pas et des renaissances qu’on clame.
Des histoires de survie et d’adaptation, de solitude et d’aguerrissement.
C’est plein de tendresse et d’ombres, c’est d’une infinie justesse avec de l’empathie partout pour ces hommes et ces femmes qui ont quitté leur pays en guerre.
Un recueil de nouvelles comme une collection d’histoires tout à fait savoureuses et douloureuses d’une jeune autrice qui n’est pas sans rappeler les grands nouvellistes américains (un chouïa de Carver, un soupçon de Munro, un petit peu de cela, une bribe de ceci, mais surtout une vraie identité dans cette écriture faite de bleus et de soleils).
Bref, c’est très enthousiasmant !