Le capitulaire carolingien De Villis est célèbre pour ses quatre-vingt-dix noms de plantes et d'arbres que Charlemagne souhaitait voir cultiver dans ses domaines. C'est le témoin de la pharmacopée carolingienne et du modèle idéal d'un jardin médicinal. Mais d'une manière plus large, les soixante-dix articles de ce texte expliquent, en détail, comment les terres et les maisons du domaine impérial doivent être gérées.
Ils témoignent d'une économie agricole et artisanale, où tout était produit sur place, de l'oeuf, au linge de maison. On trouvera dans ce volume l'intégralité du texte du capitulaire, traduit en français ; une présentation ; une annexe sur les plantes et arbres fruits cités.
Le capitulaire carolingien De Villis est célèbre pour ses quatre-vingt-dix noms de plantes et d'arbres que Charlemagne souhaitait voir cultiver dans ses domaines. C'est le témoin de la pharmacopée carolingienne et du modèle idéal d'un jardin médicinal. Mais d'une manière plus large, les soixante-dix articles de ce texte expliquent, en détail, comment les terres et les maisons du domaine impérial doivent être gérées.
Ils témoignent d'une économie agricole et artisanale, où tout était produit sur place, de l'oeuf, au linge de maison. On trouvera dans ce volume l'intégralité du texte du capitulaire, traduit en français ; une présentation ; une annexe sur les plantes et arbres fruits cités.