Chroniques. Tome 19, L'Aquitaine anglaise (1393 - 1396)
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 10 décembreCet article sera commandé chez un fournisseur et vous sera envoyé 10 jours après la date de votre commande.
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay estimée à partir du 10 décembre
- Nombre de pages192
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.234 kg
- Dimensions14,0 cm × 20,4 cm × 0,1 cm
- ISBN979-10-333-0038-0
- EAN9791033300380
- Date de parution24/04/2019
- CollectionL'encyclopédie médiévale
- ÉditeurPaléo
- TraducteurNathalie Desgrugillers
Résumé
Quand le duc de Lancastre entendit la réponse des Bordelais, il se rendit compte que les affaires pour lesquelles il était venu ici ne seraient pas réglées rapidement. Il l'avait supposé d'emblée et c'était bien ce qu'on lui avait laissé entendre. Malgré tout, il envoya son conseil à Bayonne. L'accueil fut le même qu'à Bordeaux ; ils n'obtinrent pas de réponses supplémentaires. Les prélats, les nobles, les conseillers des grandes villes de Gascogne, placés sous l'obéissance du roi d'Angleterre, se réunirent et prirent une décision unanime.
Ils acceptaient de recevoir le duc de Lancastre dans leurs cités, châteaux et grandes villes, parce qu'il était le fils du roi Edouard d'heureuse mémoire, et l'oncle du roi Richard d'Angleterre. Mais à son entrée dans les forteresses, lui et les siens devraient, pacifiquement et de bonne volonté, jurer solennellement de ne pas faire usage de la force, et de payer tout ce qu'ils prendraient ; en outre, le duc devrait jurer de ne pas oppresser cette juridiction appartenant à la couronne d'Angleterre, par quelque voie ou action que ce soit.
Ils acceptaient de recevoir le duc de Lancastre dans leurs cités, châteaux et grandes villes, parce qu'il était le fils du roi Edouard d'heureuse mémoire, et l'oncle du roi Richard d'Angleterre. Mais à son entrée dans les forteresses, lui et les siens devraient, pacifiquement et de bonne volonté, jurer solennellement de ne pas faire usage de la force, et de payer tout ce qu'ils prendraient ; en outre, le duc devrait jurer de ne pas oppresser cette juridiction appartenant à la couronne d'Angleterre, par quelque voie ou action que ce soit.
Quand le duc de Lancastre entendit la réponse des Bordelais, il se rendit compte que les affaires pour lesquelles il était venu ici ne seraient pas réglées rapidement. Il l'avait supposé d'emblée et c'était bien ce qu'on lui avait laissé entendre. Malgré tout, il envoya son conseil à Bayonne. L'accueil fut le même qu'à Bordeaux ; ils n'obtinrent pas de réponses supplémentaires. Les prélats, les nobles, les conseillers des grandes villes de Gascogne, placés sous l'obéissance du roi d'Angleterre, se réunirent et prirent une décision unanime.
Ils acceptaient de recevoir le duc de Lancastre dans leurs cités, châteaux et grandes villes, parce qu'il était le fils du roi Edouard d'heureuse mémoire, et l'oncle du roi Richard d'Angleterre. Mais à son entrée dans les forteresses, lui et les siens devraient, pacifiquement et de bonne volonté, jurer solennellement de ne pas faire usage de la force, et de payer tout ce qu'ils prendraient ; en outre, le duc devrait jurer de ne pas oppresser cette juridiction appartenant à la couronne d'Angleterre, par quelque voie ou action que ce soit.
Ils acceptaient de recevoir le duc de Lancastre dans leurs cités, châteaux et grandes villes, parce qu'il était le fils du roi Edouard d'heureuse mémoire, et l'oncle du roi Richard d'Angleterre. Mais à son entrée dans les forteresses, lui et les siens devraient, pacifiquement et de bonne volonté, jurer solennellement de ne pas faire usage de la force, et de payer tout ce qu'ils prendraient ; en outre, le duc devrait jurer de ne pas oppresser cette juridiction appartenant à la couronne d'Angleterre, par quelque voie ou action que ce soit.





















