Le couvent des tertiaires saint François à Savigny. Paroisse de Lutry 1491-1531
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.34 kg
- Dimensions1,5 cm × 2,2 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-88295-870-9
- EAN9782882958709
- Date de parution01/03/2020
- ÉditeurCabédita
Résumé
En avril 1491, l’évêque de Lausanne, Benoît de Montferrand, en accord avec les autorités de la paroisse de Lutry, céda l’usage de la chapelle délabrée et profanée de Savigny à un ermite venu du diocèse de Genève afin qu’il la restaure et édifie un couvent de tertiaires de saint François. Ordre de stricte observance, fondé en Lombardie en 1447, cette mouvance franciscaine rencontra opposition et rejet de la part du chapitre de la cathédrale.
Dès lors, les tertiaires firent recours auprès du pape Alexandre VI. Il nomma un juge bâlois, le chargeant d’instruire un procès qui dura dix-huit mois. Par la suite, les tertiaires demeurèrent à Savigny jusqu’en 1531, leur couvent étant alors sécularisé, cinq ans avant l’imposition de la Réforme par les Bernois. L’ouvrage reconstruit non seulement l’histoire d’un couvent méconnu et le procès bâlois qu’il occasionna, mais éclaire d’un jour nouveau les tentatives échouées de réforme mises en œuvre dans le diocèse de Lausanne au tournant du XVIe siècle.
Il restitue l’environnement religieux, physique et social à même d’expliquer la particularité de la démarche des tertiaires, alors qu’humanisme érasmiste et réforme luthérienne allaient changer le paysage religieux de l’Europe.
Dès lors, les tertiaires firent recours auprès du pape Alexandre VI. Il nomma un juge bâlois, le chargeant d’instruire un procès qui dura dix-huit mois. Par la suite, les tertiaires demeurèrent à Savigny jusqu’en 1531, leur couvent étant alors sécularisé, cinq ans avant l’imposition de la Réforme par les Bernois. L’ouvrage reconstruit non seulement l’histoire d’un couvent méconnu et le procès bâlois qu’il occasionna, mais éclaire d’un jour nouveau les tentatives échouées de réforme mises en œuvre dans le diocèse de Lausanne au tournant du XVIe siècle.
Il restitue l’environnement religieux, physique et social à même d’expliquer la particularité de la démarche des tertiaires, alors qu’humanisme érasmiste et réforme luthérienne allaient changer le paysage religieux de l’Europe.
En avril 1491, l’évêque de Lausanne, Benoît de Montferrand, en accord avec les autorités de la paroisse de Lutry, céda l’usage de la chapelle délabrée et profanée de Savigny à un ermite venu du diocèse de Genève afin qu’il la restaure et édifie un couvent de tertiaires de saint François. Ordre de stricte observance, fondé en Lombardie en 1447, cette mouvance franciscaine rencontra opposition et rejet de la part du chapitre de la cathédrale.
Dès lors, les tertiaires firent recours auprès du pape Alexandre VI. Il nomma un juge bâlois, le chargeant d’instruire un procès qui dura dix-huit mois. Par la suite, les tertiaires demeurèrent à Savigny jusqu’en 1531, leur couvent étant alors sécularisé, cinq ans avant l’imposition de la Réforme par les Bernois. L’ouvrage reconstruit non seulement l’histoire d’un couvent méconnu et le procès bâlois qu’il occasionna, mais éclaire d’un jour nouveau les tentatives échouées de réforme mises en œuvre dans le diocèse de Lausanne au tournant du XVIe siècle.
Il restitue l’environnement religieux, physique et social à même d’expliquer la particularité de la démarche des tertiaires, alors qu’humanisme érasmiste et réforme luthérienne allaient changer le paysage religieux de l’Europe.
Dès lors, les tertiaires firent recours auprès du pape Alexandre VI. Il nomma un juge bâlois, le chargeant d’instruire un procès qui dura dix-huit mois. Par la suite, les tertiaires demeurèrent à Savigny jusqu’en 1531, leur couvent étant alors sécularisé, cinq ans avant l’imposition de la Réforme par les Bernois. L’ouvrage reconstruit non seulement l’histoire d’un couvent méconnu et le procès bâlois qu’il occasionna, mais éclaire d’un jour nouveau les tentatives échouées de réforme mises en œuvre dans le diocèse de Lausanne au tournant du XVIe siècle.
Il restitue l’environnement religieux, physique et social à même d’expliquer la particularité de la démarche des tertiaires, alors qu’humanisme érasmiste et réforme luthérienne allaient changer le paysage religieux de l’Europe.