Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Un alpiniste qui est en proie à la tentation de se jeter dans le précipice mais qui se garde bien d'y céder, une jeune mariée séduite à l'idée...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Un alpiniste qui est en proie à la tentation de se jeter dans le précipice mais qui se garde bien d'y céder, une jeune mariée séduite à l'idée de se conduire en pute mais qui reste dans le droit chemin, un garçon de café qui joue à être garçon de café mais qui n'en
est pas moins garçon de café, trois exemples que l'apprenti philosophe retourna contre son maître pour démontrer, non sans intention ludique et parodique, qu'une science de l'être qui se fonde sur le néant s'annule elle-même. Le maître ne lui en tint pas rigueur et l'invita au banquet des Temps modernes. Et le disciple aussi insolent que fasciné de récidiver, et d'entreprendre d'expliquer que Sartre fut un père pour n'en avoir pas eu lui-même. Dieu, d'ailleurs, aurait eu sa part dans une gloire qui fut planétaire, pour avoir été déclaré mort. Mais la Révolution française a aussi sa responsabilité, en quoi l'œuvre de Sartre ne saurait être réduite aux sortilèges de l'enfant des Mots, quelle que soit la
magie de leur transcription. Ce n'est pas seulement Sartre, c'est l'homme qui depuis deux siècles essaie de se fonder par soi. Sartre lui-même en a convenu, chez Giolitti, marchand de glaces à Rome. François George Maugarlone, en cette année du centenaire, revendique le titre de témoin de Sartre.