Didier Daeninckx. Il a fait irruption dans les librairies en 1983 avec Meurtres pour mémoire. Depuis, il a signé une quarantaine de romans et de recueils de nouvelles. Il a aussi écrit des ouvrages en collaboration avec Willy Ronis, Tardi, Mako et Tignous.
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- Nombre de pages255
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.163 kg
- Dimensions10,7 cm × 17,7 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-07-045352-8
- EAN9782070453528
- Date de parution03/10/2013
- CollectionFolio
- ÉditeurGallimard
Résumé
"Je suis la somme de tous ceux dont j'ai, à distance, l'impression d'avoir endossé le costume. Je me reconnais en tous. Novice sur le pont noir de La Belle Poule, zouave d'opérette devant Sébastopol, soldat bafoué en Algérie, comédien et pourquoi pas saltimbanque, fossoyeur de l'empire, colonel des Turcos de la Commune, compagnon de Louise Michel et metteur en scène de ses ouvres, laissé pour mort sur la barricade du Château-d'Eau, estropié sans pension, condamné à mort, déporté en Calédonie, inventeur du théâtre déshabillé, directeur des Bouffes-du-Nord, gargotier, fondateur de journaux, orateur, dresseur de lions édentés, prétendant à la députation, buraliste en désespoir de cause, mari fidèle et père aimant".
Ainsi Didier Daeninckx fait-il parler Maxime Lisbonne (1839-1905). On comprend que l'auteur de Meurtres pour mémoire et de Galadio ait été fasciné par ce personnage de réfractaire haut en couleur, héros des barricades de la Commune, homme de théâtre, dur à cuire pétri d'idéaux révolutionnaires, précurseur des Restos du Cour avec son "banquet des Affamés" et défenseur de la cause canaque alors que la plupart de ses amis bagnards se rangeaient du côté de la brutalité coloniale.
Maxime Lisbonne fit de sa vie une succession de fureurs héroïques et de ratages splendides : un vrai roman d'aventures.
Ainsi Didier Daeninckx fait-il parler Maxime Lisbonne (1839-1905). On comprend que l'auteur de Meurtres pour mémoire et de Galadio ait été fasciné par ce personnage de réfractaire haut en couleur, héros des barricades de la Commune, homme de théâtre, dur à cuire pétri d'idéaux révolutionnaires, précurseur des Restos du Cour avec son "banquet des Affamés" et défenseur de la cause canaque alors que la plupart de ses amis bagnards se rangeaient du côté de la brutalité coloniale.
Maxime Lisbonne fit de sa vie une succession de fureurs héroïques et de ratages splendides : un vrai roman d'aventures.
"Je suis la somme de tous ceux dont j'ai, à distance, l'impression d'avoir endossé le costume. Je me reconnais en tous. Novice sur le pont noir de La Belle Poule, zouave d'opérette devant Sébastopol, soldat bafoué en Algérie, comédien et pourquoi pas saltimbanque, fossoyeur de l'empire, colonel des Turcos de la Commune, compagnon de Louise Michel et metteur en scène de ses ouvres, laissé pour mort sur la barricade du Château-d'Eau, estropié sans pension, condamné à mort, déporté en Calédonie, inventeur du théâtre déshabillé, directeur des Bouffes-du-Nord, gargotier, fondateur de journaux, orateur, dresseur de lions édentés, prétendant à la députation, buraliste en désespoir de cause, mari fidèle et père aimant".
Ainsi Didier Daeninckx fait-il parler Maxime Lisbonne (1839-1905). On comprend que l'auteur de Meurtres pour mémoire et de Galadio ait été fasciné par ce personnage de réfractaire haut en couleur, héros des barricades de la Commune, homme de théâtre, dur à cuire pétri d'idéaux révolutionnaires, précurseur des Restos du Cour avec son "banquet des Affamés" et défenseur de la cause canaque alors que la plupart de ses amis bagnards se rangeaient du côté de la brutalité coloniale.
Maxime Lisbonne fit de sa vie une succession de fureurs héroïques et de ratages splendides : un vrai roman d'aventures.
Ainsi Didier Daeninckx fait-il parler Maxime Lisbonne (1839-1905). On comprend que l'auteur de Meurtres pour mémoire et de Galadio ait été fasciné par ce personnage de réfractaire haut en couleur, héros des barricades de la Commune, homme de théâtre, dur à cuire pétri d'idéaux révolutionnaires, précurseur des Restos du Cour avec son "banquet des Affamés" et défenseur de la cause canaque alors que la plupart de ses amis bagnards se rangeaient du côté de la brutalité coloniale.
Maxime Lisbonne fit de sa vie une succession de fureurs héroïques et de ratages splendides : un vrai roman d'aventures.
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