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  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.243 kg
  • Dimensions11,2 cm × 17,8 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-330-05317-8
  • EAN9782330053178
  • Date de parution03/02/2016
  • CollectionBabel
  • ÉditeurBabel

Résumé

Obsédée par le rêve d'une maison qui la hante, une jeune femme qui fait visiter des appartements à Paris est le témoin de la très mystérieuse disparition d'un enfant. Trouvera-t-elle dans son rêve la clé de l'énigme du réel ? Des ruines du Parc Monceau à la lande galloise, entre les malédictions du passé et les divers déguisements de la vérité, Lady Hunt réinvente le roman gothique anglais et toutes les nuances du sortilège.
Obsédée par le rêve d'une maison qui la hante, une jeune femme qui fait visiter des appartements à Paris est le témoin de la très mystérieuse disparition d'un enfant. Trouvera-t-elle dans son rêve la clé de l'énigme du réel ? Des ruines du Parc Monceau à la lande galloise, entre les malédictions du passé et les divers déguisements de la vérité, Lady Hunt réinvente le roman gothique anglais et toutes les nuances du sortilège.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

2 Coups de cœur
de nos libraires
3/5
Laura
Une jeune femme qui travaille dans l'immobilier est hantée par ses souvenirs d'enfance et en particulier de son père doit faire face à l'hostilité d'une maison... L’histoire se déroule à notre époque (si tristement désenchantée), mais pas besoin de château sombre et de temps orageux pour nous faire penser au roman gothique. Les souvenirs du père décédé, peintre anglais, épris de poésie, ponctuent le roman, ainsi que les visites de maisons ou d'appartements qui résonnent encore des vies qui les ont habitées procurant un sentiment onirique très fort. Helène Frappat a habilement mêlé des éléments contemporains à des références cinématographiques ou littéraires des maitres du gothique depuis le personnage de Laura dans le film d'Otto Preminger jusqu'à l'intrigue de Rebecca d'Hitchcock, où la maison est elle-même est un personnage à part entière en passant bien sûr par le roman de Daphné du Maurier.
Une jeune femme qui travaille dans l'immobilier est hantée par ses souvenirs d'enfance et en particulier de son père doit faire face à l'hostilité d'une maison... L’histoire se déroule à notre époque (si tristement désenchantée), mais pas besoin de château sombre et de temps orageux pour nous faire penser au roman gothique. Les souvenirs du père décédé, peintre anglais, épris de poésie, ponctuent le roman, ainsi que les visites de maisons ou d'appartements qui résonnent encore des vies qui les ont habitées procurant un sentiment onirique très fort. Helène Frappat a habilement mêlé des éléments contemporains à des références cinématographiques ou littéraires des maitres du gothique depuis le personnage de Laura dans le film d'Otto Preminger jusqu'à l'intrigue de Rebecca d'Hitchcock, où la maison est elle-même est un personnage à part entière en passant bien sûr par le roman de Daphné du Maurier.
  • Passionnant
  • XXIe siècle
  • gothique
Un parfum de Rebecca ...
Le rêve d'une maison hante Laura Kern. Elle l'appelle et absorbe de son aura inquiétante le quotidien monotone de la jeune femme. Obsédée par cette apparition, Laura plonge dans les profondeurs de son enfance sous l'égide d'un recueil hérité de son père et le mutisme douloureux de sa mère. Étrange Laura qui possède le don de guérir l'âme des maisons et qui abandonne sa peau dans les bras d'un amant adultère, secrètement tentée par la promesse d'un monde où prédomine le gris afin de fuir les premiers symptômes du legs maudit qu'elle porte dans ses veines et le feu qui dévore ses nuits. D'une écriture sensible et flamboyante, "Lady Hunt" dépoussière le roman gothique anglais et rend hommage aux grandes figures du genre dans une élégante fantasmagorie regorgeant de poésie et d'effroi.
Le rêve d'une maison hante Laura Kern. Elle l'appelle et absorbe de son aura inquiétante le quotidien monotone de la jeune femme. Obsédée par cette apparition, Laura plonge dans les profondeurs de son enfance sous l'égide d'un recueil hérité de son père et le mutisme douloureux de sa mère. Étrange Laura qui possède le don de guérir l'âme des maisons et qui abandonne sa peau dans les bras d'un amant adultère, secrètement tentée par la promesse d'un monde où prédomine le gris afin de fuir les premiers symptômes du legs maudit qu'elle porte dans ses veines et le feu qui dévore ses nuits. D'une écriture sensible et flamboyante, "Lady Hunt" dépoussière le roman gothique anglais et rend hommage aux grandes figures du genre dans une élégante fantasmagorie regorgeant de poésie et d'effroi.
  • Inattendu
  • XXe siècle
  • Paris
  • Bretagne
  • Arthur
  • Pays de Galles
  • Parc Monceau
  • Laura Kern
  • John Kern
  • Enora Kern
  • Le Patron
  • Le Régisseur
  • chorée de Huttington
  • Tennyson
  • rue des Ternes
  • agence immobilière

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3.6/5
sur 10 notes dont 6 avis lecteurs
mystère, secret de famille
Je fais donc partie de celles et ceux qui ont aimé ce roman. Son côté romantique et un peu mystérieux, son appel à des forces telluriques qui nous dépassent. Le rapport aux maisons, qui m'a longtemps posé question, a trouvé un écho en moi. Même si le Patron n'est qu'un accessoire dans cette histoire. Je n'ai pas trouvé ce roman particulièrement gothique. Heureusement, car je ne prise pas ce genre. En revanche, j'aurais aimé en savoir plus sur Elaine et son bébé, même si on devine la suite de l'histoire. L'histoire de la Dame de Shalott ne m'a pas spécialement parlé et ne m'a pas paru essentielle. Un roman dont j'ai aimé l'ambiance de brume. L'image que je retiendrai : Une phrase, plutôt : "Nous sommes les filles de la bruyère et du vent".
Je fais donc partie de celles et ceux qui ont aimé ce roman. Son côté romantique et un peu mystérieux, son appel à des forces telluriques qui nous dépassent. Le rapport aux maisons, qui m'a longtemps posé question, a trouvé un écho en moi. Même si le Patron n'est qu'un accessoire dans cette histoire. Je n'ai pas trouvé ce roman particulièrement gothique. Heureusement, car je ne prise pas ce genre. En revanche, j'aurais aimé en savoir plus sur Elaine et son bébé, même si on devine la suite de l'histoire. L'histoire de la Dame de Shalott ne m'a pas spécialement parlé et ne m'a pas paru essentielle. Un roman dont j'ai aimé l'ambiance de brume. L'image que je retiendrai : Une phrase, plutôt : "Nous sommes les filles de la bruyère et du vent".
  • Emouvant
  • Enivrant
2/5
malédiction
Laura travaille dans une agence immobilière. Elle est obsédée par un rêve d'une maison qui la hante. Est ce un signe qui annonce qu'elle souffre de la même maladie qui a touché son père. Lors d'une visite d'appartement, elle est témoin d'une disparition d'enfant bien mystérieuse. Tout au long du livre on se retrouve avec une laura perdue, avec des doutes pour savoir si elle ou sa soeur ont les gènes de la maladie. On retrouve le coté sortilège, malédiction, de dons, pierre qui a un pouvoir.... C'est l'image de la couverture et le fait qu'il était mentionné que Laura était hanté par un rêve et qu'il y a avait une disparition inexplicable d'un enfant qui m'a fait le choisir parmi la liste donné. Après l'avoir lu, mon avis est plutôt mitigé. Malgré un style poétique, une belle écriture, je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire. J'ai d'ailleurs beaucoup de mal à faire un résumé (c'est vraiment très rare quand ça m'arrive). Les passages des chansons, des poèmes,... en français mais aussi en anglais dynamise la lecture
Laura travaille dans une agence immobilière. Elle est obsédée par un rêve d'une maison qui la hante. Est ce un signe qui annonce qu'elle souffre de la même maladie qui a touché son père. Lors d'une visite d'appartement, elle est témoin d'une disparition d'enfant bien mystérieuse. Tout au long du livre on se retrouve avec une laura perdue, avec des doutes pour savoir si elle ou sa soeur ont les gènes de la maladie. On retrouve le coté sortilège, malédiction, de dons, pierre qui a un pouvoir.... C'est l'image de la couverture et le fait qu'il était mentionné que Laura était hanté par un rêve et qu'il y a avait une disparition inexplicable d'un enfant qui m'a fait le choisir parmi la liste donné. Après l'avoir lu, mon avis est plutôt mitigé. Malgré un style poétique, une belle écriture, je n'ai pas réussi à accrocher à l'histoire. J'ai d'ailleurs beaucoup de mal à faire un résumé (c'est vraiment très rare quand ça m'arrive). Les passages des chansons, des poèmes,... en français mais aussi en anglais dynamise la lecture
Coup de coeur
Je ne suis pas fan du gothique mais la façon dont Hélène Frappat revisite le genre, en conservant tout ce qui fait sa spécificité (la maison menaçante, les êtres face aux forces maléfiques qui sont doubles, l'une traditionnelle, l'autre pas) tout en le modernisant m'a subjuguée. Je n'ai pas pu rester insensible à la qualité de l'écriture, ni à la façon dont l'auteure parle de la Bretagne, de ses croyances à la fois fascinantes et encombrantes. J'ai adoré la façon dont elle parle de la recherche d'une maison, celle, idéale, qu'on ne trouvera peut-être jamais, celle qu'on visite, porteuse de la promesse d'un nouvel avenir, ou celle qui nous hante. Je ne parle même pas de ma fascination pour les longues chevelures rousses (tout le contraire de la mienne) qui est un autre élément important de ce roman. Cette couleur de cheveux, choisie par les Préraphaélites dans de nombreux tableaux (le tableau que vous voyez ici est The Lady of Shalott de John William Waterhouse, 1888, la légende de cette femme et le poème de Tennyson qui la met en scène sont le fil conducteur du roman), a toujours été liée à une transgression. Ah, la scène des cheveux coupés pendant la nuit est très belle. Je finirais par dire que j'ai été touchée par les personnages
Je ne suis pas fan du gothique mais la façon dont Hélène Frappat revisite le genre, en conservant tout ce qui fait sa spécificité (la maison menaçante, les êtres face aux forces maléfiques qui sont doubles, l'une traditionnelle, l'autre pas) tout en le modernisant m'a subjuguée. Je n'ai pas pu rester insensible à la qualité de l'écriture, ni à la façon dont l'auteure parle de la Bretagne, de ses croyances à la fois fascinantes et encombrantes. J'ai adoré la façon dont elle parle de la recherche d'une maison, celle, idéale, qu'on ne trouvera peut-être jamais, celle qu'on visite, porteuse de la promesse d'un nouvel avenir, ou celle qui nous hante. Je ne parle même pas de ma fascination pour les longues chevelures rousses (tout le contraire de la mienne) qui est un autre élément important de ce roman. Cette couleur de cheveux, choisie par les Préraphaélites dans de nombreux tableaux (le tableau que vous voyez ici est The Lady of Shalott de John William Waterhouse, 1888, la légende de cette femme et le poème de Tennyson qui la met en scène sont le fil conducteur du roman), a toujours été liée à une transgression. Ah, la scène des cheveux coupés pendant la nuit est très belle. Je finirais par dire que j'ai été touchée par les personnages
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