La vie est un roman
Edition en gros caractères

Par : Guillaume Musso
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  • Nombre de pages281
  • PrésentationBroché
  • FormatEdition en gros caractères
  • Poids0.5 kg
  • Dimensions15,0 cm × 24,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-37932-096-5
  • EAN9782379320965
  • Date de parution06/01/2021
  • CollectionCorps 16
  • ÉditeurLibra Diffusio

Résumé

"Un jour d'avril, ma fille de trois ans, Carrie, a disparu alors que nous jouions toutes les deux à cache-cache dans mon appartement de Brooklyn". Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n'a aucune explication. La porte et les fenêtres de l'appartement étaient closes, les caméras de ce vieil immeuble new-yorkais ne montrent pas d'intrusion.
L'enquête de police n'a rien donné. Pour lui, tout est écrit d'avance. Pour elle, tout reste à écrire. Au même moment, de l'autre côté de l'Atlantique, un écrivain au coeur broyé se terre dans une maison délabrée. Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer. Une lecture à nulle autre pareille. En trois actes et deux coups de théâtre, Guillaume Musso nous immerge dans une histoire étourdissante qui puise sa force dans le pouvoir des livres et la rage de vivre de ses personnages.
"Un jour d'avril, ma fille de trois ans, Carrie, a disparu alors que nous jouions toutes les deux à cache-cache dans mon appartement de Brooklyn". Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n'a aucune explication. La porte et les fenêtres de l'appartement étaient closes, les caméras de ce vieil immeuble new-yorkais ne montrent pas d'intrusion.
L'enquête de police n'a rien donné. Pour lui, tout est écrit d'avance. Pour elle, tout reste à écrire. Au même moment, de l'autre côté de l'Atlantique, un écrivain au coeur broyé se terre dans une maison délabrée. Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer. Une lecture à nulle autre pareille. En trois actes et deux coups de théâtre, Guillaume Musso nous immerge dans une histoire étourdissante qui puise sa force dans le pouvoir des livres et la rage de vivre de ses personnages.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

2.8/5
sur 4 notes dont 3 avis lecteurs
Pour mon premier Musso, une histoire énigmatique et déroutante !
Mon premier Guillaume Musso, une belle lecture où l’auteur m’a surprise jusqu’au bout. Je ne pensais pas avoir affaire à une histoire aussi énigmatique, prenante et déroutante. Mention spéciale pour la beauté de l’édition du Livre de Poche avec ses rabats, cette couverture… Brooklyn, automne 2010. Flora Conway, romancière aussi célèbre que discrète a vu sa fille disparaître au cours d’une partie de cache-cache dans son appartement. C’est ainsi que se met en marche toute la procédure d’une enquête et la médiatisation de l’enlèvement d’une enfant de trois ans. Les mois passent, entre anxiolytiques et anti-dépresseurs tandis que son éditrice Fantine presse celle qui a fait décollé sa carrière d’écrire un nouveau livre. Qui a pu enlever sa fille alors qu’aucun indice n’a été retrouvé ? A Paris, Romain Ozorski se débat entre l’écriture de son prochain roman et les délires de son ex-femme qui veut partir avec leur fils aux Etats-Unis. Lui seul a la possibilité de changer les choses pour Flora. Guillaume Musso plonge ses lecteurs entre réel et irréel, réalité et fiction, où ce qu’il paraît n’est pas. Le processus d’écriture d’un roman et celui de l’écrivain est au cœur de cette histoire nous montrant les dessous de la vie de celui écrit. Un roman particulier et surprenant entre coups de théâtre où le lecteur est berné par l’auteur lui-même. Trois actes, deux coups de théâtre, un dangereux face-à-face entre l’écrivain et ses personnages. Qui tire les ficelles de leurs histoires ? Où se trouve la frontière entre la réalité et la fiction ? L’auteur montre le quotidien d’un écrivain reconnu et celui d’une mère qui doit faire face à la disparition de son enfant tout en distillant des références littéraires à ses lecteurs. Il y est aussi question de la relation entre un père et son fils. Une enquête où l’auteur joue à cache-cache avec ses lecteurs et les dessous du monde du livre !
Mon premier Guillaume Musso, une belle lecture où l’auteur m’a surprise jusqu’au bout. Je ne pensais pas avoir affaire à une histoire aussi énigmatique, prenante et déroutante. Mention spéciale pour la beauté de l’édition du Livre de Poche avec ses rabats, cette couverture… Brooklyn, automne 2010. Flora Conway, romancière aussi célèbre que discrète a vu sa fille disparaître au cours d’une partie de cache-cache dans son appartement. C’est ainsi que se met en marche toute la procédure d’une enquête et la médiatisation de l’enlèvement d’une enfant de trois ans. Les mois passent, entre anxiolytiques et anti-dépresseurs tandis que son éditrice Fantine presse celle qui a fait décollé sa carrière d’écrire un nouveau livre. Qui a pu enlever sa fille alors qu’aucun indice n’a été retrouvé ? A Paris, Romain Ozorski se débat entre l’écriture de son prochain roman et les délires de son ex-femme qui veut partir avec leur fils aux Etats-Unis. Lui seul a la possibilité de changer les choses pour Flora. Guillaume Musso plonge ses lecteurs entre réel et irréel, réalité et fiction, où ce qu’il paraît n’est pas. Le processus d’écriture d’un roman et celui de l’écrivain est au cœur de cette histoire nous montrant les dessous de la vie de celui écrit. Un roman particulier et surprenant entre coups de théâtre où le lecteur est berné par l’auteur lui-même. Trois actes, deux coups de théâtre, un dangereux face-à-face entre l’écrivain et ses personnages. Qui tire les ficelles de leurs histoires ? Où se trouve la frontière entre la réalité et la fiction ? L’auteur montre le quotidien d’un écrivain reconnu et celui d’une mère qui doit faire face à la disparition de son enfant tout en distillant des références littéraires à ses lecteurs. Il y est aussi question de la relation entre un père et son fils. Une enquête où l’auteur joue à cache-cache avec ses lecteurs et les dessous du monde du livre !
Un produit marketing
Par curiosité, j'ai voulu voir à quoi pouvait ressembler un roman qui tire à 500 000 ou 1 000 000 d'exemplaires. La curiosité est un vilain défaut. Malgré un départ qui accroche, la suite est incompréhensible : pas de fil conducteur, des personnages pas du tout attachants, une écriture banale, sans esprit, sans humour. Bref, de quoi décourager les meilleures volontés. Le résultat est que maintenant, je n'achèterai plus le moindre roman de Musso, pas même pour faire un cadeau à une grand-tante le jour de Noël. C'est juste un produit marketing.
Par curiosité, j'ai voulu voir à quoi pouvait ressembler un roman qui tire à 500 000 ou 1 000 000 d'exemplaires. La curiosité est un vilain défaut. Malgré un départ qui accroche, la suite est incompréhensible : pas de fil conducteur, des personnages pas du tout attachants, une écriture banale, sans esprit, sans humour. Bref, de quoi décourager les meilleures volontés. Le résultat est que maintenant, je n'achèterai plus le moindre roman de Musso, pas même pour faire un cadeau à une grand-tante le jour de Noël. C'est juste un produit marketing.
  • oui oui la voiture jaune
Le nouveau Guillaume Musso.
J’ai arrêté de lire Guillaume Musso il y a quelques années. Non pas que je trouvais qu’il écrivait mal, mais seulement parce que ses romans n’étaient tout simplement pas ce que je recherchais. Pourtant, l’année dernière je me suis de nouveau laissée tenter. Le pitch était accrocheur et l’action se déroulait tout près de chez moi. C’était l’occasion pour moi de relire cet auteur, et je n’avais pas été déçue. Cette année j’ai donc décidé de lire également son nouveau titre, La Vie Est Un Roman, le synopsis étant encore fort alléchant. Et force est de constater que j’ai passé un bon moment ! Déjà grâce à l’intrigue en elle-même, qui n’est pas mal du tout (bien que trop soft pour moi), mais surtout du fait que l’auteur se fait clairement plaisir en remettant à leur place les bien-pensants des lettres et autres gardiens de la littérature, qu’ils soient critiques littéraires officiels ou trolls capricieux derrière leurs écrans. Tout comme l’auteur, son personnage principal, outre l’intrigue de disparition d’enfant, doit également affronter les affres de la création d’un roman dit « populaire ». Et tout comme Musso, il doit faire face à la jalousie et aux critiques faciles. Mais de quels droits de tels jugements sont-ils posés sur un auteur et/ou ses écrits ? Il me semble que l’on nous apprend, petits, à dire que nous n’aimons pas une chose et non pas à proclamer qu’elle est mauvaise. Eh bien tout comme pour les épinards, il est temps pour certains de réapprendre la politesse, et de cesser d’insulter le travail d’un auteur ou, pire encore, ses lecteurs, au nom d’une prétendue supériorité intellectuelle totalement imaginaire. D’autant que, pour la plupart, je doute sincèrement que ces poseurs/penseurs soient capables de différencier un vers de Molière d’une réplique de Titeuf... La lecture est normalement là pour aider l’esprit à s’ouvrir à d’autres perspectives, et la différence de goûts, en littérature comme ailleurs, est une richesse. Alors, à tous les fans de Musso, je dirais ceci : n’hésitez pas à vous procurer son nouveau roman, car il ne fait absolument aucun doute qu’il vous plaira autant que les précédents. Quant aux autres, passez simplement votre chemin.
J’ai arrêté de lire Guillaume Musso il y a quelques années. Non pas que je trouvais qu’il écrivait mal, mais seulement parce que ses romans n’étaient tout simplement pas ce que je recherchais. Pourtant, l’année dernière je me suis de nouveau laissée tenter. Le pitch était accrocheur et l’action se déroulait tout près de chez moi. C’était l’occasion pour moi de relire cet auteur, et je n’avais pas été déçue. Cette année j’ai donc décidé de lire également son nouveau titre, La Vie Est Un Roman, le synopsis étant encore fort alléchant. Et force est de constater que j’ai passé un bon moment ! Déjà grâce à l’intrigue en elle-même, qui n’est pas mal du tout (bien que trop soft pour moi), mais surtout du fait que l’auteur se fait clairement plaisir en remettant à leur place les bien-pensants des lettres et autres gardiens de la littérature, qu’ils soient critiques littéraires officiels ou trolls capricieux derrière leurs écrans. Tout comme l’auteur, son personnage principal, outre l’intrigue de disparition d’enfant, doit également affronter les affres de la création d’un roman dit « populaire ». Et tout comme Musso, il doit faire face à la jalousie et aux critiques faciles. Mais de quels droits de tels jugements sont-ils posés sur un auteur et/ou ses écrits ? Il me semble que l’on nous apprend, petits, à dire que nous n’aimons pas une chose et non pas à proclamer qu’elle est mauvaise. Eh bien tout comme pour les épinards, il est temps pour certains de réapprendre la politesse, et de cesser d’insulter le travail d’un auteur ou, pire encore, ses lecteurs, au nom d’une prétendue supériorité intellectuelle totalement imaginaire. D’autant que, pour la plupart, je doute sincèrement que ces poseurs/penseurs soient capables de différencier un vers de Molière d’une réplique de Titeuf... La lecture est normalement là pour aider l’esprit à s’ouvrir à d’autres perspectives, et la différence de goûts, en littérature comme ailleurs, est une richesse. Alors, à tous les fans de Musso, je dirais ceci : n’hésitez pas à vous procurer son nouveau roman, car il ne fait absolument aucun doute qu’il vous plaira autant que les précédents. Quant aux autres, passez simplement votre chemin.
Guillaume Musso
Guillaume Musso fait partie de ces auteurs prolifiques dont les romans laissent une trace indélébile dans notre esprit. Ancien professeur, il publie son premier récit en 2001. Puis, après un grave accident de voiture, il écrit la superbe histoire d'un enfant revenu d'entre les morts. Avec ce succès phénoménal qui le propulse sur le devant de la scène, il est proclamé roi du suspense par les critiques et réussit l'étonnant exploit de voir adapter au cinéma la plupart de ses romans. Par ce biais, il accomplit la prouesse de donner goût à la lecture aux amoureux exclusifs du septième art. A travers ses best-sellers L'appel de l'ange et Demain, plongez dans un univers intrigant mêlant habilement mystère, amour, humour et surnaturel. Aimant jouer avec l'espace-temps, l'auteur nous offre des récits à suspense composés d'une galerie de personnages à l'humanité touchante. Si vous cherchez des livres émouvants et originaux, nous vous recommandons chaudement Je vais bien, ne t'en fais pas d'Olivier Adam, Si c'était à refaire de Marc Levy ou Journal d'un corps de Daniel Pennac. Laissez-vous entraîner par une lecture fluide et agréable et apprêtez-vous à découvrir des histoires insolites et inoubliables.
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