Profil Lecteur

Céline A. - 6

Profil

La tête dans les livres depuis mon enfance, je suis une accro aux médiathèques et ait décidé de me lancer dans l'aventure en créant mon propre blog "Le Boudoir du Livre" où je partage mes lectures. M'intéressant à beaucoup de genres et de domaines différents, je chronique autant des romans jeunesse que des romans ésotérique, historique, romance, new-romance... Et je m'intéresse également aux mangas, bande-dessinées et tout ce qui concerne le bien-être et le développement personnel.
La tête dans les livres depuis mon enfance, je suis une accro aux médiathèques et ait décidé de me lancer dans l'aventure en créant mon propre blog "Le Boudoir du Livre" où je partage mes lectures. M'intéressant à beaucoup de genres et de domaines différents, je chronique autant des romans jeunesse que des romans ésotérique, historique, romance, new-romance... Et je m'intéresse également aux mangas, bande-dessinées et tout ce qui concerne le bien-être et le développement personnel.

Mes lectures favorites

Diana Gabaldon - Outlander, Cassandra Clare - Shadowhunters, J.K. Rowling - Harry Potter, Sarah Lark, Lucinda Riley, Tamara McKinley...
Diana Gabaldon - Outlander, Cassandra Clare - Shadowhunters, J.K. Rowling - Harry Potter, Sarah Lark, Lucinda Riley, Tamara McKinley...

Le livre que j'ai dévoré le plus vite

Cassandra Clare - L'ange mécanique.
Cassandra Clare - L'ange mécanique.

Si je devais sauver un livre, ce serait...

Outlander de Diana Gabaldon.
Outlander de Diana Gabaldon.

Un livre qui m'a fait (sou)rire

Aurélie Valognes - Mémé dans les orties.
Aurélie Valognes - Mémé dans les orties.

Un livre qui m'a remué

Naître et survivre - Wendy Holden.
Naître et survivre - Wendy Holden.

Si j'étais un livre, je serais...

Outlander de Diana Gabaldon.
Outlander de Diana Gabaldon.

Mes passions

Lire, écouter de la musique, yoga...
Lire, écouter de la musique, yoga...

Le pays où je rêve d'aller

L'Ecosse.
L'Ecosse.

La musique qui me motive

La kpop, la pop italienne...
La kpop, la pop italienne...

Les derniers avis

The Runway Tome 2
Avis posté le 2024-06-18
    Un Webtoon élégant tout en finesse et en révélations !
    Jieun essaie de comprendre la personnalité de son supérieur qui a le don de la déstabiliser. Quand un imprévu emmène Haejun à demander de l’aide à sa voisine, cela replonge Shin Hyeonmin et Haejun dans un drame familial. Un quiproquo à éclaircir, un lendemain difficile, un amour à jamais perdu, une promesse à tenir envers et contre tous, une révélation qui pourrait tout changer… La relation entre Jieun et Shin Hyeonmin est intrigante, chacun essayant de percer la personnalité de l’autre. Tel le jeu du chat et de la souris, un triangle amoureux pourrait bien se former. Qui de l’énigmatique Hyeonmin ou du sage Haejun sera le futur élu de Jieun ? L’auteur prend son temps et donne beaucoup de profondeur aux personnages, dévoilant leurs caractères, leurs failles, leurs faiblesses… J’apprécie beaucoup le style d’écriture de l’auteur, ce tempo lent qui rend une histoire qui pourrait être banale si elle n’était pas envoûtante. Des illustrations à l’écriture, tout est parfait.
    Jieun essaie de comprendre la personnalité de son supérieur qui a le don de la déstabiliser. Quand un imprévu emmène Haejun à demander de l’aide à sa voisine, cela replonge Shin Hyeonmin et Haejun dans un drame familial. Un quiproquo à éclaircir, un lendemain difficile, un amour à jamais perdu, une promesse à tenir envers et contre tous, une révélation qui pourrait tout changer… La relation entre Jieun et Shin Hyeonmin est intrigante, chacun essayant de percer la personnalité de l’autre. Tel le jeu du chat et de la souris, un triangle amoureux pourrait bien se former. Qui de l’énigmatique Hyeonmin ou du sage Haejun sera le futur élu de Jieun ? L’auteur prend son temps et donne beaucoup de profondeur aux personnages, dévoilant leurs caractères, leurs failles, leurs faiblesses… J’apprécie beaucoup le style d’écriture de l’auteur, ce tempo lent qui rend une histoire qui pourrait être banale si elle n’était pas envoûtante. Des illustrations à l’écriture, tout est parfait.
    La rafle d'Izieu
    Avis posté le 2024-06-11
      L’histoire des enfants d’Izieu, entre peur et émotions !
      A la mémoire de Sam Adelsheimer (5 ans), Nina Aronowicz (11 ans), Jean Balsam (10 ans), Max Balsam (12 ans), Elie Benassayag (10 ans), Esther Benassayag (12 ans), Jacob Benassayag (8 ans), Jacques Benguigui (13 ans), Jean Benguigui (5 ans), Richard Benguigui, (9 ans), Barouk Bentitou (12 ans), Albert Bulka (4 ans), Marcel Bulka (13 ans), Egon Gamiel (9 ans), Liliane Gerenstein (11 ans), Maurice Gerenstein, Henri Goldberg (13 ans), Joseph Goldberg (12 ans), Georg Halpern (8 ans), Isidore Kargeman (10 ans), Liane Krochmal (6 ans), Renate Krochmal (8 ans), Max Leiner (8 ans), Claude Levan-Reifman (le fils de Sarah Levan-Reifman) (10 ans), Fritz Loebmann (15 ans), Gilles Sadowski (8 ans), Martha Spiegel (10 ans), Senta Spiegel (9 ans), Siegmund Springer (8 ans), Sarah Szulklaper (11 ans), Herman Teitelbaum (10 ans), Max Teitelbaum (12 ans), Otto Wertheimer (12 ans) et Emil Zuckerberg (5 ans). Wow, je suis toujours admirative de tous ces passeurs de mémoire qui au travers de bande- dessinées, romans, documentaires racontent les heures sombres de l’histoire. Merci aux Editions La Boîte à Bulles et à NetGalley pour m’avoir permis de redécouvrir la rafle d’Izieu à travers ce récit fort en émotions. J’ai lu nombre de livres sur Simone Veil, Ginette Kolinka, Marceline Loridan-Ivens… Depuis les premières rafles de la zone sud, le gouvernement de Vichy déporte les Juifs y compris les enfants. Printemps 1943. La préfecture de l’Hérault et le couple Zlatin avec l’accord de Pierre-Marcel Wiltzer, sous-préfet de Belley créent en mai 1943 la colonie des enfants réfugiés de l’Hérault, à Izieu. Des enfants de 3 à 17 ans vont trouver un refuge loin de leurs familles. Le 6 avril 1944, les SS raflent la colonie avec leurs encadrants. Qui les a dénoncés ? Internés à la prison de Montluc à Lyon, interrogés par la Gestapo avant un premier arrêt au camp de Drancy le 7 avril. Le 13 avril 1944, 45 enfants et 4 éducateurs sont déportés à Auschwitz-Birkenau par le convoi 71 où leur sort sera scellé par le Dr Mengele. Léa Feldblum survivra au kommando de travail, aux expériences des nazis pour témoigner au procès de Nuremberg. Une centaine d’enfants a trouvé refuge à la colonie d’Izieu, 44 furent arrêtés et déportés, les autres ayant pu partir avant la rafle. Les témoignages de Léa Feldblum, Sabine Zlatin, Samuel Pintel à travers leurs souvenirs donnent de l’importance au récit et nous font découvrir leurs vies durant et après la guerre. Des photos concluent cette lecture mettant des visages sur les victimes de drame que l’on ne peut et ne doit pas oublier. J’aurais aimé un dossier pédagogique sur la rafle d’Izieu avec une partie sur la Maison d’Izieu et son combat contre l’oubli. A travers un magnifique travail d’illustrations et de colorisation, « La rafle d’Izieu » apporte un éclairage nouveau sur cette tragédie qui a marqué profondément les esprits et l’histoire de la France grâce aux souvenirs de ceux qui ont survécu. La manière de raconter cet événement est très bien pensé, on voit au fil de notre lecture, la partie avant et pendant la rafle puis l’après avec le procès de Nuremberg et le combat pour faire de la maison des enfants d’Izieu, un lieu de mémoire contre l’oubli via la transmission. Une bande-dessinée/roman graphique pour ne pas oublier, pour les générations passeuses de mémoire !
      A la mémoire de Sam Adelsheimer (5 ans), Nina Aronowicz (11 ans), Jean Balsam (10 ans), Max Balsam (12 ans), Elie Benassayag (10 ans), Esther Benassayag (12 ans), Jacob Benassayag (8 ans), Jacques Benguigui (13 ans), Jean Benguigui (5 ans), Richard Benguigui, (9 ans), Barouk Bentitou (12 ans), Albert Bulka (4 ans), Marcel Bulka (13 ans), Egon Gamiel (9 ans), Liliane Gerenstein (11 ans), Maurice Gerenstein, Henri Goldberg (13 ans), Joseph Goldberg (12 ans), Georg Halpern (8 ans), Isidore Kargeman (10 ans), Liane Krochmal (6 ans), Renate Krochmal (8 ans), Max Leiner (8 ans), Claude Levan-Reifman (le fils de Sarah Levan-Reifman) (10 ans), Fritz Loebmann (15 ans), Gilles Sadowski (8 ans), Martha Spiegel (10 ans), Senta Spiegel (9 ans), Siegmund Springer (8 ans), Sarah Szulklaper (11 ans), Herman Teitelbaum (10 ans), Max Teitelbaum (12 ans), Otto Wertheimer (12 ans) et Emil Zuckerberg (5 ans). Wow, je suis toujours admirative de tous ces passeurs de mémoire qui au travers de bande- dessinées, romans, documentaires racontent les heures sombres de l’histoire. Merci aux Editions La Boîte à Bulles et à NetGalley pour m’avoir permis de redécouvrir la rafle d’Izieu à travers ce récit fort en émotions. J’ai lu nombre de livres sur Simone Veil, Ginette Kolinka, Marceline Loridan-Ivens… Depuis les premières rafles de la zone sud, le gouvernement de Vichy déporte les Juifs y compris les enfants. Printemps 1943. La préfecture de l’Hérault et le couple Zlatin avec l’accord de Pierre-Marcel Wiltzer, sous-préfet de Belley créent en mai 1943 la colonie des enfants réfugiés de l’Hérault, à Izieu. Des enfants de 3 à 17 ans vont trouver un refuge loin de leurs familles. Le 6 avril 1944, les SS raflent la colonie avec leurs encadrants. Qui les a dénoncés ? Internés à la prison de Montluc à Lyon, interrogés par la Gestapo avant un premier arrêt au camp de Drancy le 7 avril. Le 13 avril 1944, 45 enfants et 4 éducateurs sont déportés à Auschwitz-Birkenau par le convoi 71 où leur sort sera scellé par le Dr Mengele. Léa Feldblum survivra au kommando de travail, aux expériences des nazis pour témoigner au procès de Nuremberg. Une centaine d’enfants a trouvé refuge à la colonie d’Izieu, 44 furent arrêtés et déportés, les autres ayant pu partir avant la rafle. Les témoignages de Léa Feldblum, Sabine Zlatin, Samuel Pintel à travers leurs souvenirs donnent de l’importance au récit et nous font découvrir leurs vies durant et après la guerre. Des photos concluent cette lecture mettant des visages sur les victimes de drame que l’on ne peut et ne doit pas oublier. J’aurais aimé un dossier pédagogique sur la rafle d’Izieu avec une partie sur la Maison d’Izieu et son combat contre l’oubli. A travers un magnifique travail d’illustrations et de colorisation, « La rafle d’Izieu » apporte un éclairage nouveau sur cette tragédie qui a marqué profondément les esprits et l’histoire de la France grâce aux souvenirs de ceux qui ont survécu. La manière de raconter cet événement est très bien pensé, on voit au fil de notre lecture, la partie avant et pendant la rafle puis l’après avec le procès de Nuremberg et le combat pour faire de la maison des enfants d’Izieu, un lieu de mémoire contre l’oubli via la transmission. Une bande-dessinée/roman graphique pour ne pas oublier, pour les générations passeuses de mémoire !
        Sous le charme des enfants Kerdelec, une fratrie unie face à l’adversité !
        Un immense merci à Babelio et aux Editions Calmann-Lévy pour la découverte de « La folle destinée des Kerdelec » dans le cadre d’une Masse-Critique privilégiée. J’apprécie énormément les récits historiques notamment les romances. De la première à la dernière page, j’ai été envoutée par l’écriture d’Aurore Drécourt qui m’a transportée au sein d’une famille dont les enfants m’ont fait penser à ceux des Bridgerton avec une attention pour Cannelle (trop chou). Ce coup de coeur me rend impatiente de découvrir la suite des aventures des protagonistes à Saint-Malo où de nouvelles aventures les attendent… Un héritage devait sauver les Kerdelec de la ruine mais le document leur permettant de le toucher disparaît en même temps qu’Etienne, le fils aîné. La relation de Sophie et Etienne de Kerdelec est fusionnelle comme le sont celles des jumeaux. Malgré leurs différences de caractères, Etienne est toujours là pour tempérer les envies d’aventures de sa soeur. Plus intéressé par les livres que l’instruction inhérente à son devoir d’héritier, Etienne va laisser Sophie usurpé son identité lui permettant de suivre les cours qui sont interdits aux filles comme ceux d’escrime. Hélas pour elle, le temps de l’enfance va être vite révolu… Le retour sur les terres bretonnes du vicomte de Chevigné va semer le trouble chez la jeune femme qui n’a pas oublié ses sentiments envers lui. La disparition de Charles, leur frère aîné disparu en mer hante toujours les membres de sa famille. Dans une situation des plus délicates financièrement, on sauve les apparences en société en se rendant aux mondanités. Obligée de se rendre à un bal avec Etienne, Sophie doit réparer une bêtise de son jeune frère Philippe et s’en voudra de ne pas avoir pu aider son jumeau dont le comportement étrange la tracasse. La rencontre avec un inconnu blessé aux manières aussi audacieuses que le caractère de Sophie est frondeur, lui fera oublier toute retenue, une entrevue vite oubliée face à l’absence de son jumeau. Quel lien a un document avec la disparition d’Etienne ? Pourquoi leur père faisait-il des affaires avec un odieux personnage ? Face à l’absence d’Etienne, Sophie n’a d’autres choix que d’usurper son identité le temps de faire la lumière sur toute cette affaire et les non-dits que sa famille lui cache. Seule Louise sait pour son subterfuge et l’encourage à découvrir la vérité et ce au mépris des convenances. Car la situation est beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît et c’est avec l’aide du comte de Carnac que Sophie va découvrir la face sombre qui se cache derrière les faux-semblants des apparences de la bonne société. Naviguant en eaux-troubles, elle n’aura de cesse de lutter contre les injustices et de se faire une place dans une société où tous les coups sont permis. Devant s’allier à un homme qui la pousse dans ses retranchements et qui l’intrigue, elle va découvrir la liberté dévolue aux hommes et la soumission des femmes à leurs devoirs d’épouse et de mère. Le comte de Carnac a-t-il deviné l’identité de Sophie sous les traits d’Etienne ? Un voyage se profile à l’horizon, Sophie trouvera-t-elle ce qu’elle cherche à Saint-Malo ? Son identité sera-t-elle dévoilée ? Duel, scandale, réputation, rivalité, injustices, jeux de séduction, visite des lieux de la nuit, secrets et vengeance… Les personnages secondaires ne sont pas en reste avec Nanou, une grand-mère rigolote, Héloïse dont la surdité n’empêche pas d’aider ses frères et soeurs même si on lui refuse l’accès aux mondanités, Pilou, le plus jeune de la famille dont les bêtises avec son lapin Cannelle sont des plus attendrissantes… L’auteur ne laisse aucun répit à ses lecteurs dans cette aventure qui ne fait qu’attiser leurs curiosités à découvrir la suite, avec impatience ! Le premier tome avec tous les ingrédients d’un roman historique réussit ! Placé sous le signe des liens d’une fratrie, Aurore Drécourt dose les émotions de ses personnages avec beaucoup d’audace et de passion…
        Un immense merci à Babelio et aux Editions Calmann-Lévy pour la découverte de « La folle destinée des Kerdelec » dans le cadre d’une Masse-Critique privilégiée. J’apprécie énormément les récits historiques notamment les romances. De la première à la dernière page, j’ai été envoutée par l’écriture d’Aurore Drécourt qui m’a transportée au sein d’une famille dont les enfants m’ont fait penser à ceux des Bridgerton avec une attention pour Cannelle (trop chou). Ce coup de coeur me rend impatiente de découvrir la suite des aventures des protagonistes à Saint-Malo où de nouvelles aventures les attendent… Un héritage devait sauver les Kerdelec de la ruine mais le document leur permettant de le toucher disparaît en même temps qu’Etienne, le fils aîné. La relation de Sophie et Etienne de Kerdelec est fusionnelle comme le sont celles des jumeaux. Malgré leurs différences de caractères, Etienne est toujours là pour tempérer les envies d’aventures de sa soeur. Plus intéressé par les livres que l’instruction inhérente à son devoir d’héritier, Etienne va laisser Sophie usurpé son identité lui permettant de suivre les cours qui sont interdits aux filles comme ceux d’escrime. Hélas pour elle, le temps de l’enfance va être vite révolu… Le retour sur les terres bretonnes du vicomte de Chevigné va semer le trouble chez la jeune femme qui n’a pas oublié ses sentiments envers lui. La disparition de Charles, leur frère aîné disparu en mer hante toujours les membres de sa famille. Dans une situation des plus délicates financièrement, on sauve les apparences en société en se rendant aux mondanités. Obligée de se rendre à un bal avec Etienne, Sophie doit réparer une bêtise de son jeune frère Philippe et s’en voudra de ne pas avoir pu aider son jumeau dont le comportement étrange la tracasse. La rencontre avec un inconnu blessé aux manières aussi audacieuses que le caractère de Sophie est frondeur, lui fera oublier toute retenue, une entrevue vite oubliée face à l’absence de son jumeau. Quel lien a un document avec la disparition d’Etienne ? Pourquoi leur père faisait-il des affaires avec un odieux personnage ? Face à l’absence d’Etienne, Sophie n’a d’autres choix que d’usurper son identité le temps de faire la lumière sur toute cette affaire et les non-dits que sa famille lui cache. Seule Louise sait pour son subterfuge et l’encourage à découvrir la vérité et ce au mépris des convenances. Car la situation est beaucoup plus complexe qu’il n’y paraît et c’est avec l’aide du comte de Carnac que Sophie va découvrir la face sombre qui se cache derrière les faux-semblants des apparences de la bonne société. Naviguant en eaux-troubles, elle n’aura de cesse de lutter contre les injustices et de se faire une place dans une société où tous les coups sont permis. Devant s’allier à un homme qui la pousse dans ses retranchements et qui l’intrigue, elle va découvrir la liberté dévolue aux hommes et la soumission des femmes à leurs devoirs d’épouse et de mère. Le comte de Carnac a-t-il deviné l’identité de Sophie sous les traits d’Etienne ? Un voyage se profile à l’horizon, Sophie trouvera-t-elle ce qu’elle cherche à Saint-Malo ? Son identité sera-t-elle dévoilée ? Duel, scandale, réputation, rivalité, injustices, jeux de séduction, visite des lieux de la nuit, secrets et vengeance… Les personnages secondaires ne sont pas en reste avec Nanou, une grand-mère rigolote, Héloïse dont la surdité n’empêche pas d’aider ses frères et soeurs même si on lui refuse l’accès aux mondanités, Pilou, le plus jeune de la famille dont les bêtises avec son lapin Cannelle sont des plus attendrissantes… L’auteur ne laisse aucun répit à ses lecteurs dans cette aventure qui ne fait qu’attiser leurs curiosités à découvrir la suite, avec impatience ! Le premier tome avec tous les ingrédients d’un roman historique réussit ! Placé sous le signe des liens d’une fratrie, Aurore Drécourt dose les émotions de ses personnages avec beaucoup d’audace et de passion…
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