Il y avait bien longtemps que je ne m’étais plongée dans l’univers de Stephen King, en général et celui de La Tour Sombre en particulier.
Cet épisode, comme l’indique l’auteur en avant propos, s’intercale entre Magie et Cristal et les Loups de Calla et peut très bien se lire indépendamment de la série. Ô joie.
J’ai donc retrouvé Roland, le Pistolero et ses amis. Aux prises avec une tempête d’une violence rare, ils sont obligés de trouver un abri solide.
Une fois installés, ses compagnons lui demandent de leur raconter une histoire afin de passer le temps.
Il
en racontera deux : la première étant l’une de ses premières missions alors qu’il était encore très jeune et la seconde est une histoire que sa mère lui racontait lorsqu’il était petit.
J’ai retrouvé l’ambiance si particulière de l’Entre-deux mondes si loin et par moment si proche de notre monde à nous avec le Haut Langage et le Bas Parler.
Par ces deux épisodes, Roland nous montre qu’il n’a pas toujours été l’homme qu’il est. Il a été confronté aux missions du Pistolero assez jeune et ça aurait pu en effrayer plus d’un mais son père était là pour veiller au grain. La première était très effrayante et j’avoue que je n’en menais pas large du tout.
La seconde était plus une fable avec une morale à la fin mais j’ai beaucoup apprécié cet interlude ce qui a permis de reposer mon petit cœur qui n’a plus l’habitude de tant d’émotions.
Du coup, j’ai envie de me replonger dans cette série qui a tant passionné les fans de Stephen King, lequel la qualifie de Jupiter dans le système solaire de son imagination.
Je me suis arrêtée au tome 2 et encore il y a bien longtemps et je pense que je vais les relire histoire de bien rentrer dans la série.
En tout cas, ceux qui n’ont jamais lu la série peuvent s’y plonger et je suis certaine que l’envie leur prendra de connaitre un peu plus Roland de Gilead et ses amis.
Magique.
Il y avait bien longtemps que je ne m’étais plongée dans l’univers de Stephen King, en général et celui de La Tour Sombre en particulier.
Cet épisode, comme l’indique l’auteur en avant propos, s’intercale entre Magie et Cristal et les Loups de Calla et peut très bien se lire indépendamment de la série. Ô joie.
J’ai donc retrouvé Roland, le Pistolero et ses amis. Aux prises avec une tempête d’une violence rare, ils sont obligés de trouver un abri solide.
Une fois installés, ses compagnons lui demandent de leur raconter une histoire afin de passer le temps.
Il en racontera deux : la première étant l’une de ses premières missions alors qu’il était encore très jeune et la seconde est une histoire que sa mère lui racontait lorsqu’il était petit.
J’ai retrouvé l’ambiance si particulière de l’Entre-deux mondes si loin et par moment si proche de notre monde à nous avec le Haut Langage et le Bas Parler.
Par ces deux épisodes, Roland nous montre qu’il n’a pas toujours été l’homme qu’il est. Il a été confronté aux missions du Pistolero assez jeune et ça aurait pu en effrayer plus d’un mais son père était là pour veiller au grain. La première était très effrayante et j’avoue que je n’en menais pas large du tout.
La seconde était plus une fable avec une morale à la fin mais j’ai beaucoup apprécié cet interlude ce qui a permis de reposer mon petit cœur qui n’a plus l’habitude de tant d’émotions.
Du coup, j’ai envie de me replonger dans cette série qui a tant passionné les fans de Stephen King, lequel la qualifie de Jupiter dans le système solaire de son imagination.
Je me suis arrêtée au tome 2 et encore il y a bien longtemps et je pense que je vais les relire histoire de bien rentrer dans la série.
En tout cas, ceux qui n’ont jamais lu la série peuvent s’y plonger et je suis certaine que l’envie leur prendra de connaitre un peu plus Roland de Gilead et ses amis.