La Societe Victorienne. 2eme Edition

Par : Monica Charlot, Roland Marx

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  • Nombre de pages222
  • PrésentationBroché
  • Poids0.275 kg
  • Dimensions13,6 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-200-01630-1
  • EAN9782200016302
  • Date de parution13/05/1997
  • CollectionU
  • ÉditeurArmand Colin

Résumé

La société britannique d'aujourd'hui est fille de l'ère victorienne. L'Angleterre encore rurale des années 1830 a fait place, au tournant du siècle, à un grand pays industriel, aux trois quarts peuplé de citadins, quadrillé de chemins de fer, qui s'ouvre à l'automobile et à l'électricité. Victoria règne sur une société renouvelée par l'essor des classes moyennes qui marquent de leur empreinte le cadre et le style de vie dans la famille et dans la ville. Mais l'âge d'or où s'épanouissent la " démocratie à l'anglaise " et la paix dans la grandeur impériale s'achève sur la contestation des hiérarchies traditionnelles et des structures sociales. L'époque victorienne est aussi celle des déracinés et des marginaux, où le prolétaire se substitue à l'artisan. Dans cette société inégalitaire, mais point immobile, l'unité est maintenue par un constant recours aux valeurs morales de la religion et de la philanthropie.
La société britannique d'aujourd'hui est fille de l'ère victorienne. L'Angleterre encore rurale des années 1830 a fait place, au tournant du siècle, à un grand pays industriel, aux trois quarts peuplé de citadins, quadrillé de chemins de fer, qui s'ouvre à l'automobile et à l'électricité. Victoria règne sur une société renouvelée par l'essor des classes moyennes qui marquent de leur empreinte le cadre et le style de vie dans la famille et dans la ville. Mais l'âge d'or où s'épanouissent la " démocratie à l'anglaise " et la paix dans la grandeur impériale s'achève sur la contestation des hiérarchies traditionnelles et des structures sociales. L'époque victorienne est aussi celle des déracinés et des marginaux, où le prolétaire se substitue à l'artisan. Dans cette société inégalitaire, mais point immobile, l'unité est maintenue par un constant recours aux valeurs morales de la religion et de la philanthropie.